Devant le symbole de la chute des valeurs traditionnelles, les agents qui s'étaient réunis à la capitale se regroupèrent. Les révolutionnaires commençaient à agiter tous le pays, et particulièrement la capitale.
La population de Lagen avait était partagée par le référendum, une moitié pour l'empire l'autre pour la république. Mais les promesses républicaines bafoués, les riches toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres n'avaient fait que rendre la population encore plus distantes de la république. L'empire devait se joindre au mouvement de la foule, l'histoire était en marche et il ne fallait pas rater la marche.
Un homme avait été nommé par l'empereur pour mener les opérations dans la capitale. Il se prénommait Maximilian Herbert, il était natif de la ville et avait rallié le mouvement depuis plus de 8 ans. Durant le journée, les agents impériaux sortirent de leurs cachettes et se rassemblèrent en petits groupes armés aux abords du palais. D'autres armes étaient dissimulées dans la capitale au cas où la ville se soulèverait il serait nécessaire de l'armer, de plus les gaz de la guilde seront des armes efficaces au cas où/
Se raclant légèrement dans la gorge, il monta sur les marches de l'entrée principale :
"Camarades de Lagen !
Il est l'heure de dire stop ! Non, à un régime autocratique ! Non, à la dictature militaire et à la corruption ! Non aux joug bourgeois !
L'empereur nous propose un avenir de tolérance et d'entre-aide envers les plus pauvres !
La population se soulève dans tous le pays, il est temps pour nous d'en faire autant !
Ne ratons pas la marche de l'histoire et chassons Schultz de ce poste dont il s'est coiffé !
Les armes sont ici, marchons sur le Palais gouvernementale, symbole d'une république qui a montré ses limites et ses gangrènes !
Seul l'empire nous a apporté la stabilité, mais il faut qu'il vive avec son temps et donc que l'impérialisme résonne avec la clochette de la démocratie!
Rejoignons les élans de nos amis révolutionnaires et ensemble stoppons la tyrannie aujourd'hui !
Camarades ! Mes frères ! Mes soeurs ! Levons nous de notre sommeil et révoltons nous !"
La masse qui était attroupé était constitué en parti d'agents impériaux, ceux ci crièrent en coeur " A bas Schultz ! Vive l'empire ! Vive la liberté! Vive la démocratie !"
Fallait il savoir si la population suivrait.