centre de recrutement et de formation de l'AVPP

Wilhem après c'être fait rescenser, fut interloqué par des messages laissé sur les lieux de cultes en ville. Comme un coup du destin son entrainemant terminé, il avait desormais le potentiel requis pour un de ces postes, de plus en ce moment la situation n'était pas au mieux pour l'armée de l'Empire et l'espérance de vie d'un sous officier dans les montagnes du volkona restait faible. Alors la situation de logement offert et l'attrait que d'avoir à travailler pour l'inquisition allait lui permettre de connaitre une situation stable et d'amélioré sa réputation envers les hautes sphères du gouvernement .

Il se présenta alors dans la salle de recrutement ou siegeait deja quelques ex officiers et hommes de mains défigurés, alcoliques dont la plupart ne semblait pas n'avoir d'autres choix pour continué a vivre descement.
Seul quelques rares officiers etaient sorti du lot, recherchant pour certains les joies de commandé perdu, ou le plaisir de se faire un nom comme wilhem.

Un chanoine réquisitionne pour l'occasion fit pénétrer le sous officier dans son bureau. Une simple table en bois et deux chaises, en fait. le sceau de Cassiel était posé negligement et la représentation du dieu vengeur fesait office de presse-papier. l'homme a la robe grise capuchonné d'un haut noir dont les rebord étaient tout simplement tressé de motifs complexes en fils blancs parla brievement. Il n'était pas du genre a faire du chichi

Asseillez vous. j'ai du refuser 3 soit disant veterants de la guerre de Toldanie, qui m'ont fait un scandale a l'instant, je suis pas d'humeurs, alors c'est pas le moment de faire des civilités.

Vos competences, je vous prie, vos antécédents guerriers et vos diplômes.

Son ton était rapide sec et brusque et il se coupa net.
Il croisa les mains devant son menton, fixant le jeune homme en attendant sa réponse

Le ton etait donné des les premiers mots du chanoine et le stress était monté en fleche. Pourtant wilhem comme il l'avais apris à l'armée evita de laisser voir à l'ennemi au maximum des faiblesses et des doutes qu'il pouvait avoir:

" compétence lieutenant dans les troupes terrestres tout juste diplomé de l'école militaire du lieger et donc par consequence n'a pas encore pu sentir l'odeur du sang."

Il fit la réponse la plus breve possible sentant le désir de son interlocuteur de finir au plis vite cette journée.

Bien.
Son interlocuteur étant conciliant, il se calma quelque peut.

L'Académie de Lieningen, hein? ça reste la meilleure ecole du pays, dans ce domaine...
Lieutenant? Je vois... nous avons peut d'officiers "potables" parmi les volontaires, mais je ne confierais pas le commandement de l'ensemble des 10 000 volontaires actuellement arrivés a un bleu... d'autemps que le chiffre peut encore grimper, m'a t'on assuré.

Il parcouru les documents.
Bref, vous ne serez pas l'officier supérieur du corps, mais vous aurez vos responsabilités...Si vous n'avez rien a ajouter, vous pouvez disposer. laissez moi votre adresse, je vous enverrais quelqu'un des que nous aurons constitués une compagnie pour vous.

________________

Une fois l'homme partit le chanoine resta songeur. Un jeune noble prometteur. Certainement pas d'une grande famille, sinon il n'aurait certainement pas été épargné par la révolution. Ce pouvais-il qu'il devienne un ennemi de la republique?

La situation était on ne pouvais plus floue quant a l'attitude du chapitre face a la république. Que voulais dire ce rapprochement de dernière minute? bizarrement, c'était depuis que le liturge n'y contrôlais plus les affaires, depuis qu'il était enfermé dans ce fameux concile.

le chanoine griffonna quelques informations sur le dossier "Von Holtz" et le referma
"Suivant"

Citation :

Neuvième entrée

« Loi empirique du receleur : plus l'objet que vous achetez à un receleur à de la valeur, plus son ancien propriétaire voudra le récupérer tout en vous corrigeant au passage. »

Je crois qu'il n'a pas du comprendre ce qui lui arrivé, se faire riveter la tête comme ça ne permet pas d'avoir l'occasion de saisir ce qui se passe, néanmoins ça fera toujours un con en moins dans le monde. Quoi qu'il en soit maintenant mon bâton de maréchale est bien à l’abri, heureusement qu'il n'a pas trouvé le moyen de faire sortir les lames. Tournez le pommeau du haut à gauche, celui du bas à droite, deuxième ligne d'aigles en partant du milieu, appuyez et votre bâton se transforme en double-lames d'un mètre cinquante. Répétez l'opération dans le sens inverse pour faire rentré les lames.

Je ne sais pas comment je me suis débrouillés pour Laibach et honnêtement, je ne préfère pas le savoir. Kapen-Lagen n'est plus qu'a une poignée de kilomètres j'espère que je n'aurais pas trop de mal à trouver cette endroit, l'adresse ma l'air un peu abscons.

J'ai emporté des vêtements, le théorbe ainsi que toute la monnaie que j'ai pue trouver, j'ai due me séparer du fusil que j'avais mis au point, trop encombrant j'espère que si je suis pris je pourrais avoir à disposition du meilleur matériel. Peut-être que je devrais faire de la théorie dans des classes avant de faire de la pratique sur le terrain.

[…]

Je suis arrivé à Kapen-Lagen, dans la ville basse, j'ai retrouvé l'auberge ou je m'hébergeais avant, je me souvient y avoir laisser des affaires, mais pour l'instant, je vais aller dans un autre endroit en attendant. Finalement j'ai trouvé une autre auberge, j'ai réserver pour la nuit, puis je suis parti à l'adresse indiquer.

Drôle d'endroit, devant la porte des moines qui portaient des armes à la ceinture, j'ai manquais de m'esclaffer en passant devant eux, maintenant je suis dans la salle d'attente ou je griffonne ces quelques lignes. Et la j'attends.

A coté d'Alner, un gros baraqué, barbue, bras croisé, attendant patiemment sans un bruit, puis on entend « suivant ! » un type quelconque se lève et marche dans la direction de l'appel, un moine, plus loin, assis devant un bureau lis le journal dont le titre de la une a un rapport avec un scandale sexuelle. Alner balaye du regard la salle, à part des chaises rien d'autres. Quelques minutes plus tard, l'homme qui était appelé sortis tout sourire, ont entendit encore « Suivant ! » et le grand baraqué se leva à son tour. Alner se retrouve seul pendant dix minutes un quart d'heure. Il baille, ravale sa salive, papillonne du regard, se gratte, vérifie que sa prothèse est bien en place. Finalement, le grand baraqué sort, lui aussi avec un sourire jusqu'au oreilles. Comme il n'y a personne d'autre, Alner se lève et entre à son tour dans le bureau. Simple, un bureau, deux chaises, un moine assis devant faisant le geste invitant l'intéressée à s’asseoir. Il y avait de la paperasse, et un presse-papier.

Code:

Petite précision : j'ai voulue tenté un registre un peu plus théatral :
italique : didascalies;
italique cité : journal;
souligné : aparté d'Alner, à prendre comme des pensées;
normale : dialogue.

Le Chanoine commençais a avoir quelques noms qui pouraient faire des officiers convenables. Mais il n'avais encore trouvé personne pour faire un commandant digne de ce nom. C'était une armée de volontaires, l'officier supérieur devrais donc avoir encore plus de qualités.

Certes un peut fatigué, il était de meilleure humeur que precedement. Il etouffa un bâillement, ouvrit une pochette vierge et sortit une feuille blanche pour annoter les informations que le prochain personnage lui indiquerais. Avant de le recevoir, cependant, il se dirigea vers une arrière salle pour se prendre un café. Il était en train de le boire tranquillement quand il fut interrompu.

-Mon Père?
- Qu'y a t'il ?
- L’équipe médicale dépêchée par le chapitre dEderlezi est arrivée, Ils veulent vous voir.
- Plus tard. Veillez a leur trouver des appartements. Il ne doit pas rester grand monde dans la salle d'attente, alors je vais terminer ceux qui restent. Nous verrons l'equipe medicale demain.
-Bien. Je vais m'occuper de leur arrivée, alors.
-Faites.

Sur ce, il retourna dans son bureau, replaça son presse papier convenablement, rapprocha le sceau de Cassiel pour qu'il ne tombe pas, puis appela pour la enième fois de la Journée:

"Suivant"

l'homme qui entra avais un teint buriné , un manteau troué et mité et plusieurs cicatrices. De manière générale, ses vêtements avaient l'air de bonne facture, mais avaient beaucoup vécu. Il invitât l'homme a s’asseoir. De toute évidence, ce clochard ne resterait pas longtemps sur cette chaise. Et si il voulait la charité, il s'était trompé de chapitre. Il était cependant disposé a l'ecouter.

Bien, monsieur, je vous écoute. Qu'avez vous comme competences, diplômes, expériences, qui pourraient nous intéresser?

Le Moine croisa ses long doigts devant son menton, comme a son habitude et attendit en fixant le sombre individu qui lui faisait face. Celui-ci n'avais rien d'une mine de jeune premier sortant tout droit de l'école.

Je sens qu'on va bien se marré !

Eh bien ... je suis militaire, de carrière, on dirait pas mais cela va de soit. Que dire sur mes diplômes, je les aient pas sur moi, mais je pense que l'on pourra faire sans. Je suis sapeur de formation avec quelques options diverses et variés (Enjolivons un peu ça), et j'ai compétences de logicien !

Après pour mon expérience, je peu vous montré ceci.

Il brandit sa main gauche avec ces quatre doigts restant.

Tireur embusqué, fort maladroit d'ailleurs c'était un jour de gros vent.

Il se baisse et ramène sa jambe droite avec la prothèse sur le bureau du moine qui semble être déconvenue par le geste.

un baril de poudre mal réglé au niveau de la mèche.

Il se lève.

Je peu aussi vous montré les éclats de mitraille fichés dans mon dos si vous n'êtes pas sensible à ces détails là.

Il commence à enlevé son manteau mais le moine, lui fait signe de se rasseoir visiblement, ce dernier le croit sur parole.

Bon, sinon j'ai servis dans l'armée belondaure, j'ai participé à plusieurs conflits armées d'envergures, j'ai personnellement commandé sur le champ de bataille. D'ailleurs à ce propos je suis tout à fait apte à la pédagogie, j'ai besoin de m'éloigné des opérations quelques temps, je suppose qu'un briscard comme moi peut être utile à la formation non ? Bon alors vous me prenez ?

Il se rassoit, pose son cou sur son genou et se tient la tête avec le poing.

Sinon au niveau des salaires, ça va dans les combien ? Je suis un étranger complet au niveau des catégories. Niveau 7 ça paye bien ? Logé, nourri et blanchi ? Vacances ? Jours fériés ? Permission ? Je sais je suis un peu tatillon, mais pour aller cherché l'adversaire, faut bien le titiller un peu si vous voulez le faire sortir de sa planque ? Bon alors vous me prenez ?

Vous savez, vos blessures ne m'impressionnent pas. Un mineur aurais put avoir les mêmes...un chariot qui explose a cause de la dynamite, peut vous pulveriser la jambe et vous coincer des morceaux de métal a vie un peut partout dans le corps... passons. Vous n'avez pas le profil d'un mineur. Je suis de bonne humeur, j'ai envie de vous faire confiance. Mais gare a vous si c'est des mensonges.

Depuis le début, ce sont les moines soldats qui entrainent les volontaires, alors coté résultat, on peut attendre longtemps.

face a l'air surprit:

Oui, on sais que même la milice vaut mieux que nous.On est assez réaliste sur ce plan la... Bref, les officiers, des demains, se chargent de l'entrainement. On verra ce que donne votre "pédagogie". Demain, j'affiche la répartition des Unités et je vous renseignerez sur vos missions. Rien de vraiment compliqué,si vous avez l'expérience que vous dites, mais nécessaire... et ça peut s'avérer valorisant. Tient, avant d'oublier, je note qu'il faut que je demande des explosifs, vu que c'est votre domaine.

Un blanc.les salaires. vous êtes un étranger, donc le larbin qui vous a accueillit, il est categorie 8... en gros c'est la moitié du salaire d'un lieutenant dans l'armée régulière. On est assez près de nos sous...Mais ou êtes nourris logé blanchi, donc ça ne devrais pas trop vous poser de problèmes...surtout pour "blanchi". Pour les congers, quand il y aura une armée régulière, il y aura de frequentes permissions. Et au rythme ou bouge le gouvernement,...
Sinon, monsieur, a part ça... vous êtes qui? présentez vous. votre caractère, votre passé...et puis, votre nom, d'ailleurs, vous ne l'avez même pas annoncé. De plus, j'aimerais que vous développiez sur l'étendue de vos talents en logistiques. Le chapitre se chargera de l'intendance, alors évitez de rabâcher la dessus, maispour mettre en place une stratégie, des infiltrations...?

C'est curieux, vous m'avait fait penser à quelque chose que j'avais dit à un ami il y a quelques temps : plus une vérité est vraie, moins elle est crédible. Vous êtes tombé en plein dedans.

Je me présente : Teeldorg, Alner Teeldorg, et s'il vous plait, je suis sapeur, pas mineur, même si cela fait parti de ma formation au génie militaire. En fait pour être plus clair, je suis ingénieur militaire, cela recouvre plusieurs domaines, mais je ne pense pas que vos moines-soldats aient eut le temps de casé des études d'ingéniérie avec des études de théologies, d'ou le fait que je me propose à la formation, disons officier-instructeur (j'insiste pour "officier"). J'ai largement les compétences, mais la non plus vous ne me croirez pas une seul fois. Au fait, je tiens à vous prévenir, je suis farouchement athée, mais bien entendue ceci n'est qu'un détail si vous faites confiance en ma compétance. Je suis diplomé d'ingéniérie militaire, chimie, balistique, brevet de lieutenant en second, On m'a aussi appris la sténographie, je parle l'avarois, le belondaure, le zollernois et le russlave.

Je ne m'occupe pas de missions d'infiltration, seulement de renseignement sur le terrain, un bon sapeur doit savoir faire une bonne carte et avoir une bonne mémoire, j'ai les deux. Après, creusé une tranché, des galeries, sapé un mur, saboté une ligne de chemin de fer, même sous le feu ennemie, ça m'est faisable, mais j'en doute forts pour vos futurs grouillots. Et il est bien évident que je refuse de revétir l'habit monacale, mais la encore nous pouvons nous arranger.

Il se penche vers son interlocuteur.

Vous me prenez, oui ou non ?

a l'évocation, le chanoine tiqua.

évitez de parler de votre confession comme ça, a un religieux. heureusement pour vous, je ne suis pas techniquement rattaché a l'Inquisition. J'espère que vous etes conscients qu'une partie de nos motivations reposent sur des critères religieux.

Et pour la formation, vous aurez le loisir de le faire, ne vous inquiétez pas, cependant, vous ne resterez pas longtemps. Vous pouvez commencer a former les hommes que vous désirez, officieusement, avant le depart. Cela nous permetra de vous jauger et d'apprécier vos qualités.

Bien, alors je suppose que je suis pris, y a t-il quelques chose à remplir ? Un formulaire ? De quoi rassasié l'administration en paperasse ?

L'homme en face de lui sorti une feuille et une plume. Alner, lu attentivement le papier, le remplit comme il faut et le signa. Puis il se leva.

Monsieur, c'est un plaisir de travailler pour vous !

Il tend la main vers son interlocuteur, qui avec un brin d'hésitation à cause de la main sale, lui sera la main. Puis Alner s'en retourna et quitta l'endroit.

Citation :

…
J'ai finalement réussi à me faire engager, comme instructeur, je dois être présent au lieu convenue pour le rassemblement demain, d'ici la j'en profiterais pour me bichonner un peu, c'est que j'ai vraiment l'air sale moi. Vais aller m'acheter des habits convenable en attendant qu'ils aient un uniforme digne de ce nom et je vais me faire un soins du visage.

Mais d'abord, il faut que je travaille ma pédagogie, si je veut vraiment bien instruire, il me faut une bonne base. Je crois que je l'ai déjà trouvé. Ah oui, et me faire une dotation en armement, j'ai pas grand chose à disposition et je préfère user de l'argent retrouvé à Laibach avec parcimonie …