Petites aides entre partenaires commerciaux

Fabran se pencha vers le bras droit du patriarche.

- Je vous remercie de votre soutient. Je vous assure que la république populaire saura vous remercier... Je toucherais a Rayan deux mots sur un poste pour vous au gouvernement. Quant a moi, je vais de ce pas déchirer toutes les preuves que l'inquisition avais accumulée sur vos trafiques depuis des années.

Cela n'était pas vrai, mais les Ebernhards avaient leur dossier dans une section bien particulière des archives juridiques du monastère. Une section ou, quelle que soit la hauteur du dossier, on ne le sortait pas dans les lumières d'une salle d'audience.

Dites moi, vous vous considérez bien comme rattachés a la révolte de Rayan, non?
Fabran leur avais débité tout ce qu'il savais sur la révolution.
Et... si vous avez des solutions de déstabilisation du régime en cour autour de la capitale, je vous écoute

Le chef de famille des Eberhard étaient fier de ses choix qui lui avait donné tant de pouvoir.

- Ecoutez, répondit-il à Fabran, c'est grâce à Rayan que j'ai une telle position aujourd'hui. En plus il m'a toujours laisser faire ce que je voulais en Helzonie, alors que le nouveau tyran militaire nous emmerde plus qu'autre chose. Et je parle de la pègre en général. La guilde vous suit également, nous sommes alliées.

Il fit alors mine de réfléchir.

- Quand à déstabiliser le pouvoir, j'ai déjà lancer plusieurs initiatives... C'est actuellement en cours. La RIB émettant sur des ondes spéciales que seules certains postes peuvent capter, elle continue d'émettre et d'appeler la pègre à la rebellion. Ne vous inquiétez pas, dans peu de temps, ce sera vraiment l'apocalypse...

Gustave Eberhard se mit a rire nerveusement, faisant presque peur au quelques personnes qui l'entouraient.

- Il faudra que vous me parliez de cette guilde, mon chère, cela doit être un atout de poids: jamais l'inquisition n'a réussi quoi que ce soit quand la guilde s'y opposais.