Un hommage sincère et solennel

Joueur Messages : 338 Date d'inscription : 05/10/2010

Quelques jours après l'accident du quartier qu manoir Aslanov, les amis et familles des victimes des agents de la CN étaient venus se receuillir en venant déposer de fleurs. Une mur en bois avaient été dréssé et chaque membres avaient accroché une photo du défunt, des photos de personnes souriantes, avec leur proches, mais mortes.
Des petits papiers avec des mots d'adieux et de désepoir y étaient aussi accroché:

" Nous ne t'oublierons pas Hans, toujours dans notre coeur "
" J'ai perdu mon seul fils, maudit soit ces gens qui l'on tué "
" Mes tour des rondes sont beaucoup moins drôle sans toi mon vieux, tu était mon meilleur ami, le meilleur que j'ai jamais eu "
" Tu seras vangé un jours où l'autre, nous avons signé une pétition pour que tout les salud de ce quartier soient arrêté, tu nous maque terriblement"
" Nous venions juste de nous mairier, et ils me l'on pris avant notre lune de miel, je porterais ton deuil jusqu'à ma mort "

Le nomgbre de ces mots et photos s'entassaient, le mur fut agrandi et remplacé par un mue en pierre, plus décoré et enluminé, sur lequel le nom des victimes y était gravé, toute les victimes sur ordre de Garviel malgré les objection des proches des victimes qui ne voulaient pas que les meurtriés de leur amis, mari et enfant y figure.
Deux jours plus tard, il y eu un rassemblement dans le quartier des proches et dix minutes de silence furent acordée, le président Garviel étant présent. Dix minutes pendant lesquelles on entendait les pleurs des mères et des femmes.
Garviel fit un discours à la fin du receuillement, il indiqua qu'il prenait toute les responsabilités et augmentera les agents de sécurité, promettant un revenue aux veuves et des soins gratuit pour les membres des familles des défunt. Bien que cela ne remplacera jamais la lourde perte.

Maître du Jeu Messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2010

Durant le discours du président de la Corporation Novronev, des hommes, portant une cape afin de dissimuler leurs armes, s'étaient approchés de l'estrade où le président de la CN faisait un discours. Ils entouraient maintenant tout le podium et ils étaient résolus malgré les quelques agents de sécurité qui se trouvaient à côté de Garviel. Les familles avaient été prévenues et après la commémoration nombre d'entre elles étaient rentrées. Un des homms présent s'exclama.

- Enfoiré ! Tu permets à tes hommes de venir tuer nos familles et maintenant tu te crois au dessus de tout pour venir ici ! Meurt sale pion du despote !

La situation s'envenima rapidement, les agents de la BCNS s'étaient intercalés entre les hommes et leur chef mais certains d'entre eux étaient déjà à terre. Ils se déplaçaient tant bien que mal vers leurs véhicules. La "vraie" milice qui surveillait les lieux étaient en plein escarmouche avec les anciens de la milice dirigés par leur chef déchu.

- Miliciens ! Rejoignez nos rangs contre l'usurpateur qui permet aux corporation de tuer des civils ! J'étais l'un d'entre vous auparavant. Aidez-nous à rebâtir un nouveau pouvoir qui ne permettra pas ce genre d'infamie ! Vous savez comme moi qu'il ne se passera rien contre cette corporation qui corrompt la justice à ses propres fin !

Maître du Jeu Messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2010

Spoiler:

Admin Messages : 174 Date d'inscription : 23/07/2010

Le membre 'Deus machina' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

#1 '1D2 - pile ou face' : 2

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#2 '1D20 - dé à 20 faces' : 14

Maître du Jeu Messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2010

Garviel et les quelques agents qui étaient encore debout se retrouvaient bloqués, cachés derrière les voitures en feu. Leurs véhicules avaient été pris à parti par les habitants lorsqu'ils avaient vue fuir le dirigeant de la CN vers les voitures.

De leur côté, les miliciens n'avaient pris parti pour aucun des camps. Ils étaient liés à leur engagement de servir la république et leurs dirigeants dont Garviel faisait parti, mais ce que disait leur ancien camarade était vrai. Ils étaient là lorsqu'il avait été renvoyé avec tous ses hommes et que rien n'avait été fait à l'encontre de la CN. La plupart d'entre eux étaient pour rejoindre les insurgés mais pour l'instant rien ne se passaient.

Les habitants avaient surpris les agents et peu d'entre eux étaient touchés mais ils étaient peu organisés. Les agents de la BCNS avaient été durement toucher avant de vite se reprendre pour protéger leur chef, mais dans la confusion et parce qu'ils fuyaient et qu'ils devaient protéger Garviel, ils ne tiraient pas pour tuer mais pour empêcher leurs assaillant de riposter à leurs tirs de barrage.

Joueur Messages : 338 Date d'inscription : 05/10/2010

- Faites évacuer le président ! hurla le sergent de la BCNS chargé de sa sécurité.

Des soldats de la BCNS avaient récupéré des boucliers dans les véhicules et formaient un mur de métale entre lui et les insurgés. Ceux-ci n'étaient pas nombreux et complétement désorganisé, les agents ne tarderaient à tous les maitriser, la sécurité étant l'un de mots d'ordre de la CN, il y avait toujours deux camions de la BCNS non loin pret à intervenir.

- Mais c'est quoi ce bordel ?!

Garviel avait vu une balle lui passer pret de la tête il y avait à peine trente secondes, il ne paniquait pas mais était dans l'incompréhension totale.

- Ne vous en faites pas monsieur, la situation est sous contrôle, les renfort arrive et seront prèt à vous évacuer et matter ce qui estes des terroristes. lui répondit l'officier de la BCNS.

Comme pour tout déplacement d'officiel de l'état, c'était des agents de la police gouvernementale, mieux formé et complètement dévoué au partie et à la république. Ils se réorganisèrent afin de sécuriser la zone.
Il n'y avait eu que l'officier de la milice qui fut mis à pied (non renvoyé), et par ordre gouvernementale et de la préfecture, ce comportement était contre les valeurs même de la milice et de la république.

- Ces fous n'ont pas encore compris que j'étais leur meilleur allié au gouvernement. Murmura Garviel alors que ces hommes finissaient de l'évacuer, un carré de bouclier le protégeant et les agent du gouvernement couvrant la zone autour de lui.

Les officiers de police gouvernementale ne manquèrent pas de rappeler aux miliciens leur devoir voyant que ceux-ci restaient passif devant la situation, le peloton d'éxecution étant la punition réservé à ce genre de comportement.

Maître du Jeu Messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2010

Code:: Ton rp n'est toujours pas correct. Tu n'es pas le MJ.

Joueur Messages : 338 Date d'inscription : 05/10/2010

Code:: ça convient cette fois ?

Maître du Jeu Messages : 302 Date d'inscription : 07/08/2010

Citation :: Comme pour tout déplacement d'officiel de l'état, c'était des agents
de la police gouvernementale, mieux formé et complètement dévoué au
partie et à la république. Ils se réorganisèrent afin de sécuriser la
zone.
Il n'y avait eu que l'officier de la milice qui fut mis
à pied (non renvoyé), et par ordre gouvernementale et de la préfecture,
ce comportement était contre les valeurs même de la milice et de la
république.

Non ca ca va pas, c'est rp nul part avant et avec les personnes que ca implique.

Maître du Jeu Messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2010

La milice n'était pas restée indécise très longtemps. Elle avait fini par rejoindre les ex-miliciens (maintenant membre du réseau allié à la Pègre) et les habitants du quartier révolté. Ils avaient cependant du battre en retraite suite à l'arrivée des grosbills de la BCNS qui venaient protéger leur président.

Garviel avait réussi à fuir mais la révolution couvait maintenant dans tout le quartier. Ils étaient partis au siège de la CN. Une cohorte immense de personnes qui n'en pouvait plus des ingérences de la CN.