Le colonel Meric Keeler avait reçut de nouvelle directives. Il avait donc déployé la totalité des hommes de la BCNS et le maximum d'agent de sécurité qu'il avait à sa disposition pour sécuriser le complexe ferroviaire. La milice républicaine, sachant que la CN les soutenait, acceuilla se surplus de sécurité avec enthousiasme. Surtout en voyant les soldats lourds de la CN, ils avaient un mélange de peur et de respect devant ces formes à moitié humaine et mécanique, en raison du systéme mécanique qui les aidait à soutenir leur arme de gros calibre, sorte de gros revolvers, plus gros qu'un fusil, dont les balles était de calibre supérieur et le canon plus long. Meric avait déployé les huit escouades de cinq hommes de ces soldats lourd.
Les miliciens n'étaient pas étonnées connaissant, avec les dernier troubles qu'avait connu la ville, les moyens de la CN.
Le véritable objectif de la CN était de sécuriser ses entrepôts et quais réservés, car là n'arrivaient plus que des médicaments.
Depuis plusieurs semaines, le train de la CN débarquait plusieurs dizaines de soldats par jours, recrutés par la CN, entraînés et équipés à Holtezeau. Le pays entier était en conflit, et la CN en profitait pour recruter de plus en plus de soldats pour la BCNS, surtout pour défendre tout ses complexes, majoritairement à Veronet et Holtezeau.
Ces hommes était d'ancien soldats, républicain et même étrangés, des criminels qui avaient jurés fidélité à la CN en échange d'un très bon salaire et d'une immunité judiciaire, aussi d'ancien garde du corps et même quelques déserteurs.
Ces durs à cuirs arrivaient entièrement équipés par les industries d'armement de la CN d'Holtezeau, avec des armes dernier crie, et se déployaient aussitôt soit autour du complexe ferroviaire, soit pour les plus costaud au centre Silène sous l'hôpital où ils seront équipé des dernières innovation en équipement lourd pour faire partie de la Brigade d'intervention lourd.
Le train de la CN transportait aussi de nombreux chargement de munitions et d'armes. On pouvais trouver des armes plus lourde, manufacturés depuis l'obtention de l'autorisation de l'ancien président.
Beaucoup de materiel militaire était entreposé et beaucoup partait, dans des camions bâchés de la CN, pour le centre Silène et le complexe de la BCNS.
Majoritairement du materiel défensif y était entreposé, des boucliers anti-émeute, des barricades portatives haute d'hauteur d'homme avec meurtrière, des barrières, des barbelés...
Le budget de la CN avait été réorienté sur la production d'arme et le recrutement d'hommes, tout ce dont avait rêvé Meric qui pouvait enfin organiser correctement la sécurité de la Corporation Novronev.
Encore une semaine et il disposerait d'assez d'hommes pour agir.