Un raccourci par les égouts

L'odeur était toujours autant insupportable, respiré dans cette atmosphère faisait parti du parcours du combattant. Les boyaux des égouts sont tellement étroits par endroit que des fois, ils faut mettre les pieds dans cette eau infesté de rats et de je ne sais quoi d'autres. Cela à aussi son avantage, l'étroitesse rend les armes de jet difficile à manier, au corps à corps, c'est plus pratique d'autant qu'ils ne pourront arriver à plusieurs de front.

Quoi que, j'avais sorti mon fusil et la lanterne y pendouillait, comme ça, je pouvais mettre en joue et voir qui je visais. Je tentais de m'orienter dans ce dédale, les tunnels semblaient suivre les rues, d'autant que des plaques indiqué ces derniers qui se trouvait juste au dessus de ma tête, parfois de fortes vibrations au plafond, surement un de ces engins roulants.

Les égouts étaient finalement une mauvaise idée, c'est surement l'un des passages favoris pour les voleurs et il y a de fortes chances qu'ils connaissent les moindres recoins par cœur. Beaucoup d'intersections, de croisement et d'impasses, parfois, je tombais sur des grilles, d'autres fois sur d'immenses collecteur ou l'odeur était tel que je déguerpissais en courant avant l'asphyxie.

Toujours est il que je trainais encore dans ce labyrinthe, je pensais que j'allais y crever et qu'on retrouverais mon cadavre dans plusieurs années, au moins, je servirais de garde-manger pour les rats.

A terme de mes pérégrinations, je faillis tombé plusieurs fois sur des égoutiers (des vrais), parfois, je tombais sur d'autres choses indescriptible que je préfère ne pas raconté dans le détail.

Cependant, au bout d'un tunnel, j'entendis des pas. Ils n'avait pas l'air presser, et je ne ressentais pas de danger, cela devait être des égoutiers, je commençais à percevoir des bribes de leurs voix, je ralentis mon allure et me fit plus discret. Comme je n'avais pas d'autres moyen de contourné (retourné sur mes pas me ferais perdre un temps crucial), je décidais d'aller à leurs rencontres en prenant mes précautions, fusils bien calé sur l'épaule et bien maintenue par mes mains, la lanterne pendu au milieu de l'arme afin de la stabilisé un peu.

Arriver au coin, je pouvais nettement entendre les conversations et leurs pas, je me tenais en embuscade, j'espérais que cela ne finisse pas en bain de sang. Vint un moment ou je compris qu'ils étaient tout près, je me décidais à intervenir. En une seconde, je sortis du recoin et prenant le groupe au dépourvus, je les mirent en joue, yeux rivés sur mon viseur, la lanterne m'éclaira leurs visages. Inconnus au bataillon. Je pouvais voir une faible lumière au fond, surement une sortie. Mais mon attention était rivés tout particulièrement sur ce groupe, et il fallait que je me décode rapidement, je ne savais pas de combien de temps d'avance je disposais sur mes poursuivant.

« Voleurs ? Ou égoutiers ? »

Je détournais l'attention sur leurs habits, ils n'avaient l'air d'être des égoutiers.

« Ou conspirateur qui se tiennent à l'abri des regards et oreilles indiscrètes ? »

Sur ce point, je n'allais pas tarder à savoir ou cela me mènerait. J'espérais juste qu'il n'y avait pas de vampires dans ce tas, la suite est aisément imaginable si tel est le cas.

L'escouade de soldats de la CN marchait depuis au moins 6 heures dans les égouts de la ville. Ils pataugeaient la plupart du temps dans la viscosité malodorante voir insuportable pour les narines. Celui qui en souffrait le plus était Rayan, les hommes de Sergeï portaient leur masques de respiration qui filtrait en partie les mauvaises odeurs. Demia elle ne disait rien, apparemment elle avait connue pire comme situation.
Il fallait le reconnaitre, ils étaient perdu. Tout les chemins qu'ils avaient voulu emprunter avaient été détruit par les bombardements, bouchés ou n'existaient plus. Ils tournaient sans vraiment savoir si au prochain tournant il y avait une sortie ou une impasse.

Sergeï, qui se trouvait en tête de file, leva le bras. Tout ses hommes se stoppèrent.

- Eteignez vos lanternes, contact en face.

Les lueurs s’estompaient, le noir totale était revenu. On pouvait distinguer au loin une lumière provoqué par une flamme vive. Il y avait quelqu'un ou plusieurs personnes en face et personnes ne savait qui ils étaient.
Le lieutenant de la BCNS retourna en arrière et informa Rayan de la situation:

- Monsieur, il y a du mouvement en face et une lumière. Restez en arrière de l'escouade mais ne vous éloignez pas. Si ça barde, fuyez avec votre garde du corps.

Rayan approuva, Sergeï retourna à l'avant de ses hommes et donna ses ordres:

- Formez la ligne sur deux rangées, Baïonnette aux canons et paré à tirer.

il entendit le bruit métallique des couteaux placés à l'avant des fusils et les cliquetis des balles qui entraient dans la chambre des armes.
Une fois fois toute l'escouade opérationnelle, le Lieutenant Sergeï donna l'ordre d'avancer doucement et en faisant le moins de bruit possible jusqu'à cette fameuse lueur qui se trouvait à moins de deux cents mètres.

Alner, Sef, Emma et Andreï entendirent des pas résonner de l'autre côté du tunnel. Suivie de voix apparemment très énervée.

- Je vais le dessouder moi même!!! Hurla Kaya folle de rage, je vais lui enlever ses doigts un par un à coup de pince à épiler!!

Lineweaver courrait aussi vite qu'elle, l'arme au poing suivit d'une dizaine de voleur dans le même état d'esprit.

- Kaya, attends moi!!!! Tu ne peux pas te le garder pour toi même!!! répondit Lineweaver, Il faut partager la torture!!! Moi si je lui arrache pas la tête personnellement je passe pour un con, j'aurais du le buter immédiatement!!!

Ils continuèrent leur folle course, allant bientôt déboucher sur la position de l'autre groupe.

A dix mètres, Sergeï ordonna à ses hommes de stopper la marche. Ceux d'en face les avaient vue. Le premier rang mit genoux à terre et l'autre se positionna debout juste derrière.
Les quinze soldats de la BCNS braquèrent leur fusils vers le groupe d'inconnue en face d'eux offrant un mur de canons et de baïonnettes. Le lieutenant des soldats de la CN hurla à l'encontre du groupe en face d'eux:

- Identifiez-vous sur le champ ou nous ouvrons le feu !

Le groupe de Voleurs débouchèrent enfin sur le tunnel tant convoité et trouvèrent à la fois étrange et coquasse. Un groupe de quelques personnes qui avait l'air inoffensives avec le fugitifs et de l'autre côté des espèces de militaires inconnus qui braquaient joyeusement le petit groupe en question. Une vrai scène de roman digne de la pègre, presque trop irréelle.

La réaction des voleurs fut immédiate. Il braquèrent à leur tour avec leur fusil à pompe "l'autre côté du tunnel".

Kaya qui se fichait pas mal du danger s'avança même près du groupe armée. Vive la situation fastidieuse.
Un silence pesant s'installa pendant quelques instants...

La jeune femme s'était postée à coté de Serafina, elle n'avait pas manqué de remarquer que des hommes armés visaient à leur tour le premier groupe de soldats qui étaient arrivés un moment plus tot.

- Une écolière qui aime se balader seule dans les égouts, vous n'avez pas vu mes vêtements ?

Son groupe était caché, peut être qu'ils ne se méfieraient pas. Manifestement la situation était prête à exploser, surtout depuis l'arrivée de ce second groupe qui ne manquait pas de mettre Sef dans une posture l'obligeant à dégainer son épée pour se défendre si jamais il y avait une confrontation.

Code:

Son arme n'est pas visible

Bordel de dieu, ça va partir en vrille, me disais-je, nous étions à un carrefour en "y", moi qui visait les quatres personnes, un groupe de soldats à gauche, et la grande perche et sa bande derrière moi.

"Bon dieux de merde !"

J'étais pas loin de paniqué, je braquais tour à tour, le groupe que j'avais abordé, le couloir à gauche puis celui de derrière, ne sachant pas quoi faire, mes connaissances en tactiques étaient mis à rude épreuve. Je gardais mon fusil dans la senestre et je défourré mon pistolet de la dextre. Pointant du fusil les quatres premier et le pistolet dans la direction d'ou venait les voix.

"Identifiez vous ! TOUS ! Il faudra bien plus que ça pour terrasser un maréchal d'empire !"

J'avais laché un mot trop tôt, mais impossible de revenir en arrière.

"Ca va finir en gros bordel pas possible, cette histoire. Je me retournais vers les quatres autres, toujours mis en joue. La réponse que vous me donnerez déterminera contre qui et avec qui il faudra que je me batte ! Pas le temps de jouer au héros !"

Je faisais mes petits calcules, une dizaine de soldat à gauche, une vingtaine de voleur derrière mo, quatre clampins inconnus devant moi, improvisons, je me retourne vers les soldats.

"vous êtes des force régulières ? Ca tombien bien, voleur de la guilde sur votre flanc gauche !"

Et la je ne répondais plus de rien.

Voila autre choses, maintenant un groupe d'hommes armées venaient de surgirent d'une cavité adjacente. Le groupe armée de la BCNS n'avait pas bougé, de toute façon ils couvraient toute le tunnel vu l'étroiteté du lieux. La lueur des torches et des lanternes firent briller les lentilles de leur masque respiratoire, heureusement que ses hommes respiraient dans une tuyaux car sinon les bruit du stress de tout de petit monde aurait été assourdissant. Apparemment ce n'était pas des gardes républicain, ni la milice, mais qui étaient-ils ?

- Identifiez vous ! Tout de suite !

Apparemment, au milieux de tout ce bordel se trouvait un homme qui aurait du ce retrouver seul. Il prenait les soldats de la BCNS pour des soldats républicains et leur indiqua qu'ils avaient à faire à des voleurs.
La deuxième ligne prépara des grenade au cas ou cette situation tournerait au vinaigre, il fallait à tout prix sortir Rayan de là.

Le visage de Kaya se calma. Elle avait une idée, autant la jouer finement. Tous les voleurs étaient en uniforme de groom. Les mêmes exactement, et bien présentez.
Elle garda son armes braquée mais s'avança vers la lumière.

- Je me nomme Kaya Malininski, chef du service de sécurité de l'hôtel du Renard Masqué. Cette homme qui nous accuse d'être des membres de la pègre, vient d'essayer de voler l'un de nos plus gros clients. Nous avons des preuves de sa culpabilité et notre riche clients voudrait régler ça avec notre homme. Maintenant si vous voulez bien baissez vos armes, et nous dire qui êtes vous, vous aussi qui êtes en uniforme? Franchement qui a l'air du coupable ici? Nous ou cette espèce de voleur en fuite? C'est nous qui lui courrons après pas le contraire, avouez que c'est étrange.

Son ton était froid et confiant. Cette vampire avait de l'assurance et elle avait surtout envi de la peau d'Alner placardé dans sa chambre.

Je me retournais vers la vampire des voleurs.

"Ma chère, juste une chose, des reflexes quatres fois supérieur à la normal certes, mais ce que vous m'avez dit dans l'hôtel m'a beaucoup éclairer. Voyez-vous, réflexes surpuissants, j'en déduit dépense d'énergie, et donc besoin de carburant. si vous vouliez tenir à ce régime, j'ai fait mon calcul, il vous faudrez au moins la capacité en sang d'un taureau en pleine forme, hors, vue que vous êtes résolument antropophage, cela équivaudrait à une dizaine de personnes. Je doute fort que vous puissiez ingurgité dix fois cinq litres de sang, aucun organisme vivant ne peut théoriquement supporté une tel charge, cela prendrait trop de temps pour que votre corps l'assimile. Et nous en venons à la corrélation.
Vue que je suis dans cette tambouille depuis quelques trois heures, votre organisme pour pouvoir me repérer à due faire appel à vos réserves, pour pouvoir me pisté jusqu'ici malgré la puanteur, vous avez fait appel à vos donc extra-sensoriel pour me repérer, donc dépense d'énergie, ce qui en résulte est très simple. Vous n'avez pas quatres fois plus de réflexes, mais, si j'ai bien compter, allez, deux et demie. Et encore je suis gentil, je suposse que vous avez pris un goutêr à quatre heures. CQFD.

Silence.

"Ma logique est infaillible, je tenais à ce que vous le sachiez, comme quoi, contre les considérations rationnel et scientifique, les préjugés et les croyances obscurantistes en prennent plein la figure."

Impossible qu'elle reste indifférante, ce petit trait d'esprit peut avoir son effet sur les humains engagés dans cette affrontement.

Après avoir entendu ce que venait de dire Kaya, Sef se souvint de ce que lui avait dit la Goupil de Saransk. Kaya un membre de la section Chess, si elle pourchassait cet homme c'est qu'il y avait une raison. Elle se retourna et le toisa du regard. Elle pensa :

"Bordel mais c'est qu'il ressemble à l'homme du portrait robot que m'a présenté Alexandra !"

Elle n'avait pas percuté sur le coup mais maintenant elle comprennait.

Elle se retourna d'un geste vif, il ne la regardait pas à ce moment, trop occuper à fixer Kaya. Elle tenta de désarmer Alner avant de le plaquer au sol.

Code:

Lancer de dès

Le membre 'Deus machina' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'1D10 - dé à 10 faces' : 10

Suite au discours surprenant de l'homme et de la réaction des sois disant employés de l'hôtel, les quinze soldats de la BCNS pointèrent leur fusils vers celle qui semblait être la chef. La deuxième ligne laissait reposer leur fusils sur l'épaule de leur camarade et avait une grenade en main. Ils étaient pret à faire pleuvoir la mort sur tout ce beau monde.

- Nous ne pouvons croire personne apparemment. Dit Sergeï à travers son masque.Donnez moi une seul bonne raison de ne pas vous tuer tous sur le champ !

Mais il y avait de l'agitation dérrière le groupe armé, l'une des personnes venait de bondir sur l'homme.
La tension était à son comble, une simple étincelle au milieux de ce gros baril de poudre et l'explosion était inévitable

-Vous voulez quoi de plus ma carte de visite?! hurla Kaya aux soldats, Nos uniformes ne suffisent pas?! Avec le béret et nos armes identiques…Mais pour qui vous prenez vous, vous êtes au même titre que nous des gens armées qui ne font ni parti de la milice ni de l'armée! Alors balayez devant votre porte, voulez vous! Et oui je suis une vampire, mais croyez moi je loin d'être la seule ici et il me semble percevoir des ondes vampiriques venant de votre groupe alors là aussi on se calme! Non sérieusement vous comptez tuer vingt employés de l'hôtel… Moi personnellement ce ne sera plus mon problème une fois morte mais cela vous ferait mauvaise presse. Et puis vous tirez, nous tirons et tous le monde est mort! ça nous fera une belle jambe! Bravo pour votre déduction implacable.

La vampire était du genre perspicace et apparemment ce n'était pas le cas des soldats d'en face. Pourtant n'importe quel crétin aurait compris qu'il fallait parler au lieu de tirer, et se laisser passer mutuellement sans problème. D'autant que la vampire n'avait aucune intention de faire feu sur les types d'en face. Elle voulait juste choper Alner, point.

- Quand à vous, dit-elle en s'adresssant à Alner maintenant plaqué au sol, ne sous estimé pas ma force avec des calculs mathématiques foireux. J'ai horreur que l'on me prenne pour une idiote, or que savez vous de nous à part ce que je vous ai raconter… rien. Je ne suis pas une simple vampire, voyez vous et apparemment je suis loin d'être seule. Et si vraiment il me manque des forces pour vous appréhender mon ami Peter se fera un plaisir de me fournir…

Lineweaver s'avança à côté de Kaya en souriant.
Puis la grande vampire lança un regard amical à la sang mêlé qui avait mis Alner à terre, reconnaissante.

- Bon écoutez, reprit-elle en direction des soldats, si chacun passait son chemin en se croisant sans tuer personne? Ne serait-ce pas plus intelligent et mature? Et comme ça chacun retourne à ses occupations sans emmerder l'autre... qu'en pensez vous?

Elle attendit la réponse des brutes en face d'elle. Esperons qu'ils utilisent leur cerveau.

Je sentais que mon centre de gravité s'agitait, j'étais pris par derrière, et je me retrouvais au sol, complètement désarmer, je sentais le poids de mon agresseur, juste après avoir fini mon spitch. Coup en traite toujours, j'avais le sentiment que plus je m'attardais ici, plus j'avais d'ennemie.

Complètement immobilisé, je pouvais encore raisonner clairement. Je me mis en calcul. L'immobilité dans lequel j'étais forcé m'avantagea, le silence devint pesant, mes sens s'atrophiait, dans le noir absolue, je pouvais réfléchir très clairement à la situation et établir des possibilités pour m'échapper et cela en quelques secondes, le résultat des exercices pour le corps et l'esprit de ce moine boudhinste.

D'abord, les quatre types en premier était aussi du milieu, tunnel de gauche, des soldats, surement des forces régulières, impossible à savoir si c'est vraiment le cas, derrière moi, une vingtaine de voleurs remonté.

Je n'avais pas l'esprit scientifique pour rien, je savais que je pouvais gagner la confiance des soldats et m'assurer des alliés solides, en cas de pépin, je pouvais s'en problème me désincarcérer et envoyer mon agresseur au ras des pâquerettes, mais visiblement il s'agissait d'un vampire, ça ne faisait que compliquer un peu plus la tache mais rien de bien méchant.

D'abord, j'analysais mon agresseur, d'après ce que je pouvais en savoir, c'était une des filles du premier groupe, forte, mais visiblement fine de taille. De ce fait, elle n'a que peut de stabilité au sol, donc dégagement possible, mes jambes n'étaient maintenue à plat que part les genoux. Plaqué sur le dos, je pouvais me relever. J'en savais assez. Cependant je restais inerte mais parfaitement conscient et à l'écoute de ce qui se passe, toujours plaqué au sol, la grande perche me répondait. Mais qu'elle la ferme avec ses inepties !

Bon, jouons la mort accidentel. Vue la violence de mon plaquage au sol, cela pouvait être une raison de ma « fausse » mort.

Un moine boudhinste théorisa il y a quelques siècles une série d'exercices visant à améliorer les capacités humaines sans aucunes autres aide que soi-même. Cela s'est traduit par la création d'une école au Mnibet, le Brana-Pindu. Tel exercices repoussait la fatigue d'une heure ou deux, tel autres augmente les capacités cognitives (chose courante chez moi), tel autre ralentis fortement le métabolisme de façon à sombré dans un coma artificiel et contrôlé. Voir même à bloquer le cœur, mais celui-la, jamais osé.

J'avais récupérer un livres traitants de ces exercices quand j'étais à l'armée, en permission, sauvé in extremis d'un autodafé, moi qui croyait que c'était fini ces choses la, dieu que l'homme est con parfois.

Mettons en pratique un de ces exercices. Celui que je tentais était destiné à ceux qui avait déjà un niveau très avancé dans ce domaine. Il s'agissait de ralentir le métabolisme de mon corps, de faire chuté la température corporel et de réduire le rythme cardiaque à un niveau tel, qu'on ne pourrait que dire que je suis mort, en fait il s'agissait plus d'une hibernation qu'autre chose.

C'était la première fois que je tentais un coup pareil. Suivant l'exercice, un minimum de concentration et une grande inspiration. Je sentais déjà mes membres inférieurs s'engourdir, mes bras et mes jambes ne répondait plus, les muscles était complètement flasque et la circulation du sang était redirigé vers les organes vitaux. J'utilisai une sorte d'apnée pour arrêter de respirer. En temps normal, un homme n'utilise que dix-sept pour cent de l'air qu'il contenue dans ses poumons, en m'arrêtant de respirer et en utilisant la réserve par petit bouts, j'en avais pratiquement pour une heure.

Le sang était reflué vers les organes vitaux, cœur, poumons, cerveau, le premier ne battait plus qu'une pulsation toute les minutes trente, le second envoyer l'air dans le corps à raison d'environ un pour cent à la minute, quant au cerveau, seul l'ouïe était, ma mémoire et mes réflexes était encore en activité. Il fallait que je puisse entendre ce qui se faisait, et en même temps pouvoir sortir de cette « hibernation » aussi rapidement que possible. Vue de l'extérieur, j'avais vraiment l'air mort, et mon corps refroidirais en temps voulue.

Si ils sont intelligents, ils ne chercheront pas à s'embarrasser avec mon cadavre, qui n'en était pas un cela-dit. Ils me laisserait la, dans les égouts, un cadavre peut se planquer facilement, j'attendrais une heure que je sois sur que la voie est libre, puis je filerais.

Code:

... message re écrit il se peut qu'il faille éditer vos messages pour se replacé dans le contexte ...

La situation avait encore évolué, il semblerait que le 1er groupe connaisse celui des prétendus employé du plus grand hôtel, l'étranger avait été mis a terre sans difficulté, a présent il voulait de l'aide en se disant maréchal de l'empire du Belondor, la situation était clair, ils ne pouvaient l'aider.

Rayan s'avança alors ,le visage caché par des morceau de tissus, Demia s'étant placé devant.

-Vous qui vous dites supérieur hiérarchiquement, et ceux, en appartenant a un empire, ici vos attributs n'ont aucune valeur, vous êtes ici actuellement dans une république, vous êtes de la pire espèce, je ne veut connaitre la raison de votre présence ici.
-J'accepte donc avec bonté la proposition de passé le chemin.

Code:

Même si les soldats te croient ils n'ont rien de soldats "normaux",  de plu ils sont "Pro-Républicain" (il me semble)

Il semblait clair que la situation tournait en la faveur des voleurs vu ce que racontait l'un des membre du groupe armée. Qui soit dit en passant n'avait pas vraiment l'air d'un militaire. Trop de blabla pour un seul homme. Tout du moins c'était comme ça que l'instinct de Kaya la renseignait.

En même temps, ce Alner pour un type qui se croyait intelligent, il fallait tout de même être sacrément con pour dire à une armée privée et républicaine qu'il était pour l'empire. Mal joué. Et en plus, leur balancer "je suis votre supérieur"... Ce garçon n'était pas très finis... Ah les humains, des contes à eux tout seul...

Kaya s'avança vers l'homme masqué. En passant de nouveau devant Alner, elle s'arrêta.

- Peut être que je suis un esprit faible, mais au moins j'ai un corps fort... Et franchement vu votre situation, on voit lequel des deux est le plus important. En plus qui êtes vous pour me juger? Pour un étranger, je vous trouve bien intolérant!

Elle se tourna alors vers Sef.

- Si vous pouviez le ballonner, ça lui éviterait de palabrer dans le vide et d'aggraver son cas.

Elle continua d'avancer vers Rayan et s'arrêta devant sa garde du corps. Tiens donc, une sang mêlé, encore... Décidément les humains amateurs de vampire étaient nombreux. La sang mêlé apparemment ne semblait pas vraiment apprécier les vampires par contre... Peut être avait-elle senti le sang aristocratique de Kaya... C'était une Malininski de pure souche.

La grande vampire s'adressa alors à Rayan.

- Vous semblez avoir une autorité ici, non? Voyez vous même si vos soldats balancent des grenades, et bien dans un tunnel si étroit fatalement on explose tous. Or personne n'a envi de cela ici, non? Je reformule ma demande, vous faites ce que vous venez faire dans les égouts, nous de même et personne ne s'est jamais croisé. Croyez moi à l'hotel, le secret est quelque chose d'important.

Elle enleva alors sa veste et la tendit à Demia.

- Pour vous prouver ma bonne volonté et ma réelle identité, Vous pouvez vérifier, si vous connaissez l'hotel, la qualité de l'uniforme. Nous en sommes vraiment des employés. Maintenant à vous de voir.

Il valait mieux ne pas parler des différentes suspicions qui tournaient a présent autour de l'hôtel, entre la présence de vampire, des employés entrainés au combats et des armes de hautes qualité, ce lieu léguait peu a peu ces secrets.

-Je connait ces uniformes et reconnait qu'ils viennent de l'hôtel du renard masqué, votre présence ici, ainsi que nous la notre ne regarde que nous personnellement, aussi nous allons continuer notre route et cette rencontre n'aura jamais eu lieu ...

Il y avait fort a parier que ces gens n'était pas des saints et que si la situation l'obligeait personne ne ressortirait d'ici vivant, la carte de la sécurité était a jouer .

Code:

Alner, tu ne peux pas te dégager étant donné que Sef te maintient, et ensuite tu ne peux encore moins dégainer ton épée puisque Sef te l'as enlevé. Lancer de dés refusé car situation impossible.