Le Généralissime - dans toute sa bienveillance - avait bien prévu les représailles des membres du clergé, c'est pourquoi il avait ordonné les arrestations et mis en place la loi martiale pour prévoir toute sorte de débordements ou de menaces.
La garde républicaine, fortement renforcée depuis les directives de Rayan sur la sécurité des lieux présidentiels ainsi que les nombreux barrages qui entouraient le gigantesque édifice, étaient mobilisés pour stopper toute intervention illégale.
L'armée n'allait également pas tarder, loi martiale et mobilisation des réservistes oblige.