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 Reveille difficile

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Alner Teeldorg
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Alner Teeldorg


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MessageSujet: Reveille difficile   Reveille difficile Icon_minitimeSam 21 Aoû - 12:28

Je me suis réveillé avec une sensations bizarre. Ainsi qu'une odeur, j'étais dans un tas d'ordures. Je cherchais à comprendre comment j'étais arrivé la. La mémoire revint rapidement, cette nuit, j'ai été obligé de m'enfuir après une tentative de vols, j'ai été poursuivis, j'ai tué les deux voleurs, puis trois miliciens, ce qui fait que je dois être surement activement recherché. A force de courir, je ne me suis pas rendue compte du chemin que j'ai fait. Tellement fatigué, j'ai fini par tombé dans une rue, c'est alors qu'un de ces engins tomba sur moi, à l'intérieur une femme assez jeune. Je me ruais sur l'engin, en brisait une vitre et pénétrait dans l'habitacle en incitant la jeune femme à me sortir de cette affaire. Après cela devient confus dans ma tête. Elle me tient des propos un peu bizarres, je pense qu'elle a été clair mais que mon état ne m'a pas permis de retranscrire en clair, je commençais à perdre connaissance. Je me souviens encore un barrage, les soldats cherchait un type avec un chat (moi) et une voleuse à bord d'une voiture. Le dé-clique eut lieu, dans un sursaut de lucidité, je jetais un regard furtif sur elle. Elle ne me vit pas, je baissais les yeux et vue que de sous son siège dépassait une pierre semi-précieuse.

Nom des Dieux de Merde. M'écriais-je quand je compris cela en me réveillant. Elle était surement de la Guilde des Voleurs. C'est juste après avoir vue l'objet du larcin que je évanouissais d'épuisement. Elle a due me sortir de son engin et me posait dans ce tas d'ordures qui me faisait office de lit. En retrouvant mes esprit, je vis encore une drôle de machine à coté de moi. C'était un fusil, mais avec un canon bien large. J'examinais plus en détails l'objet. Une ceinture était également posé à coté avec des munitions surement approprié. J'analysais le contenue de l'une des cartouche. Des billes de plomb, surement une arme à grenaille. Le chargeur de l'arme était également plein, ce qui me faisait en tout dix-huit cartouches pour cette arme.

Je remarquais que Collant n'était pas ici, surement était-il parti de son coté pour se trouvé de quoi survivre. Les chats ont ceci de surprenant qu'ils vous retrouvent toujours ou que vous soyez, je ne me fis aucun soucis de ce coté. J'étais dans un faubourg visiblement pauvre, à voir l'allure des bâtiments. Personne ne semblait m'avoir remarqué. Je vérifiais mes affaires. La clé de mon casier était toujours dans ma poches, les dix milles sesterces belondaures était toujours au nombre de dix milles, mon bâton toujours dans mon sac, ma lame à mon bras toujours opérationnel, mon pistolet chargé, vingt-quatre balles restantes sur les trente-cinq à l'origine.

J'avais également toujours les quelques siégers sur moi. Je me relevais péniblement, rien dans le ventre et voyant trouble. Il fallait que je mange quelques chose et vite. Je refusais de faire les poubelles. Je savais qu'étant dans un faubourg apparemment pauvre, je trouverais sans problème une taverne ou l'on pourrait servir quelques chose à un prix bas. Et peut-être aussi trouvé un bon indique, il me fallait trouvé l'emplacement de la Guilde des voleurs, ce serais surement un bon employeur cette guilde. Quelques pintes pourraient surement suffire à régler l'affaire pour les gens difficiles. Je vérifiais, pas de milices à l'horizon, je me ceint de la ceinture de cartouches du fusils à grenaille, me remis dans un état à peu près correcte. Et je me mis en quête d'un établissement digne de ce nom. Le hasard ou la chance voulut que je tombe à quelques rues plus tard sur une taverne.

Je m'avançais, quelques personne, ils venaient surement d'ouvrir. J'entrais courageusement et m'avançais vers le comptoir, les quelques piliers de taverne présent ne me regardèrent même pas, un bon point, j'en ferais mon point de ralliement dans le coin en cas de coup dur. J'en profitais pour prendre le nom, ''L'auberge Goelzer, de père en fils depuis 1706''. Une entreprise familiale, encore un bon point. Celui qui devait surement être le tavernier arriva devant moi. Je n'en pouvais plus, à mon apparence et à mon odeur, il remarquerait surement que j'avais quelques besoins urgent.


Bonjour ! S'il vous plait, c'est assez urgent, j'ai besoin d'un plat chaud, d'une bonne pinte, ainsi que d'une baignoire. Vous comprendrez surement pourquoi !


Dernière édition par Alner Teeldorg le Dim 22 Aoû - 23:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Reveille difficile   Reveille difficile Icon_minitimeDim 22 Aoû - 22:37

Un homme plutôt bedonnant s'approcha alors d'Alner. Il s'agissait de Mr Goelzer père, le maître de ces lieux. A deux pas de son nouveau client, il sentit une odeur tellement forte qu'il resta à cette distance respectable. Il s'adressa ensuite à lui d'un ton hésitant :

- Pour le plat et la pinte, si vous avez de quoi payer, pas de problème, commander et on vous sert. Vous voulez quoi exactement ? Pour le bain, il va falloir prendre une chambre monsieur. Les tarifs sont indiqués ici.

Dit-il en désignant le mur, avant de reprendre :


- Si c'est trop cher pour vous je vous offre le bain à condition que vous nettoyiez derrière vous.
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MessageSujet: Re: Reveille difficile   Reveille difficile Icon_minitimeMer 25 Aoû - 12:01

Comme me l'indiqua le patron, je regardais les tarifs, je pris ma bourse et compté alors mes quelques piécettes, je pouvais tenir trois jours chez lui. Je ne remarquais pas la carcasse de poisson accroché à mes cheveux derrière ma tête (surement l'origine de l'odeur), m'étant retourné, je compris à la tête du tavernier que j'avais effectivement besoin de soins. Et le mieux c'est que c'était dans mes cordes. J'attrapais les épaules du gros gars, qui eu un réflexe de contraction, certainement, il irait changer de chemise mais qu'importe.

Merci ! Du fond du cœur ! Merci !

Un quart d'heure plus tard, j'étais dans un bain bien chaud, avec posé en travers de la baignoire, sur une planche de bois toute simple, une pièce de bœuf, des œufs en plats, un quignon de pain du matin, une plaquette de beurre, ainsi qu'une belle pinte de bière moussante. Le beurre et la bière ne vont pas trop ensemble, mais c'était soit ça, soit supporté encore les airs d'opéra de mon estomac gargouillant.

Je pris aussi la peine me payer la bonne pour faire laver mes vêtements. J'étais comme sur un nuage, le paradis de l'hôtellerie, j'en aurais embrassé la foi local si mes convictions athées n'était pas assez fortes. J'avalais (que dis-je, dégustais) mon steak, je prenais un infime plaisir à savourer chaque moment sublime ou le blanc d'œuf légèrement grillé et croustillant entré en bouche pour la phase final d'atterrissage sur ma langue, j'exultais quand c'était au tour du jaune. Je n'ose rien dire pour les tartines, et le pétillant de la bière eut fini de me réveillé.

Dans le bain j'en profitais pour me récurer de fond en combles, il fallait que je sois propre, le tout était d'être approchable (et surtout de pouvoir approché) sans problème, les types de la Guilde des voleurs n'iront certainement pas vers moi, même si je gueule sur les toits que je veut être embauché chez eux.

Je plongeai entièrement dans l'eau, relâchant une bulle d'air toute les dix secondes, histoire de réfléchir à tête reposé. Je n'entrerais certainement pas aussi facilement, peut-être qu'en les amadouant. Je repensais au fusil que la fille ma laissait. J'avais pris le temps de l'analysé et de voir si il n'y a pas quelques choses à améliorait sur cette engin, j'allais me donner un peu de travail, le chargeur de cette arme demanderait à être optimisé, je pensais aussi que mes connaissances dans le domaine du génie militaire aurait très certainement une utilité, faire une fougasse pour détourner l'attention dans un vrai-faux attentat pendant qu'un braquage à lieu de l'autre coté de la rue, ça serait certainement amusant.

Je ressortais ma tête à la limite de la noyade, la bonne était déjà entré dans ma chambre.


-Vos vêtements sèchent.

Merci lui répondais-je sans plus. Étant maintenant totalement propre et présentable mais devant attendre cul nul dans ma chambre que ma garde-robe soit prête, j'allais me pieuté. J'accrochais à ma porte la mention ''ne pas déranger'', auquel j'ajoutais un petit écrit ''danger de mort violente, pour la bonne, attendez que je vienne réclamer mes habits.'' Assez dissuasif, et au moins, la ménagère était prévenue. Il était bien huit heures du matin. Je m'endormis dans le monde onirique qui est le mien.





Je me réveillais la bouche pâteuse, je regardais l'heure, une heure de l'après-midi, j'avais bien récupérer. Je me levais frais comme un cheval en début de course, et j'allais vers la porte. Je l'ouvrais et je tombais nez à nez avec la même bonne qui me ramenait mes vêtements. Étant toujours cul nue, elle écarquilla ses yeux, je fis de même.

Quoi, n'allez pas me dire que vous êtes toujours pucelle ! M'écriais-je, j'arrachais mes habits de ses mains et refermais la porte. J'enfilais le tout, j'étais présentable maintenant, je faisais l'inventaire de mes affaires, rien ne manquait. Lame opérationnel, pistolet chargé et armé. Je descendis à la taverne ou je commandais une autre pinte, je profitais que le patron m'approche dans fléchir, ma pinte à la main, j'en profitais pour lui faire signe de s'approchait, et à voix-basse dans le creux de son oreille.

Dites-moi, vous sauriez comment on approche la Guilde des voleurs ?
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MessageSujet: Re: Reveille difficile   Reveille difficile Icon_minitimeSam 28 Aoû - 17:55

A l'évocation de cette corporation, le patron du bar laissa tomber le verre qu'il était en train de laver. Il se pencha sous le bar et rassembla rapidement les débris. Lors qu'il fit irruption de dessous le comptoir, il avait des yeux hagards, il tremblait, bref, il semblait effrayé. Il tenta alors de bafouiller quelques paroles, donnant l'impression de réciter un discourt appris par cœur :

- Cette association de malfrat a été dissoute il y a bien longtemps, sous l'Empire. De plus, son quartier général a brûlé. Vous devriez en parler au passer Monsieur.

Puis il voulut fuir Alner en faisant mine de retourner à sa tâche, à l'autre bout du bar, mais celui-ci ne fut pas dupe, il le retint dans sa fuite et insista lourdement, lui montrant même discrètement son arme afin de le convaincre de rester.

Au bout d'un moment, l'homme l'emmena dans l'arrière cuisine, ferma le verrou de la porte, ouvrit toutes les portes de tous les placards, vérifia que toutes les fenêtres étaient bien fermées. Bref, il s'assura que personne ne pouvait suivre leur conversation.

Alner s'était assis sur une table qui traînait là, le patron prit alors une chaise et s'assit à son tour, en face de lui. Il lui fit signe de se rapprocher, et lorsque leurs visages manquèrent de se toucher, tout en continuant de scrutant constamment les environs il lui dit tout bas d'un ton inquiet, mais beaucoup plus naturel qu'auparavant :


- Certain disent qu'elle n'a jamais été dissoute, d'autres encore affirment que c'est réellement arrivé, mais que certains membres ont refondé leur mouvement. Quoi qu'il en soit, tous ceux qui ont tenté de savoir, de la retrouver, ou de l'intégrer, ont à jamais disparu de la circulation.

Le patron ne regardait jamais Alner, il vérifiait en permanence les entrées de la pièce, les caches éventuelles, cherchait un système d'écoute dissimuler quelque part.


- Pfut, envolés. D'après certaines légendes, elle est invisible pour ceux qui n'en sont pas membres. On ne trouve pas la guilde, c'est elle qui vient à vous. Je ne sais pas ce que vous cherchez, mais laisser tomber, ca vaut mieux pour vous, de toute façon vous ne trouverez pas. Je vous en ai déjà trop dit. Maintenant, n'abordez plus jamais ce sujet dans mon établissement, je ne veux pas avoir d'ennuis.

Le chef de l'établissement se leva soudainement de sa chaise et partit dans la salle principale, avant de retourner derrière son bar, plantant Alner ici sans en dire plus.
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MessageSujet: Re: Reveille difficile   Reveille difficile Icon_minitimeSam 28 Aoû - 23:35

Si je tenais compte de ce que m'avait dit ce tenancier je devrais en resté la, mais il en aurait fallu plus pour retenir quelqu'un comme moi. Je le remerciais pour ses informations et le laissa vaquer à ses occupations. Je pris quand même le temps de lui commander un gueuleton. Les haricots en salade, quel horreur, quand je pense que juste après c'est cassoulet, les gens du pays n'ont aucune gastronomie. Enfin, il fallait bien que je m'accommode du peu que je pouvais m'offrir, ma réserve monétaire commençant à s'épuisé. Je réfléchissais à l'idée d'aller à la bourse vérifiait les taux de change et faire changer mes sesterces en monnaie du coin, ça m'arrangerait pour quelques mois tout au plus. Mais mon intention d'approché la guilde était toujours inchangé.

J'eus vent que beaucoup de gens d'ici venaient s'instruire au lycée populaire, non diplômant et entré libre et gratuite je pourrais peut-être y cherché des renseignement. J'espérais juste ne pas avoir à demander, vue la réaction avec le tavernier, de renseignement au bibliothécaire, ma demande engendrerait certaines complications avec l'éducation nationale.

Je terminais mon repas, je me sentais un peu ballonné, je crois que j'ai ingurgité trop vite après avoir tenue longtemps sans avalé quoi que ce soit. Je remonté dans ma chambre pour digérer.

Après trois heures de siestes, je me décidais à sortir, il fallait que je prenne plus de renseignement que ça. Puisque le lycée populaire est ouvert à tous, je ne devrais pas avoir de problème pour entré, mais peut-être sans mes armes, je me défaisais de mon pistolet mais gardais ma lame, personne ne la sent quand j'ai droit à la fouille corporel, j'ai étudié le système pour.

Dans la rue, je passais inaperçue, tant mieux, les miliciens me voyait même pas tellement j'étais comme les autres gens. Quand on cherche un machin avec l'appellation ''populaire'', c'est généralement, la chose la mieux indiqué qu'il soit, ainsi je n'eus aucune peine à trouvé l'endroit.
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