Fabran , une fois sortit du parlement, se dirigea vers les rues commerçantes. Son premier réflexe fut de prendre un café croissant ainsi qu'un journal. Ce dernier, comme tous les journaux officiels, était pathétique: que des infos officielles donc fades et sans intérêt. Principalement des nouvelles du front ou nos valeureux guerriers résistaient vaillamment aux terribles vampires, nous permettant ainsi de vivre dans le calme et la sérénité. Mais quelle ne fut pas sa stupeur quand il vit un autre journal, glissé entre les troisièmes et quatrièmes pages, et d'un tout autre ton. Il décidât de replier le journal et le reposa dans sa mallette. Il se dirigea vers le tenancier.
- Dites moi, savez vous ou se trouve le poste de télégraphe le plus proche?
- Il yen a un entre l'avenue du peuple et le boulevard de la prospérité. - c'est a dire? -vous continuez cette rue , la troisième a gauche débouche sur l'avenue du peuple. La, vous continuez tout droit jusqu'au boulevard de la prospérité. Ya un poste dans le carrefour.
Fabran reprit sa mallette et marcha vers l'endroit indiqué. Il entra dans une petite boutique indiquant " télégraphe-téléphone" sur une humble pancarte de bois peint, ce qui jurais un peu avec le quartier . Elle affichait ses tarifs: 1 siéger les dix lettres au télégraphe, trois siegers la minute au téléphone.
Une dame aux allures d'ourse mal embouché vint l'acceuillir.
- C'est pour Quoi?? fit elle, de sa voix criarde.
- Un Telegraphe , vers Ervo.
-Destinataire? de la même voix écœurante.
- Trevor Ozmonic, Hospice de la franche-charité.
Il dictat son message et celui-ci fut envoyé. Il paya et repartit.
- Bien. Direction le lycée populaire, maintenant. Plus qu'un
Sujet: Telegraphe 
Jeu 7 Oct - 15:52
