République démocratique fédérale de S-H
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Forum RP sur les terres de Siegburg-Helzonie.
 
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 La colère des ouvriers

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5 participants
AuteurMessage
Deus machina
Maître du Jeu
Deus machina


Messages : 68
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MessageSujet: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeJeu 6 Jan - 23:54

Des ouvriers de différentes manufactures, entreprises ou usines s'étaient réunis dans un pub. Ils avaient mis leurs petites rivalités à l'écart pour un temps afin de se concentrer sur un problème qui les concernaient tous. Leur vie était répétitive, leur boulot mal payé et répétitif et ils étaient parqués comme du bétail à dix personnes dans vingt mètres carré. Il fallait agir pour faire bouger les choses. On ne leur avait rien promis mais leurs conditions de vie étaient de pire en pire. L'insalubrité avait augmentait, la nourriture et l'eau potable se faisait de plus en plus rare, bref les ouvriers étaient excédés. Après tout, ils faisaient parti de l'économie du pays. S'ils ne travaillaient pas qui créeraient les objets que tout le monde achète au seul profit des grands patrons ?

Ils s'étaient donc regroupés là, chaque "leader" de chacune des plus grosses manufactures de la ville pour savoir quoi faire et comment réagir pour faire bouger les choses.
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FranzHeinrich von Laibach
Fondateur
FranzHeinrich von Laibach


Messages : 272
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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeDim 13 Fév - 0:26

L'empereur avait décidé de reconquérir les villes qui avaient auparavant pris le parti de l'empereur. Milenheim en faisait parti. La ville fût gérée alors par l'impératrice en personne. Les ouvriers avaient espérés dans l'empire et y continuaient certainement.

Le message de l'empereur fût dès lors transmis aux habitants. La révolte devait s'étendre pour en finir avec Schultz et son autocratie.
Mais ce message était écrit de la main de l'impératrice:

"Mes cher amis du Lieger,

Nous avons cru dans l'union sacrée du peuple de l'empire pour construire un monde meilleur, un monde où, vous ouvriers, pourraient dés lors faire entendre votre voix. Mais nos espoirs de démocratie ont été bafoués, piétinés par une autocratie militaire indigne de notre civilisation !
Il est temps de réaliser notre rêve !
Abattons l'autocrate et tous son système !
Levons nous et les dieux soutiendrons l'empire comme ils l'ont fait en nous accordant la naissance des deux jeunes princes !
Mes amis, ce n'est pas en tant qu'impératrice que je vous parle, mais en tant qu'amie de Mielenheim, et citoyenne !
Revoltez vous !"

La ville ouvrière n'avait connu aucune amélioration depuis le compromis, la ville n'avait certainement pas oublier ces idéaux de liberté.
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Garviel Novronev
Joueur



Messages : 338
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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeDim 13 Fév - 0:41

Les conditions de vie des citoyens de Mielenheim s'étaient beaucoup amélioré depuis un certain temps. Grâce au nouvel hôpital de la CN qui avait ouvert récemment et l'hôpital de second ordre, garantissant des soins gratuit aux plus démunis, la situation sanitaire devenait de plus en plus positive dans cette ville largement ouvrière. De ce faite la proximité dont-ils disposaient avec le monde médicale, sans compté les services de transports moins chère, permettaient aux habitants de ce rapprocher des valeurs républicaines.

La véritable révolution fut la semaine de congé payé, décrétée lors de la révolution brune, une chose qui semblait inimaginable avant.


Dernière édition par Garviel Novronev le Dim 13 Fév - 1:16, édité 2 fois (Raison : Modification sur demande Admin)
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Date d'inscription : 23/07/2010

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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeDim 13 Fév - 1:01

Code:
Garviel tu n'es pas le MJ, tu ne décides pas de ce qui arrive.

Je fais appel au conseil des fondateurs pour statuer des différents problèmes récents que tu as posé.
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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeMer 16 Fév - 18:34

Mielenheim était déjà à bout de nerf depuis un certain temps. Sa première révolte n’avait abouti à aucune amélioration. Rayan, lui aurait surement fait quelque chose. Lorsque les villes du Sud c’étaient révoltées, lui au moins avait daigné se déplacer. Mais Schultz avait mis un point final à leurs espérances.

Le discourt impérialiste avait été l’étincelle qui mit le feu aux poudres. Les ouvriers des manufactures se mirent en grèves, ils comptaient manifester leur mécontentement dans les bureaux des directeurs le lendemain, mais ces derniers avaient déjà prévu le coup, et la milice avait été réquisitionnée par les fonctionnaires. Qui plus est, à la suite des premiers événements, les riches avaient monté une milice bourgeoise, afin de se prémunir de nouvelles émeutes.

Quelques jours après le message de l’empereur, un noble était arrivé dans le plus grand secret dans la ville. Il s’agissant d’Othon von Mitrowitz. Il s’était décidé à prendre la ville. Pour la gloire, pour l’empire, pour l’empereur ! Il réunit les leaders de la révolution afin de décider d’un plan de bataille.

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FranzHeinrich von Laibach
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FranzHeinrich von Laibach


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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeVen 18 Fév - 23:16

L'empereur et surtout l'impératrice avaient applaudi le soulèvement de la ville textile. Il paraissait qu'un envoyer impériale était déjà sur place, Othon von Mitrowitz. Il fût dés lors chargé par le QG de l'Imperialstirn local de faire ratifier l'acte de l'empereur au conseil municipal.

Le légat impérial avait pour mission simple de recueillir dans un premier temps un acte de reconnaissance, dans lequel la ville certifiait accepter l'empereur comme chef de l'état dans le cadre de l'empire unifié du Siegburg-Helzonie. A cela s'ajoutait une charte que laquelle la signature impériale était apposée de la main du monarque, celle-ci garantissait les droits fondamentaux de chaque citoyen et de chaque Nation composant l'empire.
Les bases de la monarchie fédérale étaient jetées ainsi.

Si le conseil de la ville l'acceptait, les souhaits de l'administration centrale était les suivants :
-Mise en relation de toutes les villes impériales
-Armement d'une milice impérialiste près à défendre le peuple et l'empire
-Relier la Toldanie et les alliés de l'empereur pour tout besoins
-Fermer les routes aux républicains et émissaires militaires.

Milenheim était une ville cher au coeur du couple impériale et puis la ville pesait sur tous le nord du pays.
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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitimeLun 21 Fév - 22:22

Othon prit les différentes nouvelles avec amusement. On lui confiait le commandement des opérations. Quelle ironie : le commandement, il le possédait déjà, et ce n’était que la première épine enfoncée dans le pied de Franz-Heinrich von Laibach. Maintenant il fallait agir, mais comment l’empereur voulait-il faire pour ratifier un acte alors que les notables de la ville se sont réfugiés derrière leurs chiens de gardes.

Dès lors plusieurs choix s’offraient à lui. Le passage en force était le plus sûr, mais il serait aussi le plus meurtrier pour les partisans de la révolution aussi bien que pour les notables, des représailles seraient à craindre. Les négociations s’avéraient être une perte de temps, une impasse plus qu’autre chose. Il restait l’opération commando, plausible étant donné les moyens, mais des plus risqués.

Hum, qu’aurait fait Harold le Grand dans cette situation ? Tant pis, il faudrait y aller au culot. Othon convoqua ses trois lieutenants dans un endroit discret.


- J’ai un plan. Toi, tu vas prendre trois hommes : un artificier, un voleur et un ancien employé de ce bâtiment. Toi, tu t’assureras que les insurgés ne fassent pas de connerie. Calme les plus violents et apaise les leaders. Il faut rassembler tout ce monde-là autour ne de nous, je fais confiance à tes talents d’orateur pour ca. Et toi, tu surveilleras les impérialistes, surtout ce « légat », je n’ai aucune confiance.

- Et vous qu’allez-vous faire ?

- Je vais rentrer dans le tas.

- Quoi ?!

Puis il se leva et se mit en marche vers la foule réunie devant les bureaux des fonctionnaires, tout en dialoguant avec son premier lieutenant. Une fois devant la façade, il empila plusieurs caisses les unes sur les autres et afin que les notables l’entendent :

- Je me nome, Othon von Mitrowitz. Je souhaiterais discuter avec vous, je suis prêt à me rendre seul dans vos bureaux sans armes les mains liées.

Un sourire malicieux pointa sur le visage du premier lieutenant tandis que les deux autres les deux autres ouvrirent de grands yeux désabusés. Mais ils n’eurent pas le temps de poser de question, que déjà la réponse se faisait entendre par la fenêtre du bâtiment :

- Nous acceptons, mais pas d’entourloupe !

Othon se rendit donc dans les bâtiments comme il l’avait proposé. Pendant ce temps, un lieutenant canalisait la foule afin d’éviter tout débordement, un autre parlait avec les impérialistes de la suite des événements et l’autre avait disparu.

Un silence pesant c’était installé, tout le monde avait les yeux rivés sur la fenêtre. Soudainement une explosion retentit dans le bâtiment, sans pour autant faire s’écrouler le bâtiment. La tension était à son comble. Dix minutes plus tard, Othon sortit en brandissant de ses mains liées la charte signée par les notables. Il avait réussi son pari. Faire tomber la ville dans le giron de l’empereur sans faire couler une seule goutte de sang de quelque côté que ce soit.
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MessageSujet: Re: La colère des ouvriers   La colère des ouvriers Icon_minitime

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