demande de papiers administratif

Garviel Novronev entra dans les bureaux administratifs du palais présidentiel accompagné de son secrétaire. Il était habillé plus que convenablement qu'il le fallait pour l'occasion mais faire bonne figure était toujours un point à gagner.
Il se présenta à un guichet et demanda:

- Je me présente, Garviel Novronev, co-directeur de la CN, excusez moi de vous importuner mais pourriez-vous m'indiquer comment puis-je obtenir un laissé passé pour les barrages routiers. Voyez-vous, le transport de nos produits et matériels médicales de nos centre de productions à nos hôpitaux prend du temps et nous avons beaucoup de patients qui on besoin de soin, donc rajouter du temps en fouillant systématiquement nos transporteurs peut mettre la vie de beaucoup de personne en danger.

Il me faudrait aussi, dans la mesure du possible bien entendu, une autorisation de privatisation d'un train pour le transport de nos produit, ils demandes des compartiments spéciaux qui sont inadapté sur les transports nationaux et nous coûte beaucoup de temps à les monter puis démonter.

Une secrétaire sortit de derrière le guichet, affolée et pressée, elle se retourna rapidement vers l'homme qui venait de lui poser la question et sortit dans un flot ininterrompu ces paroles.

-Excuser moi, mais le nouveau président est net, aucun nouveau laisser passé distribué pour les deux prochains jours, l'état est en alerte, on ne peut rien faire, revenez plus tard.

Et elle repartit en direction opposé après avec prit une pile de feuilles, laissant seul l'homme encore abasourdi par cette rencontre de quelques secondes.

Garviel Novronev se présenta à nouveau dans les bureaux administratifs du palais présidentiel
Il se présenta au premier guichet et demanda:

- Excusez-moi, je suis Garviel Novronev, excusez moi de vous importuner mais on m'a indiqué qu'il valait mieux revenir . Voyez-vous, on m'a dit de revenir deux jours plus tard pour avoir une autorisation pour que les transports de nos produits et matériels médicales de nos centre de productions ne soient pas fouillé systématiquement, cela peut mettre la vie de beaucoup de personne en danger.
Il me faudrait aussi, dans la mesure du possible bien entendu, une autorisation de privatisation d'un train pour le transport pour nos produit, ils demandes des compartiments spéciaux qui sont inadapté sur les transports nationaux et nous coûte beaucoup de temps et d'argents à les monter puis démonter, et avec l'activité que menons, nous ne pouvons pas nous permettre de dépenser de l'argent inutilement.

Garviel espérait que sa demande soit retenu, son entreprise avait réellement besoin de ses autorisations, sinon la plupart de ses projets tomberais à l'eau.

Comme les deux visites n'avaient pas portées leurs fruits, Garviel envoya une lettre officiel au bureau de la présidence en espèrent que l'administration gouvernementale était à la hauteur de sa réputation et que la lettre serait traité le plus rapidement possible.


Mr le Président

Je tiens tout d'abord à vous présenter mes amitiés, même en ces temps difficiles, la familles Novronev affirme, et a toujours affirmé, son soutient à la Répuplique Démocratique Fédéraliste de notre grand pays.
Je me permet de vous écrire pour vous demander, l'approbation de votre part, l’obtention d'un permie qui permettrait à la CN de pouvoir financer l'achat d'un train. Cet appareil nous permettrait de pouvoir transporter convenablement et sans perte nos produits médicaux dans des conteneurs appropriés, choses qui demande beaucoup de temps et d'argent à notre entreprise dans des trains conventionnels.
Je me permet aussi de vous demander d'autoriser la CN à entretenir un compagnie de soldats d'élite pour la garde et la surveillance rapproché de certain sites qui semblent interressé des personnes peut recomendable.
Bien entendue, et en contre partie de se service rendue à la Corporation Novronev, le gouvernement touchera un pourcentage de dix pour cent sur nos bénéfices de ventes d'armes et sera la première informée de nos grande découvertes.
Je vous remercie de la patience que vous avez accordé à ma lettre et je vous prie d'agréer, monsieur le président, l'expression de mes sincères salutations.

Garviel Novronev

La réponse ne fut pas longue a envoyé,


Monsieur Gavriel Novronev,

Je suis heureux d'apprendre que certaines personnes porte encore considération de la république .
Cependant je ne peut vous fournir une voie ferrée uniquement pour le transport de vos marchandise bien qu'indispensable, aussi vous n'aurez qu'accès aux voie express utilisé par moi même ou encore le transport des grands bourgeois.
Pur ce qui est de votre "armée personnel" elle ne sera autorisée que si certain membres font partit de mes hommes, afin que j'ai connaissance en temps et en heure de vos agissement, il va de soi qu'il me fourniront un rapport périodique et que vous ne pourrez avoir connaissance de ce dernier, les ennemis de la république sont partout et je ne peut avoir confiance aveugle en vous.
Sachez que si j'apprends de vous de mauvaises informations je me donne le droit de nationaliser votre société, j'espère ne pas avoir a en arriver la.

A la réponse de cette lettre, qui confirmait le fait que ce nouveau président d'était pas un ennemis de la république, si celui-ci pouvait la sauver, la CN devait l'aider. Garviel en envoya donc une seconde lettre, plus personnel directement adressé au President.

Monsieur le Président

Je vous remercie de votre compréhention et sachez que notre Corporation est au service de notre pays.
Je souhaiterais avoir un entretient privé avec vous car nous avons le moyen de vous faire éteindre les différentes révolte qui gangrène notre fédération, rapidement et ce sans goutte de sang républicain versé.
Vous en tirerez seul la gloire d'avoir sauvé la république et sa population, je vous en donne ma parole. En échange, la CN vous demandera certaine faveur et une meilleur concidération de notre entreprise.
J'attend votre réponse de toute hate.

Mes amitiés et salutations, Garviel Novronev.

Monsieur Garviel Novronev,

Un rendez vous est envisageable cependant ce dernier ce fera sans ma présence physique nous converserons sur la ligne sécurisé de mon bureau,
je vous attend donc au plus tôt possible dans le bureau présidentiel pour parler de ces arrangements ainsi que de l'aide que vous pouvez apporter dans cette lutte contre la vermine impérialiste.


La lettre était courte simple mais complète, Garviel devait se déplacer au plus tôt au palais gouvernemental.

Code:

Désolé mais c'est toujours l'hôte qui commence la conversation :P

Quelques dizaines de minutes après son entrée dans le bureau présidentiel -qui avait garder toute sa splendeur et ou le seul changement perceptible était l'absence de Rayan ainsi que la présence d'un combiner métallique sur le bureau central- le téléphone émis le bruit caractéristique signalant qu'une personne souhaitait converser a l'autre bout de la ligne -hautement sécurisée qu'était la ligne présidentiel-.

Il ne restait plus qu'au bourgeois de décrocher pour pouvoir parler avec le président

Garviel décrocha précautionneusement le téléphone dés que celui-ci sonna et le plaça lentement à côté de son oreille.

- Monsieur le Président ?

Une voix à l'autre bout du fil confirma l'identité de celui-ci.

- Mes respects Monsieur le Président, je vais aller droit au but et éviter de long discours inutiles.
J'ai la solution pour éviter à votre armée de se battre sur deux fronts en même temps, entre Délovno et Mieleinheim, la peste révolutionnaire pourrait ce répandre trop vite.
Ce que je vous propose dans un premier temps, sans parler de mon idée, en échange de l'aide de la CN, dans votre lutte qui nous concerne tous, pour faire respecter et faire pourvoir le droit républicain dans tout le pays et dans toute situations. Je vous demande l'autorisation de nous laisser acheter un train spécialement pour notre compagnie, nous emprunterons les voies normales, aucun besoin d'avoir les nôtres. Nous vous demandons la permissions de constuire de nouveaux hopitaux dans plusieurs villes dont je vous fournirais la liste. De permettre à nos usines d'armement de fabriquer des armes de plus gros calibres, dont le gouvernement serait, après la CN, le premier à y avoir accés.
Pour notre "armée personnelle" comme vous dîtes, nous nous garderons le droit d'y choisir tout les hommes, en contrepartie nous vous ferons un rapport tout les jours et si l'une de nos action va à l'encontre du pouvoir républicain, je pense que l'inquisition fera son devoir. Notre services est très complexes et vous comprendrez que nous ne pouvons pas nous permettre de nous encombrer de "rapporteur". Nous voulons juste garder une certaine autonomie, et si un jours vous avez besoin d'homme, nous vous en fournirons. Je pense quand cas de crise, le soutient d'une Corporation dans le domaine du service publique vous sera utile, avec ses impérialiste qui remontres le bout de leur nez, il faut garder la population avec nous.

Garviel marqua une pause. Il avala sa salive et reprit:

- Dans un second temps, si, et seulement si, notre Corporation arrive, comme je vous l'ai dit, à faire taire la répression à Mieleinheim sans assaut frontal au bain de sang du à nos hommes, il serait profitable à la CN, et au gouvernement, de pouvoir nous laisser commercialiser avec l'armée en nous offrant un partenariat unique avec celle-ci. Nous avons une grande expertise dans le domaine de la micro-mécanique de précision qui nous permet de concevoir des armes redoutables et efficaces. Si cela réussit, bien entendue, vous serez le seul grand héros qui a sauvé son peuple d'une révolte dut à un démagogue impérialiste, et cela sans ouvrir un coup de feu, la république triomphe sans les armes devant quelqu'un qui ne demande qu'à en faire usage. Votre côte de popularité augmentera à coup sûre.

Garviel atendit un bref instant avant de dire:

- Qu'en dîtes vous monsieur le président ? Acceptez-vous les thermes du contrat pour que je puisse vous faire part de mon idée ? Je n'ai aucun soucis à croire que vous êtes un homme de parole.

Je pense qu'il y a certaines choses que vous ne réussissez pas a comprendre quand a votre "armée personnelle", dans le climat actuel je ne peut avoir confiance aveugle en tout le monde, aussi votre branche principal n'est pas l'armée même si vous vous intéressez de plus en plus a cette branche, des lors votre société entre en conflit avec l'armement propre de l'armée républicaine.
Des lors si je n'ai pas au minimum un homme en qui j'ai pleine confiance, rien ne me prouve votre bonne fois, bien que vous aillez toujours été pour le bien de la république.

Pour ce qui est de Mielenheim, elle tombera des lors que Delovno sera tomber, l'empereur étant bloquée dans cette ville.
cependant je veut bien vous laisser stopper la folie impérialiste au Lieger des l'instant que la république et son gouvernement ne soit pas mentionner dans ces actes. Des lors en cas de réussite, le peuple par l'intermede de votre société seront seul gagnant, et dans le cas contraire votre société sera a nouveaux seul remise en cause.

Pour ce qui est de votre train vous avez effectivement le droit d'en construire un ,du moment qu'il n'est pas de type militaire.
Je pense aussi que ce dernier peut se monnayer contre la construction de l'un de vos centre de soin gratuit dans la ville de Targat-Judet.
Pour ce qui est des autres villes, rien ne vous empêche d'y créer des centres.

J'espère que vous comprenez monsieur Novronev.

- Je comprend très bien monsieur le Président. Nous intégrerons votre homme, que vous aurez préhalablement désigné, dans l'état-major de notre service de sécurité. La CN s'engage aussi à construire un hôpital de second rang à Targa-Judet. Pour le reste, nous sommes en accord. Nous nous occuperons des formalités plus tard.
Vous dîtes ne pas vouloir être impliqué dans les actes de la reconquête de Mieleinheim, je vais tout de même vous tenir informer de notre plan mais cela veut-il dire que vous laissé à la CN libre arbitre pour agir ?

Cela veut effectivement dire que vous avez champ libre, et que dans la mesure ou aucun problème de haut rang tel que la morts de nombreux habitants de la ville, il n'y aura pas de réelle intervention sur vos agissement.
Je vous laisse bien évidement me décrire en détail vos futures agissements

Après quelques minutes de discussions avec le Garviel Novronev sur le plan de sauvetage.

- Bon disons que votre plan comporte des risques, cependant ... vous avez mon autorisation pour Mielenheim, cependant le gouvernement et moi même n'a jamais entendu ce plan et en cas de probleme vous devenez seuls responsable.

Je pense que notre discussion est terminée, je vous enverrait au plus tôt un de mes hommes.

Le président avait raccroché, laissant seul Garviel dans le bureau, un homme l'attendait déjà derrière la porte pour le ramener a la sortie sans encontre.