infiltration

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#1 '1D2 - pile ou face' : 2

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#2 '1D2 - pile ou face' : 1

Adolf eut le temps d'apercevoir la porte condamnée qu'il avait vu sur le plan, mais malheureusement pour lui, un groupe de la garde républicaine effectuait une ronde à ce moment-là. Suite aux différents avec le clergé, les tours de gardes avaient dû êtres modifiés.

- Halte là, au nom de la république, on ne bouge plus !

Il n'avait que la tète qui sortait de la bouche d'égout. Pourtant, un soldat l'avais vu. Par réflexe, il lui tira dans la jambe, puis descendit d'un barreau, laissant la plaque retomber dans le trou.

Putain de Merde! Ils ont changés les rondes! Tient, toi, donne moi ça!
Il arracha le fusil des mains de la personne qui le suivait et le plaça de manière a bloquer la bouche d'égout.

Redescendez!

Une fois dans la galerie des égouts ils regardèrent leur arsenal en vidant les sacs.

Et ces bâtons, c'est quoi? Franchement, les novronev nous ont vraiment refourgués n'importe quoi!
- Ils dégagent des gaz quand on les enflamme, fit un petit professeur de chimie du lycée populaire et fesant partit des révoltes. .. j'ai du mal a lire.... Fumigène et ... sulfure de 2,2'-dichlorodiéthyle. Adolf, c'est du gaz moutarde!
- On ne peut pas l'utiliser, on serait aussi touché!
- On avais bien amené des bandages?
- Oui, c'est Ivan la bas qui les portes...
- Si on en prend une partie et qu'on les mouille, ils arrêterons le gaz.
- On en a pas assez. On est presque 100, je te signal.
- Pas besoin. ils sont que 2 ou 3. préparez ça pour 20 personnes. Les autres sortirons d'ici quand on aura terminé.
- Si ils n'ont pas appelés de renfort.
- Espérons.
- Bon, adopté. Je vais devant avec 2 fumigènes et 2 moutarde. ça devrait suffire. derrière, prenez en aussi quelques uns.

20 hommes remontèrent, des bandages mouillés maintenus autour de la bouche et du nez par des ficelles.
Adolf retira le fusil et le redonna a son propriétaire. D'une main, il souleva la plaque. De l'autre, il balança un fumigène et un gaz moutarde. Il laissa a nouveau retomber la plaque, prit son pistolet, et sortit.
les autres suivirent. Consigne: buter les silhouettes affaiblies a cause du gaz moutarde. ne pas buter ceux qui n'ont pas l'air de souffrir, c'est les notres.

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'1D20 - dé à 20 faces' : 19

Les infiltrés lancèrent leurs gaz moutarde par la bouche d'égout, ce qui empêcha les gardes de s'opposer efficacement à leur avancer. Quelques secondes plus tard, 20 insurgés sortirent de la bouche d'égout, leurs protections les mettant à l'abri des gaz poivres, ils réussirent à neutraliser les gardes sans qu'ils ne leur opposent trop de résistance.
La situation était tendu, d'autres gardes pouvaient arriver d'une seconde à l'autre, il fallait déguerpir au plus vite. Les infiltrés avaient eu de la chance quant à leur sortie d'égout, ils n'avaient pas été repérés et n'avaient eu aucune perte mais est-ce que cela allait durer

5 d'entre eux se postèrent en surveillance de la ruelle. Les premiers montés prirent les vêtements des soldats et les mire dans le sac si ils avaient besoin de se faire passer pour des soldats. Les autres s'affairaient a ouvrir la porte condamnée, qui, d'après le plan, donnais sur un sellier.

Les gardes furent quant a eux jetés dans les égouts et la plaque refermée

Une fois les bloques de pierre tendre dégagés - un acide avait aidé a rompre le mortier - ils débouchèrent dans le scelier.

Adolf entrouvris la porte a l'autre bout. Elle donnais sur une arrière cour. de l'autre coté de celle-ci, face a lui, se dressais le batiment central, immense, de derrière. Il bloquais la vue vers la porte principale du palais. Et, au rez de chaussé de celui-ci, les portes des cuisines.

Tout le monde était rentré dans le sellier, et on redisposa grossièrement les blocs de pierre.

- Hep, sniper! fit Adolf en chuchotant.

Un homme au long fusil agrémenté d'une lunette s'approcha
-Oui?
- Repère moi les soldats qui surveillent la cour et abat les d'ici!
- Enfin un peu d'action!

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'1D20 - dé à 20 faces' : 6

Le sniper avait réussi à abattre quelques gardes, mais il avait par la même occasion donner l'alerte. Le bruit du tir et celui de la chute du corps du garde touché avaient attiré l'attention des gardes qui avaient remarqué des coups de feu provenant du même endroit. Tous les gardes de la cour c'étaient alors massés autour de la porte.
Le sniper continuait à tirer sur les gardes qui avançaient vers lui, mais sa cadence de tir n'était pas assez élevée, il n'aurait jamais le temps de les abattre tous avant qu'ils n'entrent. Il fallait faire quelques choses avant qu'il ne soit trop tard.

Adolf chuchota: Retrait: derrière les caisses!

Le sniper recula, il en profita pour recharger complètement. Les autres firent de même.
presque 80 personnes dans la remise étaient cachés derrières différents objets, pistolet ou fusil prêt a tirer des qu'un garde oserais passer le pas de la porte. La tension rendais le silence assourdissant.

Tous regardaient la lumière filtrer a travers la porte entrouverte. En plus, ils avaient replacés les blocs derrières eux: aucun moyen de fuir, aucune idée du nombre de soldats.

disposition: 100 personne dans la remise dont 80 prêts a tirer. les 20 autres derrières peuvent aider au rechargement.

Chuchotements entre deux personnes
- ça bouge dehors...
- mais quesqu'ils fonts? Pourquoi ils ne rentrent pas?
- j'en sais rien... je pensais pas que ça allais merder si tôt...
- putain, ils savent pas combien nous sommes! au pire, j pensais qu'on aurais 20 personnes, mais y'a lair d'avoir du monde.
- Tu crois que l'on peut utiliser le gaz moutarde?
- On est dans un espace confiné et eux dehors... c'est nous que ça va toucher.
- Alors on fait quoi?
- On attend. de toute façon, faudra bien qu'ils rentrent un moment a un autre. Et ils peuvent entrer que 2 par deux au max a cause de la porte.
une troisième:
- la ferme, la bas!

la remise se replongea dans le silence. La tension montait encore et encore.
la même pensée traversait tous les esprits:
on est dans la mouise.

Voyant l'absence de réaction.

- Bon, remettez les bandages imbibés, on va quand même tenter une percée! Débarrassez moi de cette porte!

On alluma une grenade au briquet et on balança celle-ci contre la porte.

d'autres grenades ainsi que le gaz moutarde étaient en préparation.

- mine de rien, sans la CN, on serait pas allés loin...
disposition: 60 hommes toujours avec les fusils en joug, ordre de tirer a vue. 20 personnes préparent des grenades.
20 personnes préparent le gaz moutarde.

Le gaz moutarde était prêt. Les visages étaient couverts. Adolf fit un signe de tète

Envoyez la sauce!

Un officier présent sur les lieux courrait immédiatement prévenir le Président en retenant la phrase "mine de rien, sans la CN, on serait pas allés loin...".
Les autres soldats attaqués par le gaz moutarde avaient précipitemment engagé une attaque contre les assaillants.

Des renforts venaient encore soutenir les 200 soldats. Les nombreux murs et défenses étaient renforcés et les tours étaient constamment occupées, les snipers tiraient quant à eux d'en haut visant tout individu suspect.

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'1D20 - dé à 20 faces' : 20

Adolf et 10 de ses hommes couraient a perdre haleine, dans la cour.

voila ce qui se passa durant les deux premières secondes dans la tète d'Adolf.

"Putain, c'est une catastrophe! et ces soldats qui nous courent après! pourvu que les insurgés de Kapen qui devaient arriver en masse s'en sortent... c'est quoi ces ombres? des dirigeables!!... bon, je crois que c'est mort... Bon, mon coco, si tu te sort pas de ce merdier, tu est bon pour la fusillade!
la bas, la porte, d'après le plan c'est les cuisines!"

Entre deux essoufflements, ils parvint a désigner la direction aux survivants. 4 d'entre eux, les derniers, tirèrent en direction des soldats, tout en courant.

Situation: 10 personnes courent en direction de la porte des cuisines, en face, au rez de chaussé des bâtiments principaux. les derniers tirent en visant (mal puissent qu'ils courent) les soldats.

Objetctif: entrer dans les cuisines et s'y barricader. de manière automatique, adolf va tirer sur les personnes présentent a l'intérieur du complexe, a vu, mais sans acharnement (si ils implorent pitié ou se cachent et se pissent dessus, il arrête )