Grand Gala républicain

Garviel se détacha du groupe de bourgeois avec qui il discutait depuis dix minutes en riant, cesdit bourgeois eurent queqlues rires snobes tout en saluant le premier secrétaire et président de la Corporation, "et cinq de plus" pensa t-il. Il se fraya un chemin parmie la foule de bourgeois et élites sociales qui remplissaient littérallement la grande et luxueuse salle de reception du Weskhorn, il trouva finallement une table de banquet sur lesquelles reposaient des petits fours, verres de champagnes de vin et autres mets délicieux qui font le bonheurs des fines bouches.
Accoudé à cette même table il trouva Jdarnov, le directeur de la CNA, apparment occupé à choisir quel toast serait le plus apte à finir dans sa bouche. Tout les hauts cadres de la Corporation furent convié à cette grande soirée, non parceque la CN "sponsorisait" la soirée, mais surtout qu'ils devaient trouver des partenaires commerciaux supplémentaires pour élargir leur marché. Mais officieusement, c'était le gouvernement et plus précisement le parie républicain qui payait de sa poche pour offrir à la grand bourgeoisir du pays ce grand et luxueux gala.
Il s'approcha de lui sans qu'il ne le remarque puis lui lança:

- Monsieur Jnardov, je pensais que vous étiez rétissant quand à l'investissment de la CN dans cette soirée.

Celui-ci tourna la tête, un toast dans la main, il courba légèremment les chines devant le grand patron tout en disant:

- Monsieur le président, comme on dit chez moi, le mal est fait alors pourquoi ne pas en profiter ?

Garviel sourria tandis que Jnardov engloutissait la petite tartine recouverte de foi gras. Un gros bourgeois s'interposa entre eux pour s'imparer s'un verre de vin et de quatre toasts en même temps. Il reconnu le premier secrétaire et engagea la conversation avec lui tout en le félicitant et en affirmant son soutient au nouveau régime républicain. Après deux longues minutes, son interlocuteur parti, Garviel put reprendre sa discussion avec le directeur de la CNA.

- Comment ça ce passe de votre côté mon cher ?

- Et bien, vous ne pouvez pas savoir le nombre de client à qui je viens de donner ma carte. Les bénéfices sur la vente d'armes ce mois-ci vont tout simplement être énorme. En temps de guerre, les gens ont peurs et n'hésites pas à choisir le surplus de protection, surout quand on sais comment les y inciter. Les gros bourgeois aiment à savoir que leur gardes personnel ont une stock d'armes concéquent en sous-sol pour les défendres. Si les vampires reviennet, ou si notre armée perd, il vos mieux jouer la prudence.

- Parfait. Faouzer m'a confirmer la même chose pour nos produits médicaux, et nos exportation son remarquables à l'étranger, surtout avec la Russlavie. A l'intérieur du pays, nos chifres pour le mois prochain vont aussi être plus que satisfaisant, la croissance de notre entreprise monte en flèche.
Et pour ce qui est du partie ?

Jnardov prit une georgée de champagne et continua de parler comme ci il récitait un exposé:

- Les membres du partie républicain font du beau boulot, la majorité des personnes qui sont venue ici sans leur carte du partie repartiront avec. Mis à part le fait que je me sois fait insulter, poliment, part une sorte d'idéaliste, monarchiste ou anarchiste je ne sais pas trop, alors que je parlais des biens-fais du nouveau régime, tous ceux à qui j'ai parlé sont plus qu'entousiastes, surtout pour leurs affaires.

- Pareil de mon côté, nous faisons bonne impression et la partie républicain est très populaire cher tout ces bourgeois. Mais pour votre homme, vous vous en êtes débarrasser sans trop de soucie ?

- Et bien, au moment ou j'ai appelé la sécurité, deux hommes ce sont emparé de lui et l'on emmené à l'extérieur. je ne sais pas ce qu'il est advenue du pauvre homme.

Garviel ce doutait bien que la nouvelle police secrète du gouvernement avait infiltrer la soirée et travaillait à écarter les élements perturbateurs. Ils fesaient bien leur boulot jusqu'ici, mais leurs présence dérangeait Garviel, cette police secrète allait devenir de plus en plus omniprésente. Il avait établie un décret pour son entreprise sur le filtrages des cadres et des nouveaux employés, afin d'éviter de trouver un jour un agent du gouvernement dans la paperasse de la CN. Bien que faisant lui même partie du gouvernement, et bras droit du président, il n'aimait pas mélanger affaire politique du pays et affaire économique de la Corporation.
Alors qu'il parlait avec Jnardov, la musque de font se transforma en musqie de valse. on entendit des applaudissement puis une piste de danse se forma par elle même au milieux de la salle. Le directeur de la CNA fut entrainé par une jeune demoiselle qui le regardait depuis le début de la soirée, et ceci sous le nez de Garviel qui fut tout au plus amusé par la situation.

Il regarda la grand lustre de la grande salle dont la multitude de bougie éclaircissait la grande fresque du plafont. Il bur son verre de champagne sans détacher son regard de cette fresque, sans savoir pourquoi, cela lui rappela plusieurs choses qui n'avait aucun rapport avec e qu'il voyait. Son père, l'expérience 17, le nouveau régime, la Corporation, la guerre. Il était fatigué, après le congrès, il prendait quelques jours de repos au manoir familiale, bienque sa famille aujourd'hui ne ce résume qu'à lui même et son père mourant.
Son dernier message indiquait que les Peppers avançaient dans leur recherche mais qu'il n'y avait rien de concluant pour le moment.
Oui, il se devait bien une petite semaine de repos après toute ces réussites et victoires, pour lui, la Corporation et le pays.