Garviel était das son bureau en train de faire quelques signatures lorsqu'il entendit les crépitemments d'une arme automatique de gros calibre. Il releva la tête et se dirigea vers la grande baie vitrée de son bureau, essayaant de distinguer quelque choses en contre bas. Malgrès le fait que son bureau se trouvait dans les derniers étages du grand immeuble de la CN, et malgré l'épaisseur de la vitre, le bruit des tirs résonnaient dans la rue et revenaient assez bien jusqu'à ses oreilles. Il apperçut alors une voiture de laquelles venait les tirs d'une mitrailleuse, avec la hauteur il ne pouvait savoir ni qui, ni combiens ils étaient.
Il ne tarda pas à se rendre compte que la dite mitrailleuse tirait en direction du siège sociale de la Corporation.
- Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?! dit le président de la Corporation en ne quittant pas des yeux la scène qui se déroulait devant lui.
Quelques secondes plus tard, le véhicule demarra à une vitesse impressionnante, et partit au détour d'une rue. Elle fut suivit dix secondes plus tard par un véritable cortège de voiture de la CN, mais Garviel se doutait déjà que la dizaine de véhicules ne pourrait ratrapper les vandalistes.
Une demie heure plus tard, le chef de la sécurité du bâtiment vint lui faire son rapport, légèrement embarrassé, surtout en voyant le regard effaré du président dont les yeux interrogateurs exigeaient des réponses immédiates:
- Nos forces de sécurité ont été prise au dépourvue Monsieur Novronev, nous ne nous attendions pas à ce qu'une telle chose arrive, et le public non plus.
- Nous avons crevé le budget le mois dernier pour justement avoir une sécurité optimale dans ce bâtiment. Je croyais que seul le palais gouvernementale était mieux protégé.
- C'est le cas monsieur, justement à l'intéieur du bâtiment. Notre réseau de sécurité interne est sans failles et totalement bouclé par nos agentss de sécurité et les soldats de la BCNS. Sans compté l'escouade d'intervention lourde. Des trois étaages de sous-sol au quatre-vingtième étage, tout est absolument bouclé. Le hic c'est que ceci était une attaque externe, et notre réseau sécuritaire ne déborde pas des limites du bâtiment, ceci étant le rôle de la milice et de la police, enfin normalement.
Garviel s'assit dans son fauteuil, invitant le chef de la sécurité à en fairee de même:
- Vous les avez rattrapez ? Il posait la question mais connaissait déjà la réponse.
- Et bien, leur mitrailleuse avait complétement dégomé deux de nos véhicules devant le bâtiment, et le temps que les agents montent dans les voitures du parking et se lancent à leur poursuite, ils étaient déjà partis, sans compté que ce chauffeur était un véritable malade.
D'après les hommes, il devait au moins faire du 100 km/h, jamais vue ça, et en pleine ville en plus.
ça me rappel ce que le sergent Logan m'avait dit dans on rapport lors de la filature du sujet Elizabeth, ils avaient lutté pour pouvoir garder la cap avec cette conduite.
Garviel retint ce commentaire, il enleva sa main qu'il avait mit devant sa bouche, l'air songeur:
- Des fous du volant, il y en a des dizaines.
- Ben apparemment, le sergent Logan faisait partie des poursuiveur, et il m'a affirmé que ça ressemblait fortement à la conduite de la cible.
Et si c'était elle, ce serait plus que possible, depuis le temps que la CN lui cours après. Bien imprudent comme attaque, mais osée, elle devait avoir de gros moyen pour ainsi défier la première entreprise du pays. Cela confirmait ce qu'il savait déjà.
- Et les dégâts ?
- La façade avant est complétement criblé de balles, sur deux étages, la majorité des votres brisée. On dénombres aussi deux véhicules des forces de sécurité et une ambulace avec les pneus crevés. Nous avons également deux bléssé par balles, rien de grave rassurez vous, et un bléssés du aux éclatss de verre, et aussi ...
Garviel entendait le rapport sans vraiment y préter attention, il était concentré sur autre chose. a la fin du rapport pour dire.
- Boen, je compte sur vous pour augmenter la sécurité externe, si ce genre d'action ce reproduit, je veux que ces vendales soient arrêtez. Ce sera tout, vous pouvez disposer.