Siège sociale de la CN

Kyril était rentrée de la grande réception de la CN avant la fin des hors d'oeuvre. Elle en avait marre de devoir jouer la bourgeoise, et surtout de voir Garviel la rejeter de cette façon. Elle avait un peut trop bue, c'est vrai, mais elle avait encore les idées claires.
Sans savoir pourquoi, elle rentra dans son bureau au lieux de retourner à son appartement de fonction dans la capitale. Elle tituba et s'effondra dans dans son large fauteuil en cuirs. Elle regarda longuement ses portes plumes, en pleine réflexion.

Elle fut interrompue par l'entré du responsable de leur entreprises d'armes.

- C'est fermé, revenez demain s'il vous plait. Dit Kyril exténuée.

- Mademoiselle Oliton ? Veuillez m'excuser, je pensais que vous étiez à la reception.

- C'est le cas, j'y suis encore profondément, très profondem..... La fin se perdit dans des balbutiement incompréhensibles.

- Je voie, le réconfort de la bouteille à fait défaut à chacun d'entre nous, et je suis bien placé pour en parler.

Kyril se leva sur son fauteuil, écarcilla les yeux, se remit les idées vite fait en place et regarda le responsable avec des petites yeux:

- Qu'est-ce que vous voulez ?

- Je voulais juste vous laisser un courrier mais comme vous êtes là je vais pouvoir vous l'annocer en personne ... quoique ... vous voulez peut-être que je revienne demain ?

- Non, non, allé y dîtes moi. C'est ma soirée, balancé tout.

Il se demanda un moment si il ne valait pas mieux aller la coucher plutôt que de lui raconter des histoire commerciales, mais bon, il aurait d'autres chose à faire demain et le temps c'est ce qui lui manquait en ce moment.

- Nous avons effectué une grosse livraison d'arme aujourd'hui à la révolte populaire sur ordre du Président Garviel Novronev. Pour dissimuler toute trace de notre intervention, nous sommes passés par diverses organismes comme ce que vous avez l’habitude de faire. Une société anonyme nous à acheté les armes, une autres société de transports les à livré dans une autre entreprise fictive, qui les à revendu à un particulier inexistant qui les à ensuite donné aux révolutionnaires. Enfin voilà le tableau. Il y a eu une demie douzaine d'intermédiaires tous aussi faux les uns que les autres.

Kyril se tenait la tête, une énorme migraine venait lui tambouriner le crâne. ne jamais réfléchir de trop quand on est ivre.

- On va dire que vous avez cesie. J'ai due vous emprunter vos dossiers là dessus, c'était pour ça que je suis venue, si vous voulez les récupérer, ils sont au services administratif du 12eme étage.

- Merci Mark.. us, Marcos... Mercadien... Qui que vous soyez merci en tout cas. Vous pouvez me disposer, ou disposer le tranquille pour moi...

- Oui... bonne soirée mademoiselle Oliton.

Il referma la porte sous les ronflements bruyant de Kyril qui avait enfin trouvé un compromie avec le sommeil.

[ Après la réception au parc des Novronev ]

Garviel lisait calmement les rapports de la semaines, avachie dans son fauteuil de Président un verre de Cognac à la main. A côté de lui, sur son bureau, ce trouvait le journal du jours avec en première pages les récents bombardements de Kapen de la part du Royaume de Toldanie. Une version à laquelle doutait fortement Garviel connaissant le siècle de retard des Toldènes et la supériorité militaire du S-H. Un telle armada n'aurait pu traverser la moitié du pays sans être vu par l'armée républicaine.

Le Président de la Corporation Novronev grimaça devant le dernier rapport de la maladie qui touchait le second empire. Targat-Judet et Mielenheim étaient dangereusement touchées et le nombre de morts étaient imprésionnant. Apparemment Trevezia, Ervo et Birraze était elles aussi touchées, les nombre de morts ce résumait pour le moment à une poignet d'individus mais si la maladie opérait avec le même schéma, la mortalité augmenterait de façon exponentielle d'ici une semaine.
Garviel n'était toujours décidé à réagir, ce sois disant Empire lui avait craché à la figure en prenant procession des biens de la Corporation, alors Garviel considérait ce fléau comme un retour de bâton de la part du destin.

Il rangea le rapport avec le précédent dans "affaire à suivre". Il lut ensuite le rapport du colonel Meric Keeler. La BCNS comptait maintenant plus de deux milles mercenaires formées et équipés avec les dernières armes de pointe fournient par leur usines d'armement. Un tiers des forces se trouvait à Veronet, l'autre tiers à Holtezeau et le dernier tiers répartit entre la capitale et les différents sites de la Corporation. Seul Gaviel et des hommes triés sur le volet connaissait l'existence, le nombre exact et l'emplacement de ces soldats. Tout le matériel avait été acheminé jusqu'à Verronet et les autres sites de la Corporation, le colonel Keeler avait montré une fois de plus qu'il était le plus apte à commander et diriger la sécurité de la Corporation. C'est pour cela que Garviel l'avait envoyé négocier avec les récents arrivés Russlaves, il attendait d'ailleur les résultats.

Alors qu'il allait prendre le rapport sur les ventes des cosmétiques éffectués pendant le mois dernier, le téléphone du bureau de Garviel sonna. Il prit le temps de ranger le dossier avant de répondre.

- Président Garviel j'écoute.

- Ligne sécurisé en provenance du Manoir Novronev Monsieur. Dit la voix de la téléphoniste situé au centre des appels.

- Transférez l'appel. Répondit Garviel.

Il garda le téléphone sur l'oreille tout en se reservant un verre de cognac. C'était à coup sûre son père qui voulait prendre des nouvelles officielles des activités de la Corporation et surtout de l'avancement de l'enquête. Garviel se demandait pourquoi cette expérience 17 l'obsédait tant, depuis que la Corporation la recherchait, Garviel avait du déployer un nombre conséquent de moyen, chose qui n'était jamais arrivé avant pour ce genre de problème. Des agents posté autours de l'hôtel le préviendraient si elle revenait et tout les agents de la CN connaissaient son visage. Si elle réapaissait, la CN le saurait.

- Appel transféré monsieur.

- Merci ma chère.

Garviel se leva et comme à son habitude regarda par la grande baie vitrée qui lui donnait une vue remarquable depuis le dernier étage de l'immeuble de la CN. On pouvait apercevoir au loin quelques nuages de fumé presque invisibles qui témoignait des récents bombardements.

- Allo père, comment allez vous ? Dit Gaviel d'une voix enthousiaste et en prenant une gorgée de son cognac coupé au glaçon.

La voix à l'autre bout du fil n'était pas celle de son père. Ce que cette voix lui annonçait coupa la respiration de Garviel dont les yeux fixaient maintenant le vide. Des picotements lui parcoururent la peau telle une armée de fourmis qui marchaient sur l'ensemble de sa peau. Dans le silence le plus totale, le verre de Garviel glissa entre ses doigts, tomba en libérant de fines goutelletes d'alcools avant de se briser sur le sol en une multitude d'éclats de cristales.

Garviel lut plusieurs fois le télégraphe qui venait du manoir Novronev. Rayan avait survécu et était de retour au manoir, excellent. Mais la suite était beaucoup moins enthousiaste.

Il se servit un bon verre de vin de Syrdovie et convoqua le conseil de direction pour une réunion spéciale dans moins de 24 heures.

- J'espère que vous savez ce que vous faites père. murmura t-il entre deux gorgée.

Le directeur de la CNT, Herman Filton, entra dans le grand bureau du Président de la Corporation avec une serviette. Garviel l'acceuillit amicalement avant de l'inviter à prendre place. Tour en lui servant un verre de Scotch, Garviel lui demanda avec enthousiasme:

- Cher Mr Filton, j'espère qu'avec le surcis de temps et de crédits que je vous ai accordé vous m'apportez de bonnes nouvelles.

Herman sourit tout en buvant une georgée de son verre. Malgrés cette question, il savait que Garviel ne doutait plus en ses capacités de gestion et de son poste de directeur de la CNT.

- Effectivement, tout les transporteur civils routier son terminés et nous avons un stosk de secours comme convenue. Au totale, une centaine de transporteurs sont oppérationnels et nous avons créé au totale plus de deux cents emplois, et je risque d'en embaucher de nouveau vu que nos objectifs de transport vont augmenter.

- Excellent, parfait ! Nous pouvons donc nous pencher dès à présent sur les différents ittinéraires et destinations de notre ligne terrestre.

- Et bien, je me suis déjà occupé de ça. Regadez.

Il sortis de sa serviette un plan du pays et d'autre documents annexes qu'il étala sur le bureau de Garviel:

- Je me suis occupé de tracer tout les ittinéraires avec mon grouoe de travail, en fonction des distaces, des relais, du temps et de l'importance des villes. De ce faite, nos transporteurs déservent dans chaques régions et dans chaque grandes villes hors mis bien sûre Lurenberg, que les dieux nous protègent, et Treffelburg, que nos vaillant soldats est le courage de vaincre l'abomination. Le point d'encrage est bien entendue la capitale Kapen-Lagen. Pour Cazialstava, l'arrêt ce fera près du quartier Lithurgique, nous avons évité le centre-ville et la mafia locale.

Garviel était toujours ravis du travail fournit par le directeur de la CNT, il vérifiait que tout les ittinéraire concordaient bien et offraient une bonne perspective pour le transport civil. Aucun point n'avait été ommis.

- Très bien, concidérez ce projet comme finit et lancé dès aujourd'hui. Je vais informer notre service publicitaire de faire annocer la nouvelle dans tout le pays.