Conseil de direction de la CN

- Vous en êtes sûre ? demanda Garviel Novronev à Meric Keeler.

Il venait d'entrer dans l’ascenseur principale du bâtiment et activa la commande du dernier étage. Le colonel Keeler lui emboîta le pas et prit une posture militaire à côté de lui.

- Le lieutenant Sergeï est formel, je moi même fait débriefing. Cela risque de compliquer nos opération.

- Effectivement, ils ont déjà eu de la chance d'en sortir vivant. Imaginez les conséquences si Rayan avait été capturé en compagnie de nos hommes. Mais cette rencontre impromptue avec les "employés" du Renard Masqué prouve bien que nos chers amis ne font pas que servir des plats chaud et des draps propres.

Garviel était pensif quand à la nouvelle situation, cette Elizabeth se trouvait emmêlée dans une organisation plus officieuse que celle de groom d'hôtel. Il était rentré le plus vite possible à la capitale après avoir vu son père, mais les affaires étaient urgentes.

- Apparemment, certain des membres du groupe étaient des vampires. Cela devient de plus en plus inquiétant et requière de prudence dans cette opération. Je vais devoir reformer les équipes et les prévenir du danger. Je ne sais pas ce que c'est comme organisation, mais je suis pratiquement sûre qu'ils font partie de la pègre.

L’ascenseur s'arrêta et le son de la clochette retenti. La grille devant eux s'ouvrit.

- Le fait qu'il y est des vampires est très inquiétant. Nous ne pouvons faire confiance à ces créatures et nous ne pouvons prédire leur agissement. J'ai une entière confiance en vos capacité Meric, je sais que vous serez gérer la situation.

Ils avancèrent de quelque mètre dans le couloir avant qu'une grande porte ne leur barre la route, gardé par deux agents de sécurité de la Corporation. Avant de l'ouvrir, Garviel s'adressa une dernière fois à son chef de la sécurité de la Corporation:

- Pas un mot de l'opération au conseil et surtout aucun mot sur l'état de santé de mon père, ne trahissez pas l'estime que j'ai en vous Colonel.

Meric aquissa en sachant très bien que les menaces du Président de la Corporation n'étaient jamais des paroles en l'air.
Les deux agents ouvrir les portes et laissèrent entrer les deux hommes dans la salle du conseil de la Corporation Novronev.
A l'interieur était disposé comme unique mobilié une grande table ronde avec le logo de la CN en son centre. La lumière naturel entrait par les grandes baies vitrées et éclairait agréablement la salle. A la table se trouvait cinq homme très bien habillé et d'âges plus ou moins avancés en train de discuter un verre à la main et des feuilles devant eux.
Quand Garviel entra, ce fut le silence puis les cinq hommes se levèrent. Garviel prit son siège de Président de la CN et Meric la dernière place libre.

- Messieurs, asseyez-vous. La séance peut commencer.

Garviel ouvrit le dossiers en face de lui et sans le lire, car il connaissait déjà son contenue, il s'adressa aux six responsables de la Corporation.

- Le monde change messieurs, le monde évolue. Et la Corporation Novronev doit faire de même. Nous ne pouvons pas rester exclusivement sur les cosmétiques qui certe nous offre le monopole dans le pays. Si nous voulons que la Corporation deviennent la plus puissante du pays, il faut innover et conquérir de nouvelles part de marché. Je sais, avec nos dernières action et les récents évènements, les caisses de la CN sont presque vides, mai cela ne nous empêchera pas de nous réformer.
Nous avons aussi acquis un grand savoir en matière d'armement et surtout grâce à nos amis Russlaves, nous devons produire plus dans ce domaine et nous ouvrir au marché. Nous avons de grandes capacités de transports pour nos produits, pourquoi pas nous ouvrir au transport public ? Nous pouvons produire les produits ménagés de qualité et ainsi fournir la majorité de la population, il faut augmenter notre production.

Garviel prti un air solennel:

- C'est pourquoi, pour plus de fluidité et une meilleur gestion, j'ai décider de créer des filières annexes à la CN. La Corporation Novronev sera désormais constitué de la CNM, la CNS, la CNA, la CNI, la CNT et la BCNS. Elles seront dirigées par des personnes que je nommerait et qui seront sous ma direction.

Des regard interrogateurs se dressèrent devant Garviel, certain commençait à émettre des objections et demander des explications. Le colonel demanda le silence avant que Garviel ne put le faire, ce qui calma l'assemblé.
Le Président de la Corporation s'adressa à l'homme situé à sa droite, un homme d'une cinquantaine d'années avec une barbe grise:

- Monsieur Brangel. Vous êtes désormais le directeur de la CNM, la Corporation Novronev Médicale. Vous aurez la gestion de tout nos centre de production de médicament et de recherche en cosmétiques, sauf en ce qui concerne le complexe Silène, mademoiselle Oliton gère avec perfection cette installation qui a représenté le plus gros investissement de la Corporation. Avec ce fléau qui frappe les villes impériales, soyez près à subir une importante demande.

L'homme semblait flatter mais ne laissa rien paraitre aux autres. Garviel s'adressa à l'homme assit à côté de Brangel, il était petit et d'une quarantaine d'année, presque plus de cheveux sur la tête:

- Monsieur Faounzer. Je vous nomme à la tête de la CNS, la Corporation Novronev de Soin. Vous aurez à votre charge toute nos infrastructures médicales et nos cliniques, et celle qui sont en construction. Je compte sur vous pour laisser à la CN le prestige de se dire leader en soin médicale et des meilleurs qualités.

- Comptez sur moi monsieur le Président. Répondit l'homme enthousiasmé.

Le suivant était un homme d'une trentaine d'années de taille moyenne. Il avait toujour les cheveux coupés court et une petite barbichette.

- Monsieur Jnardov. Vous êtes désormais directeur de la CNA, la Corporation Novronev de l'Armement. Nous avions anticipé quelque peut l'agrandissement de nos usines d'armement pour la vente mais pas au point de nos capacité actuelle. Il sera de votre ressort de planifier avec le secteur de recherche en armement qui à reçut des plans et les nouvelle armes Russlaves importés. Nous allons pouvoir nous imposer sur le marcher grâce à ces armes de qualité supérieur. Vous produirez de plus des armes de plus gros calibre, fusil d'infanterie de choc, fusil de tireur d'élite, et protection de combat. Nos hommes seront toujours les premiers à en être équipés, mais nous devons faire profiter nos capacités industriels à la population et aux étrangés, et ainsi nous garantir d'important bénéfices.

Jnardov eu un rictus, il savait qu'il était fait pour ce travail. Le prochain était le plus vieux de l'assemblé, il avait plus de soixante ans mais était un brillant commerciale.

- Monsieur Drichter. Vous êtes dès à présent le directeur de la CNI, la Corporation Novronev de l'Industrie. Nous sommes novices dans le secteur mais je compte sur vous pour nous amener rapidement sur le marcher. Je sais, ainsi que toute les personne de cette assemblé, de quoi vous êtes capables.

- Vous m'honorez monsieur le Président.

Ce fut ensuite au tour d'un homme d'une cinquantaine d'années avec une queue de cheval:

- Monsieur Filton. Quand à vous, vous êtes le nouveau directeur de la CNT, la Corporation Novronev des Transports. Vous allez continuer à gérer tout nos transports de frets par camions, par trains et par bâteaux. Mais nous allons dévelloper nos service au transport en commun de personnes. C'était mon idée, et je sais que vous en avez fait votre projet. Je compte sur vous.

- Je vous remercie monsieur le Président. Répondit courtoisement Filton.

Garviel se tourna ensuite vers Meric Keeler qui se trouvait à sa gauche.

- Colonel. Vous êtes officiellement le directeur de la sécurité et commandant de la BCNS. Vous comprendrez que vous ne recevrez aucun budget pour le moment vu tout les investissement que nous avons effectué pour le recrutement des très nombreux mercenaires de la BCNS, leur armement et le renforcement de notre sécurité et materiel défensif ce moi ci. Nous possédons un arsenal extrêmement puissant surtout grâce aux mitrailleuses Russlaves et il n'est pas nécessaire de l'augmenter pour le moment.

- Parfaitement monsieur, croyez moi que le budget qui m'a été accordé à été plus que nécessaire.

Tout les membres semblaient satisfaits de leur nouvelles fonctions. Garviel parla d'autre formalité avec les nouveaux directeurs des différentes filières de la CN avant d'entreprendre de parler d'un autre sujet. Un sujet qui interraissait tout le monde, quelque soit les nouvelles.

L'arrivé de Rayan s'était fait dans la plus grande discrétion. Sa voiture s'était garée sur le parking du personnel et la sécurité l'avait fait monté par l'escalier de service sur ordre de Garviel. Les deux agents l’amenèrent ensuite devant un ascenseur.

- Attendez ici monsieur. Dit l'un des gardes.

Rayan et Demia restèrent seul dans le couloir pendant une minutes, puis la porte de l'ascenseur s'ouvrit. A l’intérieur les accueillirent un agent et Meric sur une posture et avec une voix militaire.

- Colonel Meric Keeler, je suis en charge de la sécurité de la CN. Heureux de faire votre connaissance monsieur. Suivez moi, ils vous attendent.

Une foie tout le monde à l'interieur, l'agent actionna la commande du dernier étage.

- Le président Garviel m'a tenue informé de ce qui ce passe, j'espère que vous serez convainquant parce que là haut, beaucoup pourrait ne pas vous suivre. La CN es en jeu dans cette action.

L'ascenseur s'arrêta et l'agent ouvrit la porte. Le colonel Meric fit avancer Rayan et Demia jusque devant la grande porte du conseil de la CN.

- Je crois que vous avez l'habitude de ce genre de situation. dit Meric avant d'ouvrir la porte

Une fois la pore ouverte, six visage se tournèrent vers lui, des visages peut amicales mais plein d'incompréhension devant cette apparition. Tous étaient surpris, sauf Garviel qui de son siège de président en face de Rayan à l'autre bout e la table, lui dit simplement.

- Bonjour Rayan, prenez place je vous prie. Je vous demanderais par contre de laisser votre garde du corps à l'entrée, la seul personne armée autorisé ici est le colonel Keeler.

Garviel lui indiqua le siège situé devant lui, pendant ce temps le colonel Meric Keeler se plaça à la gauche du président de la Corporation. Avant que Rayan ne s'assit, le directeur de la CNS s'écria:

- Et moi qui pensais que s'était une blague de mauvais goût, et bien non. Rayan est vraiment en vie et vous l'avez vraiment mie sous protection de la CN. Je crois monsieur le Président qu'il faudra revoir tout ce qui concerne les secrets professionnels de cet importance.

- Je cois monsieur Faouzer que votre langue bien pendant n'aurait pas permise à Rayan de se présenter devant nous aujourd'hui si je vous en avez tenue informé. Répondit directement Garviel.

On entendit quelque ricanement qui s'estompèrent vite, tous était obnubilés par la présence de cet homme. Tous attendaient d'entendre ce pourquoi il se présentait devant eux.

La salle était composé de grands homme, plus du coté posture et présentation, sans doutes les grands dirigeants de la CN, Garviel, le nouveau président, c'était lui qui déciderait au final, a ces coté Meric Keeler, le "chien de garde", seul autorisé a porter une arme ...

-Bonjour a tous, tout d'abord je remercie la Corporation Novronev pour l'aide qu'elle m'a apportée par le passé, en espérant que le choix compliqué auquel vous allez devoir faire face ne brise pas ce lien .

Il laissa une pause de quelques secondes, reprendre son souffle, se clarifié l'esprit avant de débuter.

Apres la prise de pouvoir par Schultz, j'avait pour attente que les actes de ce prétendu Républicain démocrate l'emmène a démissionner, cependant il a fait planer un climat de terreur, et alors même que je souhaitait rassembler les foules de Kapen, il a volontairement bombarder la ville, aujourd'hui encore, en arrivant dans la capital, j'ai vu le peuple craintif, des violences explosées.
Je ne peut me permettre d'attendre de prétendue élections libres pour réagir, la menace impérialiste augmente de jours en jours, la radio présidentielle l'a portée au pouvoir, ceci n'est-ce pas suffisant pour réagir ?
Le pays se meurs, pensez vous pouvoir restez immobile plus longtemps ?
Vous avez de quoi appuyer les deux actions que je comptais mette en œuvre, aussi je vous le demande, pensez vous pouvoir m'aider ?

Le silence s'installa quelques secondes dans la salle, les mots résonnaient encore dans l'air, Rayan restait impassible attendant l'ultime réponse.

Ce fut Drichter,le directeur de la CNI, qui brisa le silence:

- Je ne voie pas pourquoi la CN se mêlerais de politique. Notre Corporation survivra qu'elle que soit la finalité de ces évènements. Nous devons attendre les élections avant d'entrevoir une éventuelle action de notre part et ...

- Mr Drichter, c'est de l'avenir du pays dont il est question ! Le coupa Jnardov le directeur de la CNA, il avait toujours eu ce côté idéaliste qui le poussait à réagir quand il s'agissait de politique.
Mr le Président, je pense que nous devons agir dès maintenant pour sauver la république.

Ce fut au tour de Filton, le directeur de la CNT de s'exprimer:

- Personnellement, je ne fait pas confiance aux politiciens. Qu'est-ce qui nous dit que ce cher Rayan ne se sert pas de nous pour arriver à ses fins et qu'au final il nous oubliera. Mr le Président, nous n'avons aucune garantie !

Brangel, le directeur de la CNM, qui était resté pensif depuis le début de la séance s'insurgea pour émettre son avi.

- Je pense que si notre cher Président à sauvegardé Rayan des arrestations de Schultz c'est qu'il y a une bonne raison. Néanmoins, je doit reconnaitre que nous n'avons aucune garantie de la part de cet homme, avec tout le respect que je vous doit cher monsieur.

- Non, Mr Brangel, nous avons quelques intérêts à agir en faveur de Rayan. Faounzer avait reris la parole depuis que Garviel l'avait remie à sa place. Nous ne pouvons en aucun cas laisser les impérialistes prendre le pouvoir, ce serait un désatre pour le pays et aussi, et vous le savez très bien, pour la Corporation.

Le colonel Keeler prit la parole à son tour, et tout le monde se tue.

- J'ai analysé les plans de ce cher monsieur et pour ma part, avec une entière coopération de sa part, je peux organiser tout ça en moins de 24 heures, avec votre feu vert Mr Novronev.

Tout les regard étaient tournés vers Garviel. Lui, était pensif. Il réfléchit à tout ce qui venait d'être dit.
Il regarda Rayan avec des yeux interrogateur, lui demandant d'argumenter un peut plus sa demande afin de calmer cet assemblé d'indécis.

La salle était fortement diviser, certain préférait laisser les intérêt politiques loin de la tandis que d'autres semblait prêt a se sacrifier pour cet acte.Il fallait ranger tout le monde dans le même ordre d'idée, si possible qu'on le suive ...

Je peut comprendre que vous ayez du mal a me suivre, cependant comme vous le savez déjà les principe de la république sont bafouer par cet usurpateur qui est Schultz, et de ce fait les impérialiste gagne du terrain, pensez vous réellement que l'empereur vous laissera continuer votre commerce, alors même qu'il s'est permit de voler vos hôpitaux ? pensez vous que la corporation Novronev qui a toujours soutenu les idée républicaine soit épargné par le fléaux impérial ?
En cas de réussite sachez que je n'oublie en aucun cas de remercier ceux qui m'ont aider, il est vrai qu'en cas d'échec je ne puis garantir votre réputation, cependant, vous n'aurez pas agis vainement, même si le résultat final ne sera pas celui escompter cous aurez fortement entailler la tyrannie, et des lors je peut vous le promettre vous n'aurez rien a regretter.

Je pense qu'il est temps de montrer a tout le monde que la république est toujours présente, ne nous cachons pas, faisons éclater au grand jour nos conviction, et remettons de l'ordre dans ce pays.
Je ne peut me permettre d'attendre, aussi que vous m'appuyez ou non sachez que je ferait tout pour que ce changement est lieux.

Tout le monde n'attendait plus qu'une chose, la réponse de Garviel ...

Tout le monde était silencieux, apparemment ils commençaient à prendre conscience de l'enjeu réel de la situation. Garviel se dit lui même "qui ne dit mots concent". Il prit la parole et s'adressa à l'assemblée comme un Président face à son entreprise:

- Vous aurez le soutient de la Corporation Novronev Rayan.

Puis il le va le doigt comme pour ajouter une note.

- Mais, si, et seulement si, votre tentative pacifiste échoue et qu'il faille prendre le pouvoir par la force, nous ferons tout pour que cette attaque soit camouffler afin que Schultz continue à ne rien savoir sur nos agissements envers la révolte. Le colonel Meric Keeler se chargera des opération. Mais il faut que nous soyons près à agir immédiatement après l'echec de la tentative. Comme vous devez connaitre tout les réseaux autours du palais présidentiel, vous indiquerez au colonel les endroits où entrer et nous y placerons nos meilleurs éléments. Vous discuterez stratégie avec le colonel.

Alors qu'il parlait encore du plan de Rayan, un messager entra et apporta à Garviel un télégramme.
Le silence reigna pendant que le président lisait le télégramme. Puis il leva les yeux de la feuille et annonça:

- Je craint qu'il ne faille suspendre nos activité de soutient en votre faveur Rayan. La CN va devoir faire profile bas pour le moment. Lancez néanmoins vos activité radiophonique et nous aviserons suivant la situation. Mais il va falloir que vous quittiez la ville sur le champ, veuillez le raccompagner et l'emmener en lieux sûre.

Le message semblait important, au point que la CN doivent se terrer ...
mise en garde présidentiel a n'en pas douté.

-Je souhaite restez dans la capital, sachez que je ne vous en veut pas cependant, bien que le lieux ne semble pas des plus hospitalier après differentes raisons, loger au renard masqué reste la meilleur cache du pays, l'hôtel n'a guère été touché par les changement politique, et son entourage ne peut être percer par le président -a moins qu'il souhaite mourir- j'agirai dans la semaine, aussi je ne peut me permettre de quitter la ville.
A présent si vous voulez bien m'excusez.

- Très bien, fait attention à vous.

Rayan sortit de la salle de réunion et rejoignit Demia à l'exterieur. Garviel se passa la main sur le visage en relisant le télégraphe. Il se pencha vers Meric.

- Appliquez le protocole 43 de la Corporation, maintenant.

Puis il s'adressa aux autre membres du conseil:

- Messieurs, la présidence a décidé d'interférer dans les affaires de la CN et souhaite la nationaliser.

Les six directeurs de la CN s'indignèrent mais Garviel les arrêta en levant la main.

- Je part immédiatement pour le palais présidentiel demander des explication au président. Je ne laisserais pas un homme comme Schultz s'approprier le travail de toute une vie et notre héritage en un claquement de doigt.

Garviel avait re-convoqué le conseil de direction après son entretient avec Schultz. Le sourire qu'il arborait fit comprendre au directeurs que tout c'était bien passé.

- Messieurs, j'ai d'excellentes nouvelles. Mais avant de commencer il faut mettre les choses au point. Personne ici n'a vu ou entendue parlé de Rayan, si cela sort de cette salle, ce sera la mort de la Corporation et la condamnation de nous tous. Et je m'arrangerais pour tuer moi même de mes mains celui qui aura fauté.

Tout le monde abaissa la tête d'un signe approbateur.

- Sinon, le Commandeur-Président Schultz s'est montré d'une extrême générosité en ce qui concerne la Corporation. Nous allons pouvoir nous étendre comme prévue mais beaucoup plus rapidement. Pour ce qui est de la CNT, le gouvernement nous mettra à disposition des navires commerciaux et autres transports cela accelerera notre commerce avec la Russlavie, et je pense que nous pourrons aisément développer nos transports.
Pour la CNI, nous allons pouvoir racheter des usines à faible coût ainsi que des terrains pour la cultures de plantes médicinales, nous ne serons plus dépendant de ce secteur désormais.
Pour la CNA, je pense qu'il faudra colaborer avec les entreprises d'armement gouvernementale pour éviter tout incident mais surtout pour en faire profiter l'armée républicaine, qui sera je pense notre meilleur acheteur.
Nous allons pouvoir construire et racheter de nombreux hôpitaux dans chaque villes du pays, nous pourrons ainsi être omniprésent t fournir la quasi totalité des soins et produits médicaux du pays.

Messieurs, ceci est le début d'une nouvelle ère pour la Corporation Novronev qui aura bientôt le monopole de certain secteur et sera je l'espère la première entreprise du pays.

Drichter leva la main et s'exprima.

- Mais comment allons nous financer tout ça monsieur le président, nos caisses sont vides. Nous avons les caisses de secours mais elles seront insuffisantes.

- Ne vous inquiétez pas. Le gouvernement va nous acheter un stock concidérable de vaccin contre le fléau du Sud. Comme celui-ci coûte très cher et que le Président tient à ce que chaque habitant puisse en bénéficier, nous avons largement de quoi financer notre grand projet. Il faudra de ce faite faire notre campagne de soutient à la république pour remercier le président de toutes ces opportunités.

Il se leva un verre d'alcool à la main:

- Au renouveau de la Corporation Novronev et que celle-ci perdure éternellement !

Les six directeur se levèrent à leur tour avec le verre à la main:

- Au renouveau !

Et ils burent tout en même temps.

Lors de cette réunions hebdomadaire au conseil de la CN, Garviel fit le point sur leur nouvelle activité et le bilan structurel de l'entreprise:

- Bon, les hôpitaux en constructions dans toute les grandes ville du S-H, où ils n'étaient pas présent avant, sont presque terminé. Notre personnel pourra bientôt occuper les lieux et j'espère que vous saurez gérer ces nouveaux locaux à la perfection Monsieur Brangel.

En ce qui concerne la CNS, mainteant nous avons l'entier monopole sur les plantes et produits médicaux, le rachat de la SMMN à pratiquement doublé nos rendemments. Les expert botanistes et en plantes médicinales sont en train de former chacun deux apprenties, nous aurons ainsi les meilleurs expert et de plus grand rendements de qualité. Veillez à ce que ce soit le cas Monsieur Faouzer.

Pour la CNA, monsieur Jnardov, nos usines fournissent maintenant des armes d'épaules de qualité. Carabine, fusil à pompe et fusil de précision. Vous avez fait de l'excellent travail. Dès que nous aurons manufacturer les fusils Russlaves et leur mitrailleuses, nous aurons un poind non négligeable dans la vente d'armes.

Nos 22 exploitation et notre immense complexe céréalier marche bien d'après les dernier chiffres que vous me donnez Monsieur Drichter. Plus de 100 000 hectares ça ne s'exploite pas comme ça, mais vous me prouvez le contraire, j'ai eu raison de vous donner ce poste. Dès que nos premiers engin agricole sortiront de nos usines, et vous me dîtes qu'elle le seront bientôt, nous accélereront le rendement à coup sûre.

Nous avons enfin lancé notre première ligne férroviaire de luxe messieurs, mes félicitation monsieur Filton. De plus, j'ai eu le temps de lire le plan des ittinéraires et arrêts de notre futur ligne de transport routier, c'est excellent. Les premier transports civils sont sortis de l'usine, nous lancerons cette ligne une fois que nous en aurons assez pour assurer toute les liaisons.

Il fit une pause, glissa les rapport sous sa pochette et sortit une autre feuille. Il s'adressa alors à toute l'assemblé qui l'écoutait attentivement:

- Nous allons parlé de deux de nos ambitieux projets messieurs. Pour commencer, j'ai l'honneur et le plaisir que nous allons créer l'Université Novronev dans laquelle nous offrirons des études et des apprentissages de qualité supérieur, grâce à notre savoir dans le domaine qui nous permet aujourd'hui d'être leader incontestable dans ce domaine, afin de former des médecins, docteurs, expert médicinale, botaniste et infirmers. Nous formerons ainsi tout nos futurs médecins. Nous auron de ce fait plus de personnel à notre solde êt cela nous évitera d'aller recruter d'icic et là.

Ensuite, en ce qui concerne le centre Silène, avec notre nouvelle puyissance économique, il devient évident que ce centre ne pourra rassembler toute nos activités de recherche. J'ai donc accepté l'idée du Colonnel Keeler. Dès que j'aurait débloqué le budget, nous déporterons tout ce qui secteur de recherche en armement et mécanique dans ce nouveau futur complexe. Les montagnes me semble être la meilleur idée, je suis déjà à la recherche de mines désafectée à acheter, cela nous faciliterta la tâche. Nous pourrons ainsi y déplacer le QG de la BCNS et notre armée privé aura ses propres locaux, centralisé, elle sera plus facile à dirigé.

- Je vous dirais ceci à la prochaine scéance.

Code:

PS : la prochaine fois tu laisseras les MJs faire leur travail. Les MJs régullent la possible réussite des découvertes et décident si elles sont abusées ou non (là c'est abusé).

Garviel Novronev a écrit:

Code:

exactement ^^ Nan, il fallait prévoir avant c'et tout. Maintenant c'est trop tard.

Donc malgrés l'édition de ton message qui supprime la partie sur les essais génétiques (alors que tu n'as pas le droit), ben c'est trop tard.
A partir de maintenant tu as interdiction (mais ça l'était déjà cf règle) de rééditer tes messages.

Code:

Bravo, je vois que tu sais faire la distinction entre ton rôle de MJ et celui de joueur, car je m'adressais au joueur. Pour cette rééditation, c'est ce qui avait été convenue je crois, parceque ce n'était pas possible de faire ce genre d'expériences. Et c'est même toi qui m'a conseillé par MP de revoir mon post là dessus. J'avais reconnu mon erreur, tu devrais en faire autant de ton côté (je m'adresse toujours au joueur).