Entretient

L'inquisiteur Fabran Zeram demanda un rendez-vous avec Garviel Novronev. C'était assez pressant, ajoutât il a la secrétaire qui tentait tant bien que mal de travailler suite au canardage du début d'après midi

Bonjour, monsieur Novronev. il y avais la radio dans votre hall d'accueil, permetez moi avant tout de vous féliciter. Premier Secrétaire du partit au pouvoir, c'est une sacrée promotion. Enfin tant que le partit reste au pouvoir, bien entendu, mais je ne me fait pas trop de soucis la dessus.

écoutez, j'ai pendant un temps souhaité que shlutz quitte le pouvoirs. Mais j'ai l'impression qu'il a quelque peut révisé sa façon de mener le pays, et je ne doute pas que votre présence l'ait quelque peut éclairé.

Et ce n'est donc pas pour renverser le régime que je viens vous demander des armes mais pour le soutenir. Je veux juste offrir a un peuple a l'âme patriote la possibilité de devenir un hachis a l'âme patriote, le tout pour la gloire de la république.

Un sourire ironique apparut sur le visage de fabran, quelques secondes. il était certain que l'homme qui était en face de lui avait fait tout ça par calcul et non par amour des idées du partit. C'est pour cela qu'il se permettait de lui parler ainsi.

Écoutez, voici le deal: vous me fournissez quelques armes, et sachez que je fait ça juste parce que les vampires, je peux pas les blairer, cette sous-race de barbares consanguins dégénérés, amoraux et hérétiques, et que la simple idée qu'ils existent m'insupporte. Il faudrait les exterminer, on serait enfin en paix, et prospères, car ils instillent la paraisse et la délinquance dans nos populations! C'est intolérable!

Euh, j'en étais ou? ah, oui, voila. pour vous prouver ma bonne volonté, je suis prêt, et l'inquisition derrière moi, a suivre la politique du partit. quant a la nature des armes, je n'ai pas besoin de qualité. juste de la quantité

Fabran évitât de penser au regard désapprobateur que Jacob lui lancerait quand il apprendrait la nouvelle. Lui, l'Inquisiteur général, l'homme a la main de fer (et sans gant de velours, s'il vous plait), ne pouvais supporter le regard de ce vieillard qui lui glaçait l'échine.

Garviel ne s'attendait pas vriament à ça, mais il y voyait de nombreux avantages et bénéfices dans cette affaire. Il prit une feuille et un stylo à plume, il le trempa dans l'encrier et écrit sur la feuille tout en disant:

- Je vous fournirez toutes les armes dont vous aurez besion, à condition bien sûre d'avoir ce qu'il faut pour les fabriquer. J'ai comme vous l'âme patriotique mais la CN ne peut ce permettre des égarement financier, nous avons investie dans beaucoup de projet.s Si vous voulez avoir des quoi armer tout ces conscrits et civils contre l'ennemie, il va falloir me fournir la sommes prévue et la certitude de votre soutient au pourvoir, je ne doit rien laisser au hasard, vous me comprenez.

il finit d'écrire sur la feuille, signa puis la tendie à l'inquisiteur:

- Vous signez ici, puis vous me dîtes de combien d'armes vous avez besoin. Nous faisons de tout et de très bonne qualité, du revolver au fusil de tireur d'élite avec lunette, fusil à pompe, fusil avec chargeur de dix balles semie automatique, fusil à canos scié, mitrailleuse, grenades, et j'en passe, et bien sûre des munitions.

il attendit la signature de l'inquisiteur Fabran et sa réponse avant de poursuivre la conversation.

Il se pencha, et regarda le document quelques instants.
- De quoi s'agit il, exactement?
il avais un air gêné, peiné
Nous sommes prêts a mettre, pourquoi pas, la main a la poche, mais comprenez nous, Le chapitre de cassiel est peut être puissant, mais voila il est pauvre. Vous devez bien comprendre que je me met au service de la république en organisant, en son nom, la mobilisation de la garde civile populaire patriotique.

fabran s'avança un peut.

Mais il y a peut être un moyen de s'arranger. Vous etes l'ami du président. Je veux un décret, comme quoi les testaments des jugés coupables par l'inquisition soient ivalides, et affirmant que les biens, propriétés et economies des condamnés a morts reviennent au chapitre. Cela nous permettra d'engager d'autres inquisiteurs et moines soldats, nous n'avons que 5 inquisiteurs, en plus de moi même, et une 20aine de soldats... c'est peut. Et donc d'augmenter la cadence de la purification du pays, donc plus d'expropriations, donc plus d'argent pour payer vos armes. De mon coté, je peux charger les inquisiteurs d'arrêter également les opposants politiques en plus des catarodoxes et des vampires sur notre territoire: bref une seconde police d'état.

Si il est de bonne humeur, demandez également au président de payer les moines legiferants aux frais de l'état. débarrassés de ces basses questions, nous pourrons ainsi mieux nous consacrer a notre noble tache.

Jacob avait la plume entre les doigts mais n'avais toujours pas posé sa signature

Il répondit à l'inquisiteur après avoir laissé un léger moment de blanc:

- Je ne savais pas que le Chapitre de Cassiel possédait si peut de revenu.

Il fit une mine compatissante puis reprit avec un léger sourir:

- Mais rassurez-vous, j'ai autre chose à vous proposer qui vous arrangera car vous n'aurez à débourser pas un seul sous.

Il retira la feuille sur laquelle il venait d'écrir le contrat, le mit de côté puis écrivit sur une autre feuille:

- Je m'engage faire part de votre proposition au président qui je le pense n'y verra aucun inconvénient, connaissant l'atout du soutient de l'inquisition. De plus, pour vous fournir les armes, je vais vous fournir, et quand je dis vous, je parle aussi du peuple, dans un premier temps tout nos stocks de réserve d'armes, ce qui représenteun arsenal assé concéquent, et pour le reste je vais m'arrenger avec le gouvernement qui subventionnera la fabrication des autres afin d'armer convenablement la population contre les vampires.

Il avait finis d'écrire, signa, remit son stylo sur le porte plume puis plaça la feuille devant l'inquisiteur Fabran:

- En contre partie, l'inquisition ne viendra jamais fouiner dans les affaires de la Corporation Novronev, quelles qu'elles soient. une entreprise qui croit et qui fait des bénéfices est une entreprise qui n'a pas de bâtons dans les roues, je pense que vous me conprenez. même si nous n'avons absolument rien à nous reprocher, nous voulons éviter ce genre de désagrément inquisitoriale.
Ensuite, et je pense que vous comptez largement la dessus en vous appropriant les testatments des condamné, je pense fortement à ce cher rayan qui possédait une large fortune, la CN se verra remettre la sommes que lui à couté les armes des stocks par l'inquisition une fois que celle-ci possédera l'argent nécéssaire. Vous voyez, je ne vous prend rien directement, et je vous fait crédit sans intérêts. vous devez savoir que j'ai toujours eu un immense respect pour l'inquisition et la Lithurgie étant moi-même croyant, seulement je ne peut me permettre des oeuvres de bien fesance alors que j'ai des centaines de milliers d'employés à nourrire.

Le contrat était devant l'inquisiteur, et celui-ci avait tout à y gagner.

fabran sourit.

- Voyons monsieur, si nous voulions remonter vos petits secrets, cela fait longtemps que vous seriez au font d'une geôle.
Il signa.

Le chapitre tire quelques revenus d'un patrimoine immobilier assez important que nous louons, mais la valeur de celui-ci se déprécie, faute d'entretien...heureusement, nous sommes exonérés d'impots. Du temps de l'empire, nous avions quelques subventions substantielles... Rayan en a versées quelques unes aussi, ponctuellement... mais enfin bon, les problèmes de l'état font que nous sommes un peut oubliés. Nos Finances sont stables, elles ne baissent pas d'années en années, mais nous devons utiliser 95% de revenus dans l'entretient, le logement, la nourriture, les frais de culte, les traitements et ce que l'on appel les "frais de procédure" investigation, infiltration, torture, jugement... dans le monde actuel, obtenir des informations reste très couteux... mais je vais bientôt reformer tout ça... ce sera plus fluide, plus expéditif.7

Bon, je vous laisse, je dois rentrer au monastère... j'ai un ancien dictateur a juger.