Enfin une bonne chose, pensa Jacob. Ce chauffeur ne fait pas partie des forces de Shlutz.
Ils s'arrêtèrent pour le repas dans un petit village entre Lurenberg et Treffelburg, la, Jacob
achetât un journal. certains communiqués présidentiels y étaient retranscrits.
Il failli s'étouffer avec sa sourie d'agneau.
Qu'avez vous? fit le chanoine.
-Mais lisez donc! Il dit que je soutiens la république Populaire! - Et ce n'est pas vrai? - Bien sur que Non! il se mit à chuchoter. enfin si, mais pas officiellement. On en reparlera dans la voiture.
Dans la voiture.
- En fait, j'ai confié a Adolf de faire un soulèvement a Kapen, comme ça, je ne suis pas touché: pas du clergé, pas de la famille.
- Il est registre sous votre tutorat.
-certes, certes, bien sur, évidement. Mais juste parce que ses parents étaient mes amis... par compassion, si vous voulez. Il est majeur, je n'ai aucune autorité sur lui. d'ailleurs, la republique populaire, tout ça, c'était ses idées. l'important c'était de créer un mouvement permettant le retour de Rayan, car je doutais encore de la réussite de l'empire... Il pointât du doigt l'encart sur l'arrivée des troupes russlaves: la situation peut changer. Franchement, si il remplis les conditions demandées par mon clergé, je le soutient sans problème: après tout, c'est a sa lignée que les dieux ont confiés la charge de régner sur le monde.... bien que j'espère que cette ambition attendra encore quelques générations...