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Forum RP sur les terres de Siegburg-Helzonie.
 
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 Chambre 31

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Alner Teeldorg
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Alner Teeldorg


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MessageSujet: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeJeu 21 Oct - 23:07

Cette pièce ne comportait qu'une ouverture, une fenêtre qui donnait sur l'arrière cour de l'immeuble. Je posais mes affaires sur le bureau, la boite avec l'uniforme à coté et m'allongeais sur le lit. Ça va, il n'était pas trop mou, je les aime bien ferme. Je n'avais pas remarqué la deuxième porte à coté du lit, ce devais être une armoire. Après vérification, c'était bien une armoire. Comme il fallait que j'emménage, je savais que j'allais pas tardé à avoir droit à la pendaison de crémaillère. Je fis mes draps au carré, faisais un peu de rangement, l'armoire servant d'armurerie. Quand au bureau, les deux tiroirs furent remplies convenablement, et le dessus fut arrangé de même. Venait quelque détails qui m'agaçait, je ne savais pas vraiment ou mettre le bâton. C'était déjà un miracle que les types à la taverne je me l'ais pas subtilisé, et je ne pouvais absolument pas m'en séparer. Dans le doute, je me devais de le gardé bien enroulé dans une serviette et le disposait derrière mon fusils dans l'armoire.

Venait le problème de l'uniforme, je n'osais pas le mettre. Et pourtant il le fallait si je voulais passer inaperçue dans cette hôtel infâme. Et il me faudrait retrouvé la grande perche pour me mettre à l'épreuve si ils veulent vraiment de moi. Sinon, il me faudrait bien plus que les menaces du jeunot qui leur sert de chef pour m'empêcher d'aller voir ailleurs. J'ai survécus à pire que ça me disais-je en portant mon regard sur ma main gauche, avec l'annuaire dont il manque deux phalanges.

Un groom à neuf doigts, ça risque de gêner les clients. Une prothèse pourrait faire l'affaire mais si il fallait que j'utilise ma lame, voilà qui n'est pas pour arrangé la chose. Je me décidais finalement à ne pas m'habillais, et à dormir, il était tard, et j'avais sensiblement besoin de sommeil, je m'enfonçais dans le lit et m'endormit rapidement, sans même prendre le temps de me déshabillé, mais je savais bien que ça serait inutile, on me rappellerait très prochainement pour cette ''mise à l'épreuve'', pourvue qu'on me laisse récupérer.
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Elizabeth Kewell
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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeDim 24 Oct - 13:51

Kaya commençait a en avoir marre de faire la messagere du patriarche. Autant elle adorait executer des ordres de torture sur des ennemis potentiels de la guilde, autant là faire la gardienne de jeune voleur, ce n'était clairement pas sa tasse de sang.

Elle arriva dans le couloir reservé aux jeunes recrus. La plupart des chambres était confortable mais n'avait rien a voir avec celle des maitres voleurs.

Ses bruits de pas retentirent dans l'etroit couloir, s'arretant devant la chambre 31.
Le patriarche savait apparement quel defi donner à cet étranger.
La grande vampire soupira un instant puis frappa vigoureusement a la porte.

- Hey! Le renard mouillé! Cria-t-elle avec une voix mi blasée mi enervée, t'as exactement deux minutes pour te lever, mettre ton uniforme et avoir une gueule presentable! Le patriarche veut te voir, je t'enmmene jusqu'à lui! Execution, parce que toi et moi n'avons aucune envi que je vienne te tirer personnellement de ton lit!!

Elle s'appuya alors sur le mur d'en face, croisant les bras, reprenant son air de chien de garde en attendant Alner.
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Alner Teeldorg
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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeDim 31 Oct - 15:51

Quelque chose ne tournait pas rond. Je réfléchissais à la question, malgré ça, je ne savais plus quoi faire, je n'osais pas sortir, je n'osais rien, et qui plus est, je ne dormais même pas, impossible, trop calme ici, trop suspect même. A mon questionnement se rajouta une nouvelle interrogation, était-ce vraiment utile que j'aborde ces gens. Tout d'un coup tout s'éclaira en moi.

C'était simple, le fait est que ces gens n'était pas vraiment en odeur de sainteté, il était évident que leur leitmotiv habituelle n'avais plus court. Volez au riches pour donner au pauvres, il fallait être con pour ne pas se rendre compte qu'à long terme ce n'était guère rentable, surtout avec femme et gosses, donc ces types ont diversifiés leurs champs d'action, prostitution, drogues, contre-façon trafiques d'art, je pense même qu'il y a plus que ça, et en plus, le tout est sous une couverture tout à fait légale.

Donc par corrélation, il est évident que tremper dans des affaires de ce genre c'était trop peu pour moi. A titre de CQFD, je me souvenais que j'avais fait passer par les armes il y a quelques années les responsable d'un trafic d'objets de valeur pris à l'ennemie, sous couverture officielle, ils chipotaient deux trois trucs d'apparence sans grade valeur au trésor de guerre de l'unité que je dirigeais à l'époque pour le revendre au marché noir. Quand ce fut découvert, court martial, jugement expéditif, bref la routine. De plus c'était la première fois que je dirigeais un peloton d'exécution, c'est excitant.

Décisions prise, il fallait que je sorte de cette endroit et vite. J'analysais la situation, deux accès vers l'extérieur, une porte et une fenêtre, la porte donne sur un couloir qui mène aux coursives de l'immeuble mais impossible de m'orienter la dedans, je ne sais même pas comment je suis entré. La fenêtre pouvait certainement me renseigné un peu plus sur la situation. Je me levais et j'allais l'ouvrir pour voir comment ça se goupille.

En bas, il y avais une petit cours, surement l'arrière du bâtiment, aucune chambre pour la clientèle ne donne dans cette direction. D'un coté, sur ma droite à quelques mètres, une grande porte métallique, surement l'entré arrière. A ma gauche des cheminées, surement les cuisines, je remarque que juste derrière il y a une grande verrière puis une canopée, l'hôtel disposait me semble t-il d'une grande véranda pour les jours estivaux ainsi qu'un jardin, apparemment immense. J'y foutrais jamais les pieds. Je remarquais l'étrange armature situé à quelques mètres à ma gauche. Un escalier de secours, mise au point il y a quelques années, surement rajouté à la liste des choses obligatoires pour qu'un bâtiment soit au normes anti incendie. Je pourrais peut-être l'atteindre, avec un peu d'acrobatie ce doit être tout à fait faisable, je voyais une autre fenêtre qui donnait sur cette escalier. Je pouvais aussi, me servir des draps pour faire une cordes et descendre en rappel. Ça me rappellerais mes beaux jours ou je faisais le mur avec les copains de l'école pour aller tâter des filles alors qu'on avait même pas l'age. Trois étages en tout, ça va entre treize et quatorze mètres de hauts. De plus je disposais d'une corde de quatre mètres et demie, toujours utile à tout moment, règle N°1 chez les sapeurs, ne jamais sortir sans une corde.

C'était décidé, je descendrais en rappel, et si j'avais pas assez de cordes, il n'y avait qu'a sauté, vue les draps dispos dans cette chambre j'avais de quoi descendre les onze premiers mètres.

Comme il me fallait faire vite, je rassemblé mes affaires, l'uniforme, pas question d'y touché, c'était clair net et précis, seul l'uniforme militaire me convient. Il y avait le problème du matériel, ça me ferais lourd avec les armes, et il fallait que je sois le plus discret possible. Le rangement dans mon sac était fait de manière à répartir équitablement le poids sur le dos, mais bonjour le ram-dam. J'arnachais mon sac de manière à ce qu'il bouge le moins possible. Mon sabre, tout naturellement à la ceinture, mais comme il bouge énormément il valait mieux que je le fixe dans mon dos avec les deux fusils, le mien et celui de la fille de l'autre jour. J'hésitais à le laisser, il pourrais peut-être m'être utile, j'avais déjà des idées en têtes. J'étais fin prêt et habillé, je faisais quelques tours dans la pièce en marchant, pratiquement aucun bruit, c'était ok.

Je sortais les draps, d'abord un drap-housse de matelas, et un autre de rechange ainsi que divers autre draps. Le lit faisant deux mètres trente, j'en avais pour au moins huit mètres. Avec la corde se serait amplement suffisant. J'attachais le tout en nœud de cabestan, ce qui diminuais mon cordage de fortune de bien soixante centimètres. Ça pourrait aller, je devrais sauté pour les trois derniers mètres, ça n'est pas la mer à boire trois mètres, j'avais déjà sauté de plus haut. Juste avant de partir, ultime précaution, je fermais la porte à clé.

J'attachais mon cordage à la barre transversale du lit du commencer, assez lourd pour me fournir un point d'attache. J'ouvrais la vitre, personne dans la cours, je vérifiais encore, les fenêtres des étages en dessous n'étaient pas éclairés, soit il n'y avait personne soit, il y en a qui dormaient. Je pris ma corde et la fit tombé jusqu'en bas. Je testais la résistance, il n'y avait aucun problème de ce point de vue la. J'approchais le lit (en silence) du rebord de la fenêtre et je commençais à passer au travers et à descendre en rappel.

La nuit dans cette ville, c'est quelque chose, la plupart des immeuble son éclairés, et pas que l'éclairage publique, il y avait semble t-il une activité nocturne intense dans ce secteur. Je pouvais voir l'immense gare de la ou j'étais, mais je n'avais pas le temps d'admiré le paysage, il fallait que je me sorte d'ici vite fait.

C'est alors que l'affaire se corsa …

Citation :
« - Hey! Le renard mouillé! Cria-t-elle avec une voix mi blasée mi énervée, t'as exactement deux minutes pour te lever, mettre ton uniforme et avoir une gueule présentable! Le patriarche veut te voir, je t'emmène jusqu'à lui! Exécution, parce que toi et moi n'avons aucune envi que je vienne te tirer personnellement de ton lit!! »
Sacré foutre-vierge ! Je reconnus la voix aussi tôt. La chose se tenait derrière la porte, et j'étais derrière la fenêtre. Il fallait improvisé.

« J'arrive ! … Dites moi, j'espère que le type qui a dessiné ces uniformes est mort et enterré, si vous voyez ce que je veut dire. »

Le message subliminal était sens ambiguïté, du moins, je l'espérais, comme il me fallait faire vite, j'accélérais ma descente. Elle ne répondit pas. Si ses réflexes sont effectivement supérieurs, je ne savais pas si les sens l'était, par prudence, j'accélérais tout en faisant le moins de bruit possible, chose qui n'est pas aisé avec quarante kilos sur le dos.

Premier étage descendue, plus que deux. Je n'entendais rien de l'autre, j'espérais qu'elle serait patiente jusqu'à ce que j'ai pus poser pied à terre, faudrait pas qu'elle entre, qu'elle voit la fenêtre ouverte et qu'elle me tire vers le haut alors que je suis tout prés du sol. Ça serait rageant.

Deuxième étage, plus que quelques mètres. Je sentais que je m'emballais, l'excitation pourrait bien me faire raté ma petite évasion, plus je descendais plus les lumières de la ville disparaissait sous les hauts mur de l'hôtel. J'entendais des bruits dans la cours juste sous mes pieds, un cuisinier qui sortait les poubelles, il ne me remarqua même pas.

J'entendis l'autre beugler derrière ma porte, j'ai cru comprendre les mots « dernière avertissement ». Il fallait que je me dépêche.

J'étais au niveau entre le premier et le rez-de-chaussé, la liberté (ou la mort) à quelques mètres sous mes pieds, et au delà de la grande porte qui ferme l'arrière cour de l'immeuble.

C'est alors que j'entendis un crac. L'un des draps avec laquelle j'ai fait ma corde se déchirait de façon inquiétante. Je n'osais plus bougé, une vibration en trop et c'en était fini. Mais la corde daigna céder sans rien dire, et je me retrouvais en chut libre à quatre mètres du sol. Le choc avec le pavé fut brutal, pendant la seconde de chute libre, il ma fallut me retourné pour évité de brisé quelque chose dans mon dos, je préférais me prendre mon barda sur la gueule que moi sur mon barda.

Le pire c'est que la réception ne fut guère silencieux. J'entendis quelques secondes après, alors que je me relevais avec peine, un « crac » plus gros encore. La porte de la chambre avait céder, je levais la tête, elle tendait la sienne par la fenêtre ouverte. Elle me fixait un de ces regards ! L'alarme dans ma tête retentit avec fureur.

COURS, FOUT LE CAMP ! Je me mis debout, je dégainais mon pistolet et j'envoyais une balle dans la serrure de la grande porte en fer de la cour. La détonation résonna dans tout le quartier, la serrure brisé, la porte s'ouvra, deux types surgirent de derrière et me regardèrent avec étonnement, à peine avait-il pointé leurs armes sur moi, que je courais vers eux, je pris le bras de l'un pour le lui brisé, puis me servant de son propriétaire comme bouclier, j'assénais deux balles dans le ventre de son comparse. Alors que je les laissais les deux gardes s'écrouler et se tordre de douleur, je jetais un coup d'œil, la grande perche était entrain de descendre l'escalier de secours en sautant trois marches à la fois, j'étais heureux d'en déduire que les lois de la physique sont les mêmes pour tous, et que les vampires ne semblent pas déroger à la règle.

Je ne lui laisser pas le temps de me rejoindre, je m'engouffrais dans la rue à vive allure, il me fallait trouvé un solution dans un quart d'heure, toute la bande de voleurs de cette ville serait à mes trousses, et dans quatre jours, c'est tout le pays, la célébrité, il y a des moments ou ça ne vous réussit pas. Le hasard me fit choisir un itinéraire qui me fit tombé sur la place ou se tenait la grande façade de l'immeuble, quatre badauds trainaient ici et la, un couple se tenait par le bras, et un homme ventru marchait vers l'entrée de l'hôtel. Je ralentis la cadence, il me ne remarqua même pas, mais avec les lumières le reconnus son profil typique.

Victorien !

Il avait rejoint ce pays et à de choisir cette hôtel car c'était le premier qui lui tombait sous la main. Comment entré en contact avec lui ? Je n'avais pas le temps de réfléchir, j'entendais des bruits de courses derrière moi. Et elle n'était pas seul. Victorien s'engouffra dans l'hôtel, je me remis en course, je remarquais une ruelle moins bien éclairé, dans le doute, j'y fonçais, peut-être que l'obscurité pourrait m'offrir quelques instant de répit. Je traversais la place à vive, allure, alors que j'atteignais la ruelle, je remarquais un groupe de miliciens patrouillant sur ma droite, ils étaient encore loin, et ne m'avaient pas remarquer. Je m'engouffrais dans la ruelle, à peine éclairer mais déserte, mes poursuivant étaient encore loin et ils avaient de forte chance de tombé sur les miliciens. Je remarquais alors la bouche d'égout en plein milieu de la chausse.

C'est ta chance ! Saisis-la !

Je m'en approchais, je tentais de l'ouvrir avec le peu de force qu'il me restait, la chute et la course m'avait bien épuisé. En poussant une râle de désespoir, je réussis à soulevé le couvercle de fonte et à trouvé un appuie. Je déplaçais la plaque, et j'empruntais l'échelle m'amenant à l'égout. Je vérifiais une dernière fois à l'air libre, le bruit de course se rapprochait, ont aurait dit une meute vociférant. Je rapprochais le couvercle vers moi, et refermais la bouche d'égout.

Dans le noir total je sortis une allumette. J'avais descendue l'échelle, une odeur répugnante. Je remarquais une lampe à huile accroché à un mur, surement les égoutiers qui en ont mis un peu partout. Je l'allumais. Le tunnel parfaitement circulaire, deux chemins autour de l'eau salasse de l'égout, je prenais à ma gauche, les noms des rues était indiqués sur les murs, j'avais un point de repère. Quand à mes poursuivant le premier vampire à déniché l'odeur de ma sueur et de ma transpiration dans cette cacophonie olfactive aurait tout mon respect.
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Elizabeth Kewell
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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeDim 31 Oct - 17:29

Kaya Malininski était une vampire de très haut sang aristocratique, ses capacités étaient réellement décuplées que ce soit au niveau rapidité, perception... Et cela surtout si elle était énervée et encore plus la nuit.

Et là Kaya était dans un état de rage qu'elle avait presque du mal à contrôler si bien que même Peter Lineweaver qui l'avait suivi dans sa folle course commençait à avoir peur d'elle.

Sérieusement, en plus de lui faire perdre son temps, ce type qui voulait être avec la guilde se tire comme ça?! Alors qu'on lui offrait le gite et le couvert, qui plus est de luxe. Ce que l'on n'offrait pas à tout le monde dans la pègre. Allez donc essayer de faire partie des sbires des Eberhard, ce ne sera pas vraiment le même traitement de faveur.

Il était un groupe de 10 voleurs, tous armée de couteaux, certains de fusil à pompe, d'autre encore d'arbalètes dans la petite rue.
Kaya s'arrêta et se mit à se concentrer afin de retrouver la trace du déserteur. De toute façon, s'il ne le trouvait pas maintenant il allait faire partis des listes noires de la pègre entière et cela dans toutes les villes qu'elle occupait à savoir Holtezeau, Cazialstava, Kapen et Lagen, sans oublier Saransk et même Laibach.

La vampire se mit à sourire en voyant la plaque d'égout, il était perdu d'avance.
Peter s'avança vers elle, comprenant la situation.


- Son odeur s'arrête juste devant cette plaque d'égout, annonça-t-elle, après ce sera plus compliqué pour moi de le sentir mais on peut toujours tenter, après tout ce sont des lignes droites. De toute façon, nous voleurs, nous connaissons bien les lieux et ce type vient de signer son arrêt de mort, il en sait trop sur nous tous, s'il se met à parler, ce serait très ennuyeux.

- Sanger! cria Lineweaver à un de ses subordonnés, retourner à l'hôtel demander à la réception de faire inspecter toutes les sorties d'égouts possibles. Nous on le traque directement à l'intérieur. Sérieusement, le patriarche n'a rien dans le crane parfois. Moi je l'aurais fait éliminer directement ce petit enfoiré.

- Ne t'inquiète pas, le rassura Kaya, c'est ce qui va lui arriver de toute façon. Il n'aurait jamais du essayer de jouer avec moi, maintenant je vais lui faire comprendre à quel point il aurait préféré être mort...


Code:
 Demande de lancer de dés pour détection d'Alner grâce aux sens de Kaya et grâce aux autres voleurs expérimenté qui l'accompagne dans les égouts.
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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeMar 2 Nov - 0:12

Les voleurs de la guilde étaient connus pour leur faculté de pistage. Et là ce n'était pas du nez qu'il fallait, mais plutôt des yeux et de l'expérience. Les sens super développés de Kyra et l'expérience des voleurs pouvaient être un atout non négligeable.
De plus la cible était une proie de choix. Il savait que la guilde existait vraiment, il connaissait son siège social et une partie de son fonctionnement. Il avait vu le visage de pas mal de ses membres et en particulier ceux de certains éminents personnages, et même le chef ultime de la guilde, le Patriarche en personne, Soma Kewel. Il était très dangereux de le laisser hors de contrôle de la guilde. Il fallait absolument l'empêcher de parler, autrement dis, il était vitale de le neutraliser.
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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeMar 2 Nov - 0:25

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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeMar 2 Nov - 0:25

Le membre 'L'écrivain' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitimeMar 2 Nov - 0:33

Alner avait marché dans une flaque en entrant dans les égouts et Lineweaver avait remarqué des traces de pas sur le sol, la piste était fraiche, s'il était descendu dans les égouts ca pourrait très bien être la trace du fugitif
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MessageSujet: Re: Chambre 31   Chambre 31 Icon_minitime

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