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Forum RP sur les terres de Siegburg-Helzonie.
 
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 Honneur perdu

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Garviel Novronev
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MessageSujet: Honneur perdu   Honneur perdu Icon_minitimeDim 6 Fév - 18:30

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Evènement après l'attaque du manoir

- C'est intolérable !

Meric avait le regard droit malgrès les semonces dont Garviel l'accablait. Le président de la CN l'avais convoqué peut de temps après sa sortie du commisariat, lui laissant tout de même le temps que les médecins lui fasse un platre. Saul, quand à lui, était placé dans un coin du bureau de Garviel, regardant la scène avec un légé sourir dont il avait de la peine à cacher.
Le président de la Corporation était rouge de colère, debout dérière son bureau, les deux main posées sur le rebord. Même Meric n'avait jamais vu son patron s'énerver à ce point, et il devait avouer qu'il n'était pas préparé à un tel élent de colère de la part d'un homme qui en apparence faisait fils à papa.

- Vous avez pris d'assaut une propriété privé avec des agents de la CN et des soldats de la BCNS ! Et ce devant une foule de témoin ! Que vous avez abattu !!

Meric avais du mal à bouger les lèvre, mais il tanta de s'expliquer:

- Monsieur ... ce sont eux qui nous ont tiré dessus les premiers, et l'expérience 17 ...

- Ne vous foutez pas de ma gueule Meric !! Vous n'avez en aucun droit le pouvoir d'ouvrir le feucsur les civil sans mon ordre quand cela peut être évité ! Et cela aurait pu être évité !

Garviel reprit son souffle, puis recommença de plus belle:

- Quand à la poursuite de l'expérience 17, une affaire prioritère ne signifie pas que vous devez déployer l'armada dans toute la ville !! De plus, je crois que vous avez fait preuve d'imcompétence sur le terrain !!

Meric écarquilla les yeux:

- Comment vous pouvez ...

Puis il compris et lança un regard haineux à Saul Voyen, le pointant du doigt:

- Toi ! espèce de sale ...

- Il suffit Meric !! C'est sur mon ordre que Saul à été envoyé, et il a fait ce que je lui avais demandé ! Vous avez complétement pété les plomb ma parole ! J'ai été obligé d'interferer dans la justice et avec la milice pour couvrir l'affaire et vous sortir de cette merde, mais ce fut une fois de trop !

- Monsieur Novronev je ...

- Taisez-vous, vous êtes incompétent et il est inadmissible que vous soyez chef de la sécurité de la CN !

- Mais ...

- Vous êtes renvoyez colonel ! Vous allez attendre dans votre bureau, deux agents de la police viendrons vous chercher pour vous incarserer. Sur mon ordre, je ne peut laisser passer ça.

Meric sentit le monde s'écrouler autour de lui, tout sa carrière venait de disparaitre un une seconde.
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Garviel Novronev
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MessageSujet: Re: Honneur perdu   Honneur perdu Icon_minitimeLun 7 Fév - 3:31

Meric était anéanti. Il regardait fixement la photo qu'il avait sur son bureau, à l'époque où la photographie en était à ses début, le représentant au côté de Fabius Novronev, lui serrant la main, et de Garviel qui venait d'avoir sa vingtaine. La CN avait été comme sa seconde famille après l'armée, mais aujourd'hui il se santait privé d'elle.

Après son entrevue avec le président de la CN, deux agents de sécurité l'avaient raccompagné à son bureau devant lequel ils montaient la garde. Le colonel avait vu dans leur regard une certaine compassion, mais ils faisaient leur travail.

Son bras ne lui faisait plus mal, la balle avait traversé et dans une semaine il pourrait de nouveau l'utiliser, mais où serait-il dans une semaine ? En prison, sur ordre de celui à qui il avait juré la défense. Il comprenait le jugement du fils Novronev, ses action avaient mis l'entreprise en danger, et la CN était tout ce qui restait à Garviel depuis que Fabius était mourrant.

De sa main gauche il ouvrit le tiroir de son bureau et y sortit une vielle montre à gousset. Il l'ouvrit, le cliquetie léger des engrenages avait quelque chose de rassurant, une routine continuel assuré par les rouages mécaniques. Mais ce qui retaint son attention fut le petit portrait de son père en uniforme militaire de l'ancien régime.
Il posa délicatement sa main sur la photo, et comme pour lui parler ferma les yeux:

- Je vous est déçu père, je regrette. J'ai sali mon honneur, et le votre.

Il posa la montre sur le bureau et sortit une boîte de ce même bureau. Il l'ouvrit doucement sans vraiment regarder son contenue.
Il leva les yeux et regarda le blason de la BCNS trôner devant lui, juste au dessus de la porte.

- Et vous m'avez toujours appri que l'honneur bafoué d'un militaire est perdue à jamais.

Il répétait ces phrases comme une prière, un rituel des temps ancien. Il plogea la main à l'intéieur de la boîté pour y sortir une magnifique révolver de type magnum doré. Sur le côté de l'emplacement de l'arme, six balles de gros calibre étaient soigneusement disposées. De ses doigts légèrement tremblant il en prit une et la plaça dans le barillet. Il le tourna légèrement pour que la balle soit en face du canon.
Il regarda une nouvelle fois la photo de son père qui de son air grave le dévisageait.
Le colonel tournalentement le pistolet vers son visage, ouvrit la bouche et avala le bout du canon.

Il avait tout perdu aujourd'hui, autant matériel que morale, pour sauver ce qui restait de son honneur, il se devait de faire comme l'avais fait son père le jour où il fut capturé par l'ennemie.
A l'aide de son pouce, il poussa le chien et enclancha la détente de l'arme.
Il tremblait, mais son regard ne pouvais se détacher de celui de son père qui le regardait fixement. Une multitude d'image défila devant lui en quelque secondes à peine.

La fin de se défilé se traduisit par le bruit d'une lourde détonation qui retentit dans toute la pièce, la main de Meric lachant l'arme encore fumante qui tomba lourdement sur le sol.
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Garviel Novronev
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MessageSujet: Re: Honneur perdu   Honneur perdu Icon_minitimeMar 8 Fév - 14:36

Garviel arriva devant la porte du bureau de l'ancien chef de la sécurité en courant accompagné de deux agents de sécurité. Devant la porte, des agents essayaient d'ouvrir la porte tendit que des secrétaire appeurées se demandaient ce qui ce passait:

- Que c'est-il passé ? Demanda Garviel à l'un des gardes avec autorité.

- Le colonel Monsieur Novronev, nous l'avons amené jusqu'à son bureau en attendant les agents de police comme vous nous l'avez ordonné, mais il y a eu un coup de feu à l'intérieur et la porte est bloquée.

Garviel comprit immédiatement ce qui venait de ce passer:

- Bon dieu Meric, merde ... murmura t-il. Puis il s'approcha des gardes en ordonna:
Qu'est-ce que vous attendez, ouvrez cette fichue porte !

L'agent de sécurité, en voyant le regard inquiet du président de la CN, il déguaina son arme et tira trois fois dans le verrou. La sérure éclata et la porte s'ouvrit après les coups de pieds des autres agents. Ils entrairent l'arme au point, vérifiant chaque coin de la pièce. Garveil entra tout de suite après, l'air sentait le souffre.
Le grand fauteuil du bureau était retourner face au mur.

Garviel s'approcha doucement du grand bureau de l'ex chef de la sécurité:

- Meric ? Meric repondez moi.

Aucune réponse, il contourna légèrement le fauteuil. Il put enfin remarquer qu'il était également vide.

- Monsieur, la fenêtre est légèrement entrouverte, et il y a une corde de tendue jusqu'à l'étage inférieur. Hurla un des agents.

- Bordel de dieu, descendez en bas et retrouvez le ! Dépêchez vous !

Les agents s'exécutèrent et sortirent en trombe de la pièce. Garviel suivit le mouvement mais s'arrêta brusquement, il remarqua quelque chose qui lui avait échappé, un détail. Enregardant de plus près, ilvu une montre posée du le bureau, une vielle montre complétement disloquée, transpersée par une balle. Les minuscules engrenages étient éparpillés sur le bureau. Au milieu, le trou béant d'une balle de gros calibre.
Il prit par la chaine ce qui restait de la montre dans sa main. Il devait y avoir une photo dont on ne voyait plus que les contours, la balle ayant passé à travers, en plein milieu.
il reposa la montre, perplexe tout en se demandant:

- Qu'est-ce que vous aviez en tête Meric ?

Puis il tourna les talons et resortit du bureau.
***


Qulque minute plus tard, dans le même bureau, une petite porte invible en entrant s'ouvrit tout doucement. Meric sortit la tête, son pistolet à la main. Vide, parfait.
Il sortit et passa par le bureau de sa secrétaire qui était partie ce faire consolé par ce qu'elle avait entendu. La porte menant au couloir était bien sûre gardé par un agent de sécurité, Meric se posta dérière lui, passa son bras autout de son coup et de par cette prise le fit s'évanouir.
Il se dirigea vers les escaliers de service en prenant soin de ne pas se faire repérer.
Il arriva dans un peit hall vide, reservé au passage du personnel d'entretient. De là il entra dans un ascenseur et abaissa le levier du premier sous-sol.

Il avait perdue son honneur, mais contrairement à son père il allait le retrouver.
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Garviel Novronev
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MessageSujet: Re: Honneur perdu   Honneur perdu Icon_minitimeJeu 10 Fév - 18:24

Si sa diversion avait réussit, une partie des agents de sécurités du premier et deuxième sous-sol avaient été envoyé dans les niveaux supérieur afin de boucler la zone et l'empêcher de s'échapper. Il le savait car c'est lui qui l'avait instauré. Sa connaissance absilue de tout les systèmes de sécurité de toute les installation de la CN lui permettrait de sortir d'ici et de préparer sa vangeance, retrouver son honneur était la seul chose qui lui importait.
Quand l'ascenseur s'ouvrit, il donna lieux sur une petit hall toujours réservé au personnel d'entretient. Mais dérière chaque porte il y avait des gardes à coup sûre afin de vérifier les allés et venus. il entra dans un des vestiaire, ceux-ci étaient vide car les agaents d'entretient ne prenaient pas encore leur service. Il monta sur une étagère et poussa une grille d'aération, il la reposa une fois dans le conduit.

Après un petit tour dans le conduit d'aération, il arriva exactement là où il voulait être, au parking du personnel carde du siège sociale. Il sortit discrétement et remit la plaque en place. Il remarqua la présence d'une patrouille d'agents de sécurité qui faisaient leur ronde, ils allaient en sens inverse de sa position. Parfait. Il se faufila parmi les voitures plus ou moins luxueuse du parking et choisi celle qui avait le plus de puissance. Il crocheta facilement la portière et pénétra dans le bolide. Le siège en cuir était très confortable et l'intérieur assez chique. Mais il avait horreur de ce genre de voiture trop bling bling pour lui, préférant la simplicité.
Le temps préssait, il ne traderaient pas à ce rendre compte de son subterfuge et dans quelque minutes, tout le secteur sera bouclé, il deavit agire vite. Il vérifia la jauge à combustible du moteur à vapeur, vérouilla les portière, mis sa ceinture et démarra.

Le bruit du moteur alerta les deux agents de sécurité qui n'ayant vu entré personne se demandaient bien qui pouvaient conduire. Alors que la voiture de Meric se plaçait dans l'allé centrale vers la rampe de sortie, l'un des agents lui demanda de stopper le véhicule. a ce stade, il n'avait plus le choix, il poussa le moteur à vapeur à fond et accéléra. La voiture cracha une grosse fumé noire avant de décolla littéralement de sa position. Les agents sautèrent sur le côté pour eviter de se faire écraser. Ils se retournèrent ensuite et tirèrent sur la voiture. Avec le bruit du moteur, Meric n'entendit pas les coups de feu, tout ce qu'il vit c'est une balle qui avait traversée les vitres la voiture de part en part dpuis l'arrière, lui frolant la tête.

L'alarme avait été donné, les gardes du contrôle actionnère le mécanisme et les grosses portes latérales commençaient à se fermer afin de confiner le parking. Meric poussa le moteur à son maximum, frolant la surcharge et l'explosion. La barrière éclatta sous la vitesse de la voiture qui manqua de paut à ce faire couper en deux par les portes coulissantes.
Il monta la rampe et se retrouva à l'extérieur. Il avait fait le plus dur côté discrétion, maintenant il fallait survivre jusqu'en dehors de la zone controlée par la CN.

A peine sortie dans la rue, des soldats de la BCNS cette fois lui ordonnèrent de stopper le véhicule. Ils avaient du faire le rapprochement entre sa disparition et le chauffard fou. Voyant qu'il ne ralentissait pas, deux soldats ouvrirent le feu avec leur fusil tendis que d'autre arrivait par le poste de sécurité droit.

- Bordel de merde ! hurla t-il alors que les balles s'écrasaient ou traversaient la carrosserie de la voiture


Toujours sans ralentire, il détruisit la barrière de sécurité juste avant que les gardes ne déploient la chaine de clou.
Le défaut dasn le système de sécurité de la CN, c'est que personne ne s'attendait à ce que la menace vienne de l'intérieur, lui non plus ne s'en doutait pas.

Il était maintenant dans la rue, il avait à peine fait cent mètres que trois voitures de la CN se lancèrent à sa poursuite. Il s'accrocha au volant et pria car il lui restait à passer le poste de sécurité de la rue, installé après l'attenta, et contrairement aux autres il n'avait pas de barrière en bois, mais en métale et les soldats ne manqueraient pas d'utiliser la mitrailleuse caché dans le poste et prète à être utiliser en cas de coup dure.
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