Ervo impérialiste ?

Ervo était une ville très industrialisé, après les révoltes de Mielenheim et de la Toldanie, elle pouvait suivre l'exemple. Qui plus est, les récentes réformes du Président pouvaient prêter à confusion et inciter la population à se révolter. Ici, la vie était dure, entre les conditions de travaille dans les usines, scieries les marrais, et les conditions de vies misérables : on s'entassait dans des cahutes faites de briques et de broques, dans des quartiers insalubre …

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Le représentant impériale était prêt à tout les débats,les instructions qui lui furent données étaient claires il fallait créer une unité. Les moyens seraient divers et variés mais avec le soutien Toldène le pouvoir impérialiste se consolidait. Devant cette assemblée réunie, la parole de l'empereur serait transmise:

"Mes amis,

Nous sommes aujourd'hui réuni pour faire le point sur la situation d'Ervo.
Les premiers objectifs concernent la sécurité. Une milice devra être prête contre toute attaque républicaine. Chaque entrées de la ville devra être gardée en permanence, ainsi que chaque visiteurs. Des patrouilles circuleront.Comprenez que l'empereur lèvera ces dispositions dès que Ervo sera éloignée de la ligne de front.
En ce qui concerne la production de la ville, elle devra bien entendu avant tout satisfaire sa population. Puis le surplus devra être envoyé aux autres villes impérialistes. De plus des réserves devront être mise en place pour palier à tous sièges. Enfin la ville devra faire place aux armes envoyées par nos amis Toldènes, et en équipés ses barricades, tout comme pour les médicaments qui devront être utilisés gratuitement pour la population et stockéspour les surplus. Les temps vont être difficiles Ervoïens et Ervoïennes mais nous allons les surmonter si nous sommes organiser.
Avez vous des questions ou tout est clair ?"

La voix de l'homme était stricte et ferme, les dispositions prises devront être appliquer au plus vite.

Tout le monde avait écouté attentivement le discourt de l'empereur, mais immédiatement après, le débat était tourné au brouhaha général, une fois le calme revenu sous l'impulsion de l'envoyé de l'empereur, le secrétaire des maraîchers se leva en premier pour prendre la parole devant tous et dit d'un ton inquiet, en regardant le plénipotentiaire de Franz Heinrich :

- Mais notre milice ne fera jamais le poids face à l'armée républicaine !! Ils sont trop peu et bien mal armés !!

Le directeur des scieries, qui était un bourgeois encrouté s'exclama alors d'un ton supérieur :

- Mais la populace n'a qu'à être intégrée dans la milice, elle servira de chair à ca…

Le surintendant du temple d'Ederlezi l'interrompit heureusement, si bien que personne ne remarqua sa … maladresse :

- Et dans ce cas, qui vous nourrira ?

Le directeur qui avait toujours réponse à tout s'énervait alors :

- Mais, et bien vous, le chapitre d'Ederlezi dispose de jardin verrouillant ! Il serait plus que temps de le mettre à profit !

Le surintendant du temple d'Ederlezi fut piqué au vif par cette remarque, quel ingrat, tous les travaux des disciples du grand sage ont toujours étés mis au profit de tous. Il tentait de se retenir tout en disant :

- Je vous rappelle Monsieur – il insistant sur ce mot – que le jardin du temple est à but scientifique, et qu'il est incapable de nourrir la ville, ni même une partie.

Le secrétaire des maraîchers reprit la parole et dit :

- En plus, les exploitations sont à l'extérieur des murailles de la ville, si vous voulez les protéger des attaques, il va falloir faire quelque chose.

Étrangement, cette intervention fit revenir le calme dans l'assemblée. Maintenant, tous les regards étaient tournés vers le plénipotentiaire de l'empereur, attendant sa réponse avec impatience et curiosité.

Les envoyés impériaux étaient un peu fatigués des querelles répétitives entre bourgeois, clergé et populace.
L'un d'eux prie la parole pour en finir :

" Mes amis du calme, il ne sert à rien de nous déchirer.
Pour le moment les troupes républicaines sont loin et en proies à la division dans leurs rangs. La milice sera pour l'instant constituée d'hommes soient déjà dans l'institution, soit sans activités. Nous aviserons si nos éclaireurs nous signalent des mouvements suspects.
Pour ce qui est des jardins de vos éminences, pouvez vous n'en cultiver ne serait ce qu'une partie pour la population ? Cela nous ramènerait un peu de foi lumanevresuqe dans ces temps difficiles."