La façade du Lycée Populaire m'en rappelé d'autres, celle de l'école du Génie était bien moins fouillé, mais plus fonctionnel, avec quelques gabionnades pour agrémenté le tout, et la au moins c'était utile en cas de pépin. Je me souvenais quand mon père me laissa devant l'immense édifice, j'avais bien sept ans, j'étais à la charge d'un caporal qui m'enseigna les techniques de fortifications improvisé, tel des frises de cheval, les fougasses et autre fascines. J'en oubliais la chose pour laquelle j'étais ici. J'entrais dans l'enceinte du lycée, pas de problème, j'entrais dans le bâtiment principal, toujours aucun problème, la convictions que l'endroit était ouvert à tous se renforça, je demandais à un type qui avait des allures de pion la bibliothèque, l'aile ouest qu'il m'indiqua, je m'y diriger d'un pas ferme.
La bibliothèque était immense, et possédé un nombre conséquent de rayonnages, je n'eus pas le temps d'en faire le tour. Je divisais dans ma tête l'organisation de mon travail de recherche. D'abord, je ratissais large, j'abordais les livres selon la thématique proposé, en histoire, j'avais plusieurs branches : histoire médiéval, ages sombres, renaissance, période ante-république, etc. Agrémentez d'autre sujet tel que histoire politique, histoire culturelle. Je tombais nez à nez avec le rayonnage ''histoire de la criminologie''. J'allais cherché une brouette et accaparé tout les livres de ce rayonnage. Quand on veut étudier un sujet bien précis, il faut toujours s'en donné les moyens, par voyages, je prenais une vingtaine de livres, les posais à une table et j'allais en cherché d'autres. Sous le regard curieux des quelques étudiants. Un professeur qui passait par la, ayant vue le manège ne manqua pas d'incité ses élèves à prendre exemple. J'avais pratiquement dévalisé le rayonnage sur la criminologie espérant trouvé des bonnes informations sur la guilde des voleurs. J'allais cherché de quoi prendre des notes et commençais à lire le premier livre à me tombé sous la main.
''Histoire officielle de la Guilde des voleurs'' je ne m'attendais pas au miracle avec un titre pareil, en effet, il n'était pas très loquace sur son organisation ni sur ses origines mais les faits qui lui était reprochés était consignés, un acte d'accusation en gros. Il y en avait pour tout les gouts. Je notais quand même des choses.
-Origine immémorial;
-chef : patriarche;
-Disparition : peu de temps après la chute de la monarchie.
Les heures passaient et je cherchais encore des renseignements, j'avais déjà noirci plusieurs feuilles en notes et remarques, et je commençais à ressentir les effets d'une migraine mais j'espérais pouvoir tenir jusqu'à ce que le bâtiment ferme. Certains ouvrages était mieux remplis concernant l'organisation interne, peut-être l'auteur à eu l'occasion d'approché des repentis. J'en rajouté encore dans mes notes :
-un ''conseil des ministres'', les rusés;
-une garde du patriarche, les goupilles.
Je notais chaque grade qui était présent dans ce livre, une organisation quasi militaire comme ça ne pouvait que me ravir. Les chapitres suivant traités des divers locaux de la Guilde. Comme ce livre est encore récent (je l'ai vue à la date d'impression derrière la couverture), j'osais espérer avoir un indice concernant le siège social de la Guilde.
« Il n'est pas exclus que la Guilde possèdent son quartier général dans Kapen-Lagen mais les autorités n'ont jamais réussit à obtenir d'information quant à son emplacement, mais l'hypothèse le plus souvent remis au goût du jour serait que le siège de la guilde se trouve à ... »
J'hallucinai ! À ce moment la il y avait un trou dans la page, elle a été brulé pile à l'endroit ou se trouve la seul adresse envisageable pour la Guilde ! J'enrageai. Ils devaient sûrement avoir prévue le coup et tué l'auteur du livre et toute les personnes qui en avaient trop dit à son sujet.
Fait chier bordel de merde. Lancais-je tout bas pour ne pas attiré l'attention. Je feuilletais les pages pour voir si il n'y avait pas trop autre, je tombais, six pages plus tard sur le même résultat, un chapitre plus loin pareil, et vers la fin du livre j'avais pratiquement la moitié d'une page qui avait disparue. Je fermais ce livre et en cherchait un autre. Encore plus récents à peine quelques semaines.
Encore la même choses, des trous dans les pages, certains chapitres avec des feuillets manquant. Mais quelque chose m'intrigua, sur un autre trou dans une page, j'approchais le nez. Le papier était brulé à l'endroit exact de l'info compromettante, et elle sentait encore le brulé.
Je relevais la tête rapidement, trop même, je regardais autour de moi, personne ne me regardait. J'étais hors de mes gonds intérieurement, un type de la guilde surement ici dans cette salle entrain d'observer ma déception avec un sourire moqueur. Impossible de cherché à savoir qui dans cette salle était suspect, ils avaient tous l'air normaux.
La migraine était trop forte maintenant, je me levais et aller sortir dans les jardins. Je trouvais un saule à quelques pas, j'en arrachais un bout d'écorce, le broyais et le mâcher comme de la chique. Il y a quelque chose dans l'écorce de saule qui fait que les maux de tête s'estompe rapidement, quand j'aurais du matériel de chimie, il faudra que je trouve pourquoi.
Ma migraine calmé je revenais dans la bibliothèque, les livres n'avait pas bougé, et j'avais pris soins de prendre mes notes avec moi au cas ou. J'allais me relancer dans mes recherches quand un pion annonça que la bibliothèque allait fermer. Je prenais encore quelques notes et j'allais ranger les livres (une cinquantaine) dans leurs rayons respectifs, puis je quittais le lycée.
Dans la rue, il y avait une genre de baraques à frites, j'y achetais un petit casse-dalle et je rentrait à l'auberge ou j'habitais. Pendant que je marchais et manger, je relisais attentivement mes notes, quatre feuilles entièrement noircis d'infos plus ou moins intéressante. L'une d'elle m'intriguait plus que le reste.
En effet, cette note disait que peu de temps avant la chute de l'Empire, la guilde et l'Empereur aurait était très proche et même collaboraient entre-eux. Curieuse collaboration. Cette information n'était pas plus détaillé mais elle pourrait faire son chemin dans ma tête.
J'avais terminé mon gueuleton et je retrouvais le chemin de l'auberge, je saluais le tavernier allait me pieuté dans ma chambre. Ils devaient sûrement savoir ou je crèche, donc il pouvait certainement me rendre visite mais avant d'aller au lit je vérifiais mes affaires, j'espérais surtout qu'ils ne se servirait pas dedans.
Sujet: recherche 
Sam 4 Sep - 12:22
