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 Alner et la pègre

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Alner Teeldorg
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Alner Teeldorg


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MessageSujet: Re: Alner et la pègre   Alner et la pègre Icon_minitimeSam 14 Aoû - 23:35

J'aurais du la claquer cette conne, c'est la moindre des choses pour une personne qui ne connait pas le coin que d'être renseigné par des gens compétents, et des employés de gare devraient être compétents. J'arpentai la ville à la recherche de ce restaurent, on me l'avait indiqué à quelques blocs d'immeubles, j'aurais une petite trotte à faire, avec un chat qui me suivait comme mon ombre.

J'en profitais pour observer cette ville. Elle n'avait strictement rien d'une architecture connut dans l'Archipel, rien qui proviennent d'une influence extérieur. Certains immeubles était dotés d'immenses arcades, avec des colonnes soit larges soit étroites mais nombreuses. J'avais bien vue quelques espaces verts. Je devais apparemment être dans le quartier riche. Cela expliquait aussi pourquoi je voyais pratiquement que des types bien habillés, j'avais l'impression de faire tache.

A force de marché, je finis pas tombé sur une pancarte indiquant certains services, le Jardin de Luren, le restaurant que l'on m'indiqua, y était inscrit. Je n'avais qu'a suivre les panneaux.
Je passais devant certains autres bâtiments, tous aussi cossus les uns que les autres, je commençais à me sentir mal. Jusqu'à ce que j'atteigne finalement l'établissement.

Pas grand monde, je posais mon postérieur à la table vide à le plus proche, le chat sauta sur la chaise à coté de la mienne et nous fîmes semblant d'attendre. Un garçon débarqua sans rien dire vers moi et me demander ce que je désirais. Je lui demandais avec un appétit dévorant une bavette bien saignante, de l'eau et du pâté pour chat. Ma dernière demande étonna le garçon qui s'en alla sans rien dire.

L'endroit n'avait pas l'air trop chic, ni trop sale, tant mieux, peut-être que les prix sont correcte. Je vérifiais l'argent qu'il me restait. 82 Sieger, j'osais croire que ce n'était pas une monnaie trop fort pour que tout y passe dans ma commande. Et si c'était le cas et que j'ai pas assez, la retraite stratégique s'imposerait en attendant, je patientais moi et Collant pour avoir enfin quelques choses à manger qui pour une fois ressemblerais à quelques choses.

J'en profitais pour sortir une feuille et un crayon.


Citation :
627
Bureau 627
Batiment D
SSIB, avenue de Ruginel
Elbêrönhit, Belondor

Restaurant le Jardin de Luren,
Kapen-Lagen, le 14/08.

Chère Victorien.

Je suis arrivé à Kapen-Lagen, la capitale de ce pays, et crois-moi, le dépaysement est complet ! Je n'ais jamais rien vue de telle, ce pays est effectivement doté d'une avance remarquable, des immeubles que je soupçonne de dépasser allègrement la centaine de mètres, peut-être plus, une gare doté d'une verrière surement plus grande que la nef de la Basilique Saint-sixte. J'ai réussi à me promené sans problèmes, peut-être que les miliciens de la capitale ont autre chose à faire que d'écouté les simagrées de leurs collègues pèquenots pour ce qui est question d'immigrants clandestins, je suis sur d'ailleurs qu'il doit y en avoir des cents et des milles d'immigrants sans papiers ici. Les employés de mairie ici n'ont pas la même tête que les habitants, ou l'inverse, enfin bref.

Comme prévue j'essayerais d'entré en contact avec n'importe qui pourvue que mes compétence servent, j'ai entendue parlé de monarchistes de fédéralistes, de rebelles, de guildes des voleurs, et, chose amusante, des vampires, je pense que les gens de ce pays la sont tarés comme c'est pas possible.

Enfin, tant que ça me donne du boulots, j'ai crut comprendre même qu'entre eux c'était chacun pour son cul. Je sens que je vais donné un peu de piment à la compétition.

La en ce moment je suis dans un restaurant et de ma table, je sent venir la bavette que j'ai commandais et le chat qui me colle au fesse depuis Holzteau sent lui aussi qu'il va gouté quelques chose de nouveau. Un bâtard, apparemment entre le siamois et le chat angora, que j'ai récupérer, la peau sur les os. Ça va lui redonner des couleurs.

Bouge toi de quitté ton travail, j'aurais peut-être besoin de bras supplémentaire.

Yrusalem VAINCRA.

E.
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MessageSujet: Re: Alner et la pègre   Alner et la pègre Icon_minitimeLun 16 Aoû - 11:45

C'est alors que deux comparses barboteur décidèrent de faire les poches du voyageur. Il s'agissait d'une cible plutôt franche. Il n'avait pas l'air armé, il était isolé, seul sur la terrasse. Ils attendirent que la commande arrive avant de mettre leur plan bien rôdé en action.

La première partie du plan des deux acolytes consistait à attirer l'attention de la victime. Plus précisément de détourner son attention de ses poches, pour la concentrer sur autre chose, afin de pouvoir accomplir son larcin en toute tranquillité. Enfin, plus facilement en tout cas.

Pour cela, la femme du duo s'était habillé à son avantage, jambes légèrement dénudées, poitrines bien mise en valeur, maquillage subtil mais efficace, cheveux dans le vent. Ses vêtements laissaient suggérer une féminité poussée à son paroxysme, elle apparaissait très séduisante, mais pas pour autant putain. Il s'agissait d'une femme déjà naturellement plaisante, mais là, elle avait su mettre tous ses atout en valeur, de façon à plaire à tous, y compris aux personnes habituellement insensibles au charme féminin.

Elle s'approcha alors stratégiquement d'Alner …


- Excusez-moi monsieur, vous avez du feu ? Vous n'êtes pas d'ici vous ? D'où venez-vous ? Vous aurez peut-être besoin d'une guide pour visiter la ville ?

Pendant ce temps, la deuxième partie du plan se mettait en place, le complice s'approchait discrètement, mais mine de rien dangereusement de la cible. Et lorsque la victime était assez occupée sur la diversion pour en oublier qu'il avait des poches, il fouilla méticuleusement chaque espace de tissu capable d'habiter une poche. Mais cette fouille s'effectuait de façon à ce que le pigeon ne s'aperçoive de rien, le pickpocket était tellement doué qu'Alner ne sentit quasiment aucune pression sur son corps ou ses vêtements…
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Alner Teeldorg
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MessageSujet: Alner et la pègre   Alner et la pègre Icon_minitimeLun 16 Aoû - 23:42

Le premier contact avec des larrons de la Guilde des voleurs se fit d'une manière assez amusante. Enfin, de mon coté. A voir la médiocrité avec laquelle ils y étaient pris, je pense qu'ils auraient était recalés au concours d'entré de la guilde.

Une superbe créature m'aborda, au première abord, tout ce dont elle avait envie semble t-il c'était, je crois, de vidé mes bourses. Et quand je parles des bourses dans ce moment la, c'est aussi bien celle qui sont à la ceinture et celle juste en dessous. Bref surement une de ces pauvres filles de familles d'ancien régime désargentes.

Elle me demanda du feu, la bougresse, dans ces conditions, je lui en aurait donné du feu mais la ou il faut, mais la présence de gens au alentours calma mes ardeurs, en solitaire c'est bien, mais à la longue ça devient d'un ennuie. Au point que quand une femme comme ça vous aborde, vous avez envie d'être franc avec elle, c'est rare mais ça marche.


-Et bien ma chère, vous faites comme nos ancêtres. Lui lançais-je sans savoir ce qui allait se passé. Vous prenez deux caillasses quelconque et vous les frottez jusqu'à ce qu'il y ait des étincelles.

C'est à ce moment la que mon voyage pris une autre tournure, Collant lança un 'ssssssshhhh' si caractéristique des miauleur.

-Allons minet c'est qu'une euh … Répondais-je à mon compagnon quand, en me retournant, je me fus retrouvé face à face avec un monsieur avec une tête de je ne saurais dire de quel émotion il s'agissait. Le chat n'avait pas apprécié cette approche, je jetais un coup d'œil à ce dernier, il avait doublé de volume en dressant ses poils.

Ainsi fut mis en place le raisonnement suivant. La dame m'avait abordé il y a environ dix secondes. Écoutez bien, il s'en passe des choses en quelques secondes. Première seconde, elle arrive, je suppose que son collègue aussi. Deuxième seconde et jusqu'à la cinquième, elle me fait sa demande. Sixième seconde, j'entame ma réponse. Neuvième seconde, le chat pousse son feulement d'alerte. Neuvième seconde et quelques dixième juste avant la dixième seconde (vous suivez toujours ?) Je me retourne et à la dixième seconde je vois le larron.

Par raisonnement logique, me prenant par ma droite derrière moi, la logique veut et ordonne qu'il commence par la poche droite, cela prend en général pour l'abordage et la fouille, je dirais cinq secondes. Il m'était donc logique qu'au moment ou Collant s'est dressé de tout poils, le type avait sa main dans ma poche de gauche. Si vous avez mal à la tête prenez un glaçon.

Par un coup de tête à gauche, j'entrevis à peine le visage perplexe de la dame, et je constatais que effectivement, la main était dans la poche de gauche. La salope n'aurait pas pu faire cette poche aussi directement, sinon, dieu qu'elle aurait était doué. D'un geste rapide, ma main gauche attrapa fermement le bras du voleur et il se passa la chose qui allait me compliqué la vie.

Le voleur poussa un hurlement de douleur dont le souvenir est resté bien enregistré dans ma tête. Ma dague venait de se plantait dans le bras du type. Ma dague, ça personne ne le savait encore, était par un ingénieux mécanisme, planqué dans la manche sous ma main gauche, et prévue pour sortir au niveau de l'annuaire gauche, qui n'était plus de ce monde depuis qu'un gélébrois tenta de mettre fin à mes jours.

A partir de ce moment, la je n'éprouvais plus aucun sentiment pour cette ravissante créature. Je dégainais de ma dextre mon pistolet de mon manteau et j'abattis froidement celle qui faisait office d'appât. Une balle bien placé dans la tête. Aussi sec, mon arme se retourna contre son collègue et en fit de même.

Il est bien évident que deux coups de feu ont alertés les forces de l'ordre les plus proche et tandis que les quelques personne à la terrasse s'offusquaient et de s'écartés de moi rapidement. Je me résignais à devoir me passer d'un diner convenable. Ce qui me frustra encore plus que la belle ne l'était plus tout a fait dans sa mare de sang et avec un trou béant dans le front. Je pris la peine de nettoyer ma lame avant de la rétracté par un mouvement rapide du poigné. Avant de prendre Collant sous mon bras et de cherché à m'enfuir.

Comble de malchance une patrouille de miliciens s'amena dans les secondes qui suivirent mon double homicide. A partir de maintenant, toute personne armés seraient considérer comme nuisible à ma personne. Je pris mes jambes à mon cou, et m'enfuyais dans la rue, poursuivis par quatre miliciens, qui n'allaient surement pas tardé à rameuté toute la capitale sur mon espérance de vie qui venait de faire un bond de quelques semaines à quelques heures.

Fuir, oui. Mais ou ?
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