Situation actuelle des Régions

Géographie du S-H

La République Démocratique et Fédérale du Siegburg et d'Helzonie se compose actuellement de cinq provinces : le Lieger, le Siegburg, la Syrdovie, l'Helzonie et la Moldenie. Mais elle en revendique deux de plus : le Volkona et la Toldanie. Héritées de l'ancien temps, les provinces sont en faite les anciens royaumes réunis par le biais de mariages, d'alliances et de conquêtes. Et placé sous la coupe des Empereur et de la Lumanévra grâce au traité de Laibach.

Chaque région de la République est doté de ses particularités. Que ce soit topographique, culturel, minière, ou encore agraire.

Voici le détail de chacune des villes et régions de la République Démocratique et Fédérale du Siegburg :

Le Siegburg est l'une, sinon la région fondatrice de l'empire. C'est le centre névralgique du pays. La région abrite d'ailleurs le centre des institutions politique, Kapen-Lagen ainsi que le siège du clergé lumanévrien, Lurenberg. Par conséquent, cette région est toujours restée fidèle à l'Empereur. Mais après les derniers événements, les monarchistes se sont dispersés dans tout l'Empire…

Kapen-Lagen :
La capitale est enfaite constituée de deux villes qui se sont agrandies jusqu'à se rejoindre. Avant la révolution, Kapen était la ville "haute" où se situaient le Palais Impériale et le Parlement, bref la plupart des institutions et des quartiers riches. Lagen quand à elle comportait la guilde, les bordels, il s'agissait principalement des faubourgs très peu fréquentables.

Or lors des grands bombardements, c'est Kapen qui a été le plus touché. Détruisant tous les beaux quartiers, en particulier le Palais Impérial. En revanche Lagen n'a absolument pas eu de dégâts et a connu un rapide essor grâce à l'expansion économique de la guilde en un immense hôtel de luxe ainsi que des mouvements de migration des bourgeois vers Lagen. Le colisée par exemple a été construit à Lagen, ainsi que la forteresse du Président.

Aujourd'hui les rôles sont inversés, toutes les institutions se trouvent à Lagen, tandis que Kapen est devenu une sorte de bidonville, ou une ville fantôme plutôt mal fréquenté.
De nouveaux faubourgs se sont développés à la sortie de la ville si bien que la capitale s'est grandement agrandie.

Le temple de Demian protecteur de l'empereur a été épargné par la catastrophes mais détruit par le Président lui même qui en a fait érigé un nouveau à son image pour se faire aduler.
Le collège impérial a subit de nombreux dégâts et a été laissé à l'abandon pour la construction d'un plus récent appelé "Lycée Populaire" plein de technologie à Lagen, lui aussi très porté néanmoins sur la propagande de son dirigeant.

Laibach :
Plutôt épargnée par les bombardements pour son manque cruel d'intérêt, en effet elle n'abritait pas d'institutions et était un symbole de la monarchie, elle fut le plus touché par la rage des fédéralistes la jugeant beaucoup trop significative de l'Empereur. Aujourd'hui c'est devenu une ville malfamée principalement appréciée des bandits de grands chemins, et désertée de la noblesse et de la bourgeoisie. Elle est devenue l'un des principaux pôles du marché noir et de la contrebande grâce à sa situation proche de Kapen-Lagen mais aussi par le fait que la milice y soit totalement absente tant le danger y est grand. Un lieu parfait pour les trafics en tout genre.

Lurenberg :
Cette ville c'est vidée par la peur des bombardements mais elle a été épargnée de par son statut sacrée. En effet, elle abrite la Grande Basilique de Luren qui est le siège du Conseil Liturgique mais aussi le Sanctuaire Sacré ainsi que la Nécropole Impériale, etc. Bref La Grande Basilique est le symbole du pouvoir spirituel.
Il n'y reste plus que des ecclésiastiques au service du culte et de l'Unité sacré. Ils ont peur de voir leur fragile statut privilégié disparaître. Les fastes d'autrefois ont disparu, les objets sacrés ont été cachés dans les forêts ou ravis par des sympathisants révolutionnaires, voir même monarchistes, afin de préserver l'histoire du pays. La Basilique tombe petit à petit en ruine et des travaux de rénovations seraient les bienvenus.
Les Lithurges sont de plus en plus divisés. Entre le Lithurge de Démian qui a vu son culte quasiment disparaitre et son influence réduite à néant, le nouveau Liturge chargé de l'image du tirant et instrumentalisé par ce dernier, l'Inquisition qui se voit renforcée…
La Grande Basilique est accolée au Temple de Luren qui se situe dans le quartier des boudoirs de philosophie.

Treffelburg :
La ville fortifiée est réputée être une forteresse imprenable. Les fédéralistes ont renforcé sont statut militaire. Désormais seul des militaires et ceux qui possèdent une autorisation expresse des hautes instances : principalement les sous traitants civils sont autorisés à entrer dans la citadelle, ce qui a provoqué un dépeuplement de la forteresse. La place forte accueille l'école des officiers, le Temple de Témérec, des ateliers militaires ainsi que la Commandature. Économiquement, elle a connu un boum avec les chemins de fer nécessaire à son ravitaillement pour les armes. Les gens s'y sentent d'ailleurs plus en sécurité à cause de son statut de forteresse plutôt qu'à la capitale plus exposée. Aussi ses alentours s'urbanisent.

L'Helzonie au temps d'Heinrich VII était déjà dans un mauvais état. Aussi bien au niveau des routes qu'au niveau de la sécurité, pratiquement inexistante et cela, même au sein de Cazialstava, la ville du dieu de la justice.
Les récents bombardements n'ont fait qu'empirer la situation voir la dégrader et ce, de façon très importante.

Cazialstava :
La ville fut alors prise par la mafia locale. Une très grosse famille de bourgeois enrichi grâce à la montée du dictateur au pouvoir : les Eberhard. Partagée entre les moines de Cassiel et les bandits, la ville est désormais complètement séparée en deux. C'est aujourd'hui une ville ou règne une harmonie fragile conciliant ces deux entités plus qu'antagonistes. C'est aussi l'une des villes du pays dont le taux de criminalité est le plus haut.
L'inquisition est d'ailleurs toujours située là bas, dans le Monastère de Cassiel. Mais elle a énormément perdu de son influence sur les esprits de la population, dans ce monde de nouvelles technologies où règne la peur. Avant l'Inquisition gouvernait l'esprit et la vie de ses fidèles, aujourd'hui elle chasse les ennemis communs au clergé et au fédéraliste sous couvert d'assurer l'Unité sacré. Notez que Cazialstava est le siège d'un trafic intense, et que les routes d'Helzonie sont les plus dangereuses du pays. Cependant cette situation profite au Président de part son contrôle de la mafia grâce aux Eberhard, c'est pourquoi la situation reste inchangée.

Caboyor :
Ville campagnarde au cœur du pays, grâce à ses grandes prairies fertiles Caboyor est réputée pour sa foire agricole d'envergure nationale. Ses entrepôts exportent des denrées alimentaires vers tout le pays. Il s'agit du grenier du pays. Caboyor est le siège du clergé de Satina. En effet le Temple de Satina y côtoie le jardin des muses. Mais les grands entrepôts sont aussi de bonnes caches pour la mafia, tout comme les grandes fermes. Et les paysans ont trop peur pour protester.


Emapest :
Ville qui fut très commerçante, elle commença à être désertée de sa population à cause de la mauvaise situation de la région, si bien qu'aujourd'hui elle est devenue une petite ville mais probablement la plus calme de toute la région. Emapetz abrite tout de même de nombreux marchands expédiant sur le Dneprotoisk les produits, surtout maraichers, de la région jusqu'à Voronet, d'où ils sont dispatchés dans tout l'empire et même au-delà.

Petravast :
Petravast quand à elle fit partie des villes fantômes bombardées et désertés de ses habitants. Dans son sous-sol se terrent les nobles rescapés des purges dans un bunker hautement sécurisé.

Le Lieger était auparavant l'un des cœurs économiques de l'empire. Les crises successifs ont entaché quelque peu cette prospérité qui est désormais un lointain souvenir. Néanmoins, la région réussit en ce moment un boom économique exceptionnel, du fait de sa proximité avec les littoraux et l'industrialisation croissante. Le commerce retrouve sa place sur les rives liegeroises formée de grandes falaises créées par le ressac des flots de l'Océan. Plus à l'intérieur des terres, le Lieger offre un magnifique paysage des forêts denses exploitées en partie pour l'industrie navale.

Holtezeau :
Anciennement ville la plus prospère de l'empire, tant en nombre d'habitants que d'un point de vue commerciale, elle a subi de plein fouet les bombardements. Grand siège de l'Amirauté son prestige a causé sa perte, son lien trop fort avec l'Empire a déchainé les passions fédéralistes et de nombreux habitants ont du fuir. La ville est passée du premier au troisième rang quand au nombre d'habitant. Le port est quand même resté très actif car vital pour la survie du pays.
Avec l'arrivée de la dictature, la ville a renoué avec son éclat d'antan. Le port a été modernisé et se place comme l'avant garde de tous les ports de commerces. Les cheminées des industries navales foisonnent et la population afflue. On peut dire qu'Holtezeau est le symbole de la dictature. Holtezeau est le siège de l'Amirauté, ainsi que de ses chantiers navals. Elle accueille aussi l'école de la marine.

Mielenheim :
Ville autrefois considérée comme un havre de paix, elle est aujourd'hui surpeuplée. On y compte de nombreuses pénuries et épidémies. La ville est bâtie autour des industries nouvelles qui échappent leurs lourds nuages noirs au dessus du ciel de Milenheim. La ville exporte dans tout le pays les produits de ses manufactures. Elle s'est spécialisée dans le textile devenant le "tiroir à chiffon" du pays.

Spiegel :
Grand centre religieux, la ville n'a pas réussi à se moderniser. Il en résulte qu'après 30 ans de mauvaise gouvernance la ville est sur le déclin. Les religieux sont toujours là mais les fidèles se font rares car la région est devenue très dangereuse. Les vastes forets qui bordent la ville sont infestées par les pillards et les brigands, et le port est aux mains de la mafia local, c'est la partie la plus inhospitalière du Lieger. Néanmoins elle profite du rayonnement de Holtezeau et surtout de son industrie, pour construire, elle aussi des navires, mais civiles cette fois ci. C'est ici que se dresse la Basilique de Tyrus et aussi le Lycée d'ingénierie navale.

Leinigen :
L'ancien bastion militaire laissé à l'abandon, a été rénové de fond en comble par les fédéralistes. La place forte est devenue l'un des forts les mieux gardé de l'empire. Il abrite les centres de formation des officiers et les casernes de nombreuses garnisons. Il est aujourd'hui un point de passage obligé pour les militaires dans leurs carrières. Mais avec l'avènement de la dictature, le fort s'est penché en particulier sur les recherches technologiques. C'est ici que sont inventées les armes de demain.

Région surtout basée sur des activités primaires : pêche, vignes et vergé, ainsi que sur le commerce, elle est restée quelque peut en marge de l'industrialisation qu'a connu le reste du pays. Cela lui a permis de garder un paysage plutôt vert, mais surtout de ne pas être recouverte d'une épaisse couche de vapeur. Malgré tout, les ports de commerce bénéficient du boom économique des autres citées du pays.

Ljergeko :
Ljergeko est surtout connue pour son vin de grande qualité. La ville est remplie de caves et de pressoirs, et les collines qui entourent la ville, sont recouvertes de pieds de vignes. Les négociants marchandent les prix directement sur le lieu de production, avant de les exporter dans l'ensemble du pays. La ville compte aussi le Temple de Faren parmi ses plus beaux joyaux. Elle constitue une étape entre Kapen-Lagen et Trevezia. C'est pourquoi les hôtels y sont nombreux. C'est dons un point de passage, que ce soit pour les marchandises ou pour le trafic.

Ervo :
Ancienne orangerie impériale, c'est aujourd'hui le vergé du pays. En effet, elle a du diversifier son activité suite à la chute de la monarchie. Sa situation entre les ports de Syrdovie et le nœud ferroviaire de Voronet, ont facilité la vente des fruits du vergé. Evro n'a pas vraiment de concurrent et fournie donc maintenant tout le pays, et même plus encore.

Trevezia :
Le port marchant est situé sur une île surpeuplée. Cette citée tire tout son prestige des échanges qui s'effectues ici entre le pays et l'extérieurs. Mais cette citée marchande à vue son activité ralentir depuis le boom économique qu'on connues certaines autres citées. De plus, elle est resté quelque peut en marge de la modernisation, surtout depuis que Byrraze l'a rattrapé.

Byrraze :
L'ancien petit port de pêche a diversifié son activité et est devenu aussi un port marchand. Puis, du fait de sa proximité avec Voronet, il s'est fortement développé jusqu'à égaler approximativement Trevezia. Byrraze accueille aussi le centre de cartographie ainsi que de nombreuses résidences d'hiver des bourgeois de la capitale.

La Moldénie est une région qui fût "le pays des bouseux" selon une expression de Maria-Valeria von Laibach. Réputation tristement célèbre elle est aujourd'hui révolue. En effet, la région a connu un fort développement grâce à son industrialisation. Ce sont ses mines qui ont alimenté les Aciéries et les Chaudronneries de tous le pays. Son charbon exploité à outrance lui a apporté la richesse, permettant à sa population de passer des "bouseux" aux "crasseux" : toujours couverts de suie.

Targa-Judet :
La ville enclavée dans les montagnes n'a jamais attiré personne. Mais depuis que son sous sol se montre comme une réserve immense de charbon, les industries d'extraction se pressent et les montagnes sont maintenant trouées comme du gruyère. Elle est passée de 10 000 habitants à plus de 100 000 aujourd'hui faisant d'elle la deuxième ville du pays. En grande majorité des ouvriers qui se relaient dans les boyaux des mines, pour creuser dans les montagnes. La pauvreté y est forte, et le marché peu développé causant parfois des pénuries. Sa difficulté d'accès ne lui permet pas de suivre cette urbanisation encore longtemps. Des révoltes grondent, les mineurs ne supportent plus leurs conditions, ils espèrent et attendent. Mais pour combien de temps ?

Délovnò :
Ville de Faren, c'est ici que la transformation des aciers et charbons de Targa-Judet s'effectue. Les deux villes sont complémentaires. L'industrie de l'une fonctionne grâce à l'autre. Des fusils et munitions sortent chaque jour des ateliers militaires, mais aussi des automobiles des usines de la ville. Il est loin le temps où les grâces de Faren permettaient d'espérer une récolte de blé correcte. La ville est devenue l'un des centres industriels vitaux à la santé économique du pays, son architecture d'acier brute est camouflée par l'immense panache de fumée qui s'échappe des usines. On y trouve de nombreux employées et quelques dirigeants d'usines. La ville abrite toujours le Temple de Faren.

Voronet :
Situé dans le prolongement des plaines d'Helzonie, elle bénéficie de sa prospérité agricole. La ville est entourée d'exploitations constituées d'immenses plaines verdoyantes entourant une ferme. Anciennement bourgade de transite, sa situation de carrefour lui permet aujourd'hui de s'imposer comme l'un des centres commerciaux majeurs de l'Empire. Son originalité réside dans son éloignement des littoraux, les marchandises du Nord gagnent facilement une journée en passant par les trains traversant Voronet. Elle est devenue le nœud ferroviaire du pays. La population y est bourgeoise et très marchande, elle compte beaucoup de négociants.
Voronet est aussi connue pour son musée et son marché couvert.

Cap-Navaër :
Sa position comme extrémité de l'empire lui permette d'accueillir toutes les marchandises provenant des mers du Sud. Son commerce a explosé avec le début du fédéralisme. Néanmoins l'alliance avec le clergé a provoqué la dispersion des riches marchands et armateurs Catharadoxes dans les campagnes. Ils commencent d'ailleurs maintenant une lutte armée. Enfin la ville est assise sur des mines de souffres en partie inexploitées. Elles permettent d'ores et déjà d'approvisionner les fabriques de munitions de Délovnò mais la ville n'est pas assez portée sur l'industrie pour en faire son activité première. Le port de pêche et de commerce reste le secteur le plus important de la ville. La population se compose majoritairement de petits artisans et commerçants. C'est à Cap-Navaër que se trouve le Temple d'Ederlezi ainsi que l'Académie des Sciences.

Menée par Alexander Tatline, les indépendantistes Vampires se sont liés au fédéraliste et aux indépendantistes Toldènes afin d'obtenir leur autodétermination. Les vampires parvinrent à faire sécession sous le règne d'Heinrich VII qui ne leur opposa aucune résistance, entrainant la colère du clergé, garant de l'Unité sacrée de l'Empire. Les indépendantistes qui avaient pris le pouvoir dans tout le Volkna réclamèrent la montée sur le trône d'Alexander qui écarta alors Konstantion et aussi son propre père Nikolaï, qui fut obligé d'abandonner son titre d'héritier.

L'indépendance du Volkona entraina un véritable boom économique dans toute la région, et cela principalement grâce à l'Alliance des Princes, rassemblement des principaux Princes vampires, qui reconnurent dès lors le Volkona comme une des patries vampiriques puisqu'il n'était plus sous le joug humain. Les échanges reprirent donc avec la Balmorie et Lyrilgrade, région des Kyrils : autre peuple vampire. L'Alliance eut pour effet de développer la plupart des villes.

Saransk :
Saransk qui comptait encore beaucoup d'humain fut déserté par ceux-ci. En effet, ils furent chassés du Volkona. La population vampire reprit ses droits, jusqu'à en devenir xénophobe à l'égard des humains. Saransk devint industrielle car située dans les plaines. Cependant peu de chemins de fer se développèrent, la plupart des villes étant situé dans les montagnes, barrière naturelle qui leur garantit néanmoins une certaine paix. Y aventurer son armée serait du suicide. Saransk a subit beaucoup de bataille et une partie est détruite, mais la ville reste très active.

Ieltsinegrad :
La ville devint la capitale de référence des nations vampiriques grâce à ses nombreux commerçants et ses ressources minières : or et pierre précieuses, mais surtout grâce à sa situation : dans la montagne, caché des humains. C'est ici que se trouve le sanctuaire de Néméres.

Astrakhan :
Le fort du Volkona fut renforcé et devint le QG de l'armée vampirique. L'armée vampirique devint plus puissante grâce à la technologie qui leur permit de combattre même de jour.

Babeleï :
La ville souterraine devint un lieu du culte Volkonène international reconnu par les vampires du monde entiers. Babeleï se développa grâce au tourisme provoqué par la venue de nombreux pèlerins se rendant au Temple de Mizéria.

La région est devenue indépendant suite à l'accession des fédéralistes au pouvoir, mais le clergé voit cette session d'un mauvais œil. Suite à cela, les habitants de la région ont porté un roi au pouvoir. Ce qui a favorisé l'économie du Royaume de Toldanie, et en particulier l'exportation de marbres, car les anciens partenaires monarchistes de l'Empire se sont tourné vers lui.

Mazadaran :
La ville thermale c'est développée depuis que le gouvernement s'y est installé. Elle attire maintenant des touristes venant du monde entier. En effet grâce à son statut de monarchie isolée, elle s'est rapprochée des autres royaumes. Le port est maintenant un port d'accueil des grands bateaux de croisières. L'activité de cette ville est fragile puisqu'elle repose presque essentiellement sur le tourisme.

Shavela :
Le petit port de pêche se développe grâce aux échanges avec l'extérieur. Mais il reste faible de par la quantité de marchandise qui y transite. Malgré tout, les bateaux de pêche se modernisent. L'intérieur de la ville abrite les élites du pays qui ont été fortement choqué par les événements récents et se sont mis quelque peu au travail. Mais c'est le domaine artistique qui se dynamise le plus.

Cénaki :
La forteresse a été rendu inutile par les bombardements. Suite à cela, une veine de granite fut mise au jour et exploitée par les habitants. Ce marbre est la principale ressource du pays, il est exporté brute à travers le monde entier ou bien travaillé sur place et vendu ensuite.

Trolosso :
Situé sur le fleuve Mazar, elle devint le nouveau complexe militaire. Tous les équipements de Cénaki y furent envoyés et une forteresse moderne fut construite. C'est maintenant ici que sont les fonderies et ateliers militaires. L'armée du royaume est plutôt traditionnelle, mais surtout tournée vers la marine.