Caboyor venaitde recevoir la missive de Franz Heinrich. Elle venait aussi d'apprendre que lenouveau gouvernement fédéral nationalisait les unités de productionalimentaires de la ville.
Bref, la modeste cité agricole avait de quoi s'inquiéter. Habituellementla politique n'était pas la préoccupation première des habitants de cetteville, mais des lorsqu'elle touchait à son gagne pain : l'agriculture, celadevenait partie prenante de ses occupations.