Invité au Manoir

La luxueuse voiture de Garviel Novronev arriva devant la grille de la propriété du manoir Novronev, encadrée par deux autres voitures d'agents de sécurité. Les gardes à l'entré vérifièrent qu'il s'agissait bien du Directeur avant d'ouvrir la grille, la paranoïa de Fabius n'avait pas d'égale.

Les pneus des trois voitures glissèrent sur le chemin en gravier, entouré par des buissons fraîchement taillées. Cinq cents mètre plus loin s'élevait le grand manoir Novronev. Magnifique bâtisses, aussi grand qu'un des hôpitaux de la CN, avec un parc qui s'étendait à perte de vue. On pouvait voir au loin les gardes patrouiller le long des points d'eau et de la forêt, les chiens en laisse.

Devant l'entré principale de la maison s'élevai une magnifique fontaine autour de laquelle les voitures firent demie tour pour laisser celle de Garviel s'arrêter en fasse de la porte.
A peine la portière ouverte, un major d'homme s'empressa de lui prendre sa serviette. Garviel invita ensuite ses deux hôtes à entrer.

- Mon père a hâte de vous rencontrer. Dit-il

Les deux invités des Novronev avit eu le droit à une petite visite privé du manoir, les salons, la bibliothèque, les salles de jeux .. De quoi acceuillir la cours d'un roi, mais Fabius préférait vivre tranquillement et reclu.
Les deux chambres des hôtes de la maison étaient très spatieuses, salle de bain individuelles, garde robe fournit et draps propre de grande qualité. Sans compter les décoration du plafont et des fresques faites de dorure.

- Monsieur Fabius Novronev vous invite à souper avec lui ce soir à 19h30. Soyez à l'heure et tâcher de mettre quelque chose de convenable. Avait dit le major d'homme avant de les laisser seul dans leur chambres.

Ayant plus que le choix pour s'habiller, ils prirent ce qui attirait le plus ou ce qui était le plus élégant suivant les goûts.
Un serviteur vint les chercher à 19h25, le temps de traverser les trois ailes du manoir qui menaient à la grande salle à manger. Tant de place et si peut de monde, un paradoxe que même Garviel n'avait pas réussit à illucider cher son père.

La grande salle à manger était sompteuse, ce n'était rien comparé aux luxueuses chambres qu'ils leur avait été offertes. Une magnifique grande table avait été dressé sur laquelle repossait un nombre pas croyable de couverts en argent, disposés avec soin sur la nappe de soie blanche.
Au bout de la table se trouvait le vieux Fabius Novronev, assit dans son fauteuil roulant mécanique et habillé avec classe pour la reception de ses hôtes de gloire passé.

- Prenez place mes amis, asseillez vous donc. J'espère que vous avez été bien reçue. La soupe sera servit dans quelque minutes.Nous allons bavarder un peut en attendant.

Une fois qu'ils furent assis, Fabius entama la conversation:

- Alors comment vous sentez-vous, raconter moi votre parcour politique qui pourrait me convaincre de vous offrir mon appuie ? Vous pouvez tout me dire, nous sommes entre amis ici, et rien ne sortira de cette pièce.

Ce qui interraissait réellement Fabius s'était d'en savoir plus sur cette expérience 17 dont il n'avait fait que financer l'expérience pour sa recherche.

Rayan était vétu d'un habit bourgeois des plus classique, chemise noire, dessous blanc, chaussures noire, simple mais faisant toujours son effet, Demia elle avait eu énormément de mal a trouvée botte a sa taille, entre les grande robes du siècle dernier, les tissus féminin de derniers mode rien ne lui plaisait, finalement elle piocha dans la garde robe masculine, costume pied de pie, jean foncé et botte noire, finalement cela lui allait plutôt bien et seul le bras mécanique typé tuerie de l'AAV faisait tache.

Rayan commença par salué longuement leur hôte, obligeant même sa gardienne a baissée l'échine face a ce vieille homme; après l'avoir longuement remercié Rayan commença a raconter son histoire,

De son arrivé dans le milieu fédéraliste qui venait de prendre le pouvoir, le peuple qui acclamait ce nouvel homme qu'il était et les ficelle que l'on tirait derrière lui pour le contrôlé, l'arrivé des élection présidentiel et son obligation de se présenté (et de gagner) puis le virement de bord, les cordes coupé, la sensation de liberté et les devoir de la république l'économie coulé du pays, les mesures drastiques, les ennemis politiques, son besoin de protection, la lectures de légende, puis le projet, l'idée,
-les repas était déjà arrivés que son discours atteignait la partie épineuse-
les échecs multiplié, puis l'accident.
Tout semblait réels dans ces paroles, la strict vérité, rien d'ajouté ou de retiré, cependant la voix était terne, presque dénué de sentiment,
il raconta la suite, l'après coup, l'oubli des échecs, la formation de l'AAV, la rencontre de Demia, sa réelle utilité, elle restait la clé du premier problème, elle l'avait toujours été, mais cela elle le savait et l'acceptait, une vampire de moins pour une vampire de plus la était le pacte.
puis la période de tranquillité, les améliorations financière et le retour de l'impérialisme, la mort de son double, son retour masqué, puis la traitrise de l'armée. et enfin il était la, a présent.

Finalement il s'arrêta, reprit son souffle puis regarda l'homme a ces cotés

-Je parle trop, veuillez m'excuser, je n'ai pas l'habitude de parler de ça, sauf indiscrétion pourrions nous parlez de vous, mise a part les secteurs de votre entreprise je n'en sais pas plus, racontez moi je vous prie, le ton de la voix était différend, la voix du politicien qu'il était mais il fallait rajouter un besoin d'indiscrétion, comme un enfant qui veut savoir tout sur tout.

Fabius appréciait la compagnie de son hôte, ce Rayan savait parler et cela n'étonna pas Fabius qu'il est gagné les élections. Après le récit de son histoire, Fabius se réajuster au fond de son fauteuil, toussa légèrement puis commença son récit, par mesure de politesse car il n'aimait guère parler de lui.

S'en suivit alors l'histoire de son enfance, la mort de sa mère et de ses frères à cause de la peste.
Son adolescence rythmé par un père qui le poussait à étudier toujours plus afin de rattrapper l'honneur de la famille Novronev.
Sa réussite scolaire, ses nombreux diplômes, et l'incompréhensible du au centre de recherche de la capitale suite à sa candidature. son travail dans un hôpital d'Helzonie avec ses raquettes, ses vols et ses menaces
Il en suivit alors ses débuts comme médecins indépendant tout en se lançant dans la recherche et la synthèse de médicament. L'élargissement progressive de sa petite entreprise avec la découverte de nombreux traitement.
Depuis le passage à la république, son entreprise avait connue une croissance exponentielle, la construction de nouveaux hôpitaux dans les grandes villes, la commercialisation à grande echelle de produits médicaux. Ses souvenirs ayants prient le dessus, il fit de la sécurité de ses centres, de ses recherches et de sa personne une priorité. La spécialisation de la CN dans la micromécanique et l'armement.
La rencontre avec Meric Keeler qu'il nomma chef de la sécurité, il vanta ensuite les nombreuses améliorations qu'il y avait apporté.
Il avoua sans remord et en riant presque que la Corporation possédait depuis un moment sa petite armée personnel et qu'elle n'avait pas attendue l'autorisation de Rayan pour recruter et équiper.

- Ce qui ce passe dans mes centres de recherche ne regarde que la CN, je sais très bien de quoi son capable la concurence, bien que celle-ci soit peut présente dans ce domaine.

Il but une gorgée d'eau puis reprit.

- Bien, je crois que vous savez tout de mon histoire et presque tout de ma Corporation.

Il détourna son regard de Rayan vers Demia, voyant clle-ci faire profil bas il évita de lui demander de raconter son histoire. Il demanda à Rayan:

- Maintenant dîtes moi, qu'était-ce vraiment que cette expérience 17 ? Car pour moi ce n'était qu'un projet de deux chercheurs financer par la CN.

-Comme je vous l'ai déjà raconter, ma libération progressive des filets des fédéralistes n'a pas plus, quelques autres personnes n'appréciait pas non plus de m'avoir en tant que président, il me fallait donc une sécurité, et une arme par conséquent, malheureusement pas celle de la garde républicaine, une personne sous mes ordres, qu'elle qu'en soit le dernier, ayant eu vent de techniques scientifiques avancé et ayant récolté des informations sur les légendes et autres évènements surnaturel du passé j'eu l'idée de ramener l'âme de la très célèbre Kallen Tatlina dans un corps, une transmutation alchimique d'après les anciens termes, afin d'éviter des danger inutiles les scientifiques l'ont...... disons enchainée dans un corps créé synthétiquement et de type humain,
Vos fameux scientifiques, les Peppers me sont arrivés et ont acceptés le projet, il faut dire que l'argent attire toujours, cependant les résultats ne furent pas concluants, des horreurs furent crées, jusqu'a l'expérience 17, le projet qui aboutissait enfin, l'enveloppe vide devant accueillir l'âme légendaire, seulement il y eu un problème, un accident, un incendie, et plus rien ...

Cependant durant ma cache a l'hôtel du renard masqué je l'ai revue, c'était elle, rien ne pouvait laisser penser qu'elle était la, a une dizaine de minutes de mon ancien lieu de vie, je vous ai donc contactés.

Voici toute l'histoire de ce que vous appelez l'expérience 17, que j'appelle Kallen Tatlina mais qui semble ce nommée Elizabeth, je pense déjà qu'elle sais ou alors que des membres autour d'elle savent, la première personne que nous avons vu a ces coté n'était autre qu'un vampire, ironique ? Si vous voulez plus d'information pour vos recherche je vous les dirait.

Fabius serra sa fourchette et son couteau tout en faisant une légère grimace. Devant lui, Rayan, l'homme anciennement le plus connu du pays venait de lui donner la solution à son problème scientifique. Cette expérience 17, qui n'était rien à l'époque où il ignorait tout, représentait tellement plus à présent pour lui, il avait le moyen d'atteindre son but qu'il recherchait depuis tant d'années. Atteindre l'immortalité.
Il se reconcentra sur ses invité, aussi parce que le dessert venait d'arriver.

- Et vous croyez que cette expérience est faisable sur des êtes humains ? Je veux dire par exemple transplanter l'âme d'un homme dans un autre corps ?

Il était tellement excité qu'il en faisait trembler son verre. Peut-être était-ce la révélation que tout homme obtient à un moment de sa vie.

La situation avait changer, il venait de révéler un point qui aurait pu rester a son avantage, tant pis, on apprenait plus de ces erreurs, même si elles était très nombreuses.

-Mes connaissances en ce domaines ne sont issus malheureusement que d'histoires, légendes et contes pour enfants, le retojur d'une âme en ce monde est impossible d'après la Lumanévra, rien ne m'assure que l'âme de la tueuse soit dans cette fille, malgré les ressentit de Demia, cependant elle reste une création, un être synthétique, je pense que vos scientifiques répondront mieux a vos questionnement sur le retour a la vie.

Fabius savait que cette expérience 17 était la clé, la clé pour atteindre son but. Il fallait à tout prie retrouver cette Elizabeth et la ramener au centre Silène.

- Je vais enquêter de mon côté et découvrir où se trouve cette Elizabeth, en plus d'être la propriété de la CN, elle pourrait se réveler plus utile que prévue. Je compte sur vous pour m'aider dans cette tâche.

Il toussa violemment et avala son verre d'eau avec une gellule d'un trait.

- Je vous prie de m'excuser, c'est la vieillesse qui reprend son droit. Je ne manquerais pas d'interroger les Peppers la dessus car je sens qu'ils ont beaucoup à m'apprendre.
J'ai oublier de vous informer que pour votre sécurité vous êtes mon hôte dans cette humble demeure jusqu'à ce que la situation pour vous dehors se rafraîchisse, vous me comprenez, je risque autant que vous si le nouveau gouvernement savait que vous êtes vivant.

La propriété de la CN ? il avait bien entendu, aussi ce permit il de corriger l'homme rapidement, mieux valait éviter la confrontation cependant la situation l'exigeait.

Pour ce qui est de Kallen, Elizabeth ou encore l'expérience 17, elle reste ma propriété, aussi j'aimerais que vous ne l'abimiez pas, vous pouvez récupérer ce que vous voulez d'elle des l'instant ou elle me revient entière et -il hésita quelque peu sur ces mots- en ét.. ,vivante ...
Pour ce qui est de ce lieu, il m'ira sans problème, j'ai localisé un bibliothèque je pense donc passé une majeur partie de mon séjour en ce lieu, cependant pour ce qui est de Demia n'auriez vous pas quelque chose de plus, musclé ?

- Je pense que cette Elizabeth est autant ma propriété que la votre mon cher. Mais ne parlons plus de cela. Si cela l'interresse, nous avons besoin d'un expert en recrutement et en entrainement pour former nos hommes de la BCNS. Les récents évenement m'ont montré que nos capacité était trop faibles dans ce secteur en cas d'émeutes à grande échelle voir de révolution pour protéger nos installation. Cela vous convient-il ?

Le ton n'était plus le même, il avait besoin de Kallen, son projet ,ces efforts, il ne laisserait pas tomber si facilement, elle devait lui obéir a lui Rayan.

-Je pense malheureusement que nous devrons reparler de cela plus tard, pour ce qui est du poste que vous proposez je pense qu'elle accepteras sans problème, casser du nouveau sa ne lui déplaira pas.
Le regard que lança Demia sur le coup fut violent, elle devait rester le protéger, cependant rester ici ne lui plairait probablement pas et retourner dans un système militaire lui plaisait plutôt bien.

- Très bien, je préviendrais le colonel Keeler, il est tellement débordé ces temps si que ça lui enleverra une épine du pied. Par contre je souhaiterais que votre accompagnatrice reste ici au moins une semaine le temps que les recherches à votre égard se disperse dans la revolte à laquelle fait face notre pays. Cette semaine n'est pas négociable.

après avoir parlé comme un homme d'affaire, Fabius Novronev redevitn un hôte accueillant.

- Pour le final, j'ai demandé à mon chef de confectionner une des ses tartes pomme poire et coulis de fruits rouge. Vous m'en direz de nouvelles.

Rayan était assis dans un des fauteuils de cuir de la bibliothèque en train de lire un vielle ouvrage lorsque Fabius entra. Son arrivé se fit entendre par les cliquetis de son fauteuil mécanique. Il salua son invité et se plaça en face de lui.

- J'ai de bonnes et mauvaises nouvelles pour vous. L'opération, pour le moment, se déroule bien. Le bouche à oreille à l'air de fonctionner, mais le temps seulement pourra nous dire si l'opinion public est favorable.

La mauvaise c'est que l'avancé impérialiste est plus rapide que prévue, il va falloir jouer fin surtout que l'administration gouvernementale est paralysé. Votre apparition sur la scène devra ce faire à un moment précis. Ni trop tôt, ni trop tard. Nous n'avons pas le droit à l'erreur sur les pièces que nous allons déplacer sinon elle sera fatal pour vous, et moi.

Survivre en politique est une question de timing, et le notre est plus que serré.

Pendant que Fabius dissertait avec Rayan, un major d'homme arriva en trombe dans la bibliothèque. Il salua Fabius Novronev puis murmura quelque chose à son oreille. Fabius sembla étonné, il donna des directives puis renvoya le major d'homme puis s'adressa à Rayan:

- Il semblerait que c'est à vous d'entrer en scène. Le président Shlutz vient d'être demie de es fonction par la Lithurgie et il y a un début de révolte populaire à Kapen-Lagen. Il leur manque juste un leader.

Il laissa à Rayan le temps de digérer la nouvelle puis continua:

- Si vous le désirez, il y a une voiture prête à partir immédiatement, sous escorte de mes meilleurs agents, vers la Capital pour que vous preniez la tête de cette revolte. Nous avons le soutient officiel de la Lithurgie qui agira officieusement.
La Corporation vous soutiendra attifement et mettre tout les moyens dont elle dispose pour vous aider dans ce pour quoi vous êtes fait. Diriger ce pays.

Vous devez faire un choix, cette occasion ne se représentera peut-être jamais.

Enfin, le jour de son retour était arrivé plus rapidement que ce qu'il pensait, la situation cependant serait compliquée a reprendre en main, son hôte attendait toujours qu'il relève la tête de son livre et lui donne une réponse, en apparence Rayan ne semblait pas avoir entendu et continuait de lire tranquillement, en réalité il réfléchissait a toutes les possibilités d'action qui s'ouvrait a lui, l'apparence, point essentiel pour son retour, il se leva sans même regarder Fabius, direction la chambre, il revint quelques minutes après, entièrement changé, rasé et bien vêtu, il se tourna enfin vers Fabius,

-Je suis de retour.

C'était le retour de Rayan, l'homme politique qu'il avait toujours été.
Il remercia rapidement Fabius avant de sortir vers les véhicules qui l'attendait, Demia l'avait suivie comme son ombre, elle avait revêtue les armures des gardes de la CN.