Visite improvisée

Les deux voitures banalisés de la CN s'étaient garés non loin du manoir dès qu'ils virent la voiture d'Elizabeth entrer dans la vielle maison. Cela faisait une dizaine de minutes qu'ils attendaient sans savoir quoi faire exactement.

- Ça sent mauvais tout ça. Souffla l'un des agents en brisant le silence qui commençait à devenir pesant.

- Mouais, ça sent plutôt le repère de bandits et des trucs louche. Répondit le second.

Le vieux manoir était des plus lugubres dont l'entretient laissait apparemment à désirer. La voiture qu'ils avaient suivis en filature était entré dans la cour après avoir fermé le portail qui symbolisait l'entré de la propriété. La demeure d'Aslanov était entouré d'un haut grillage dont l'escalade s’avérerait très difficile voir impossible sans se faire repérer.
Le chef d'équipe, Logan, prit à son tour la parole:

- Je suis d'accord, ça sent le coup foireux tout ça, surtout que le colonel nous à dit qu'il y aurait surement des vampires, saletés. Rubert, tu viens avec moi, on va jeter un petit coup d'oeuil. Agaïn, va chercher les quatre de l'autres voitures, prenez vos fusils et placez vous en position autour du manoir, restez discret et hors de vus pour le moment. Et toi Gordon, tu pars immédiatement chercher du renfort, je veux plus d'hommes sur le coup, informe le colonel de la situation.

Sur ces mots, les trois hommes sortir de la voiture, vérifièrent leur revolvers et surtout si les balles en argent étaient bien dans le chargeur, puis refermèrent les portières. La voiture démarra doucement et quitta le quartier trop calme. Agaïn et les quatre autres agents se dispersèrent après consultation et analyse du secteur. Chacun d'aux avaient un revolver et un fusil avec des balles en argent.
Logan et Rubert se dirigèrent vers le lord portail, le bruit de leur pat s'entendait par dessus le silence de la rue.
Ils arrivèrent devant la fameuse grille, avant de la pousser Logan remarqua la pancarte placé sur le côté, recouverte en partie par la poussière:

Noramros Aslanov, Ingénieur mécanicien, Spécialisé dans l'armement et l'équipement médicalisé. N'entrer que si cela en vaux vraiment la peine sous réserve de mauvais traitements.

Les deux agents se regardèrent d'un air interrogateur

- Garde la main sur le holster, et surveille les environs.

D'un pat sûre mais avec l'esprit inquiet, Logan et Rubert se présentèrent devant la porte du Manoir. Logan frappa trois fois et attendit de voir ce qui allait se passer, regardant la façade du bâtiment qui s'offrait à lui.

- Ça pu chef. Dit Rubert en renifflan.

- Demande leur toi même de faire le ménage. Répondit directement Logan.

- Non, ça pu dans le sens je ne le sens vraiment pas, les renfort vont bientôt arriver j'espère.

- Gordon a déjà du trouver la station télégraphe la plus proche, et d'après ce que j'ai entendue, le colonel Keeler a chaud aux fesses avec cette affaire, il va envoyer la cavalerie lourde, il y aura surement minimum deux camions de la BCNS en plus des agents. Dans très peut de temps ils seront là. En tout cas, dès qu'ils sont là, nous on laisse la mains, cet endroit pu vraiment.

- C'est ce que je disais chef.

- Nan mais moi c'est vraiment pour l'odeur.

Code:

Le temps que tu te rendes compte de ce qui se passe, que tu tue tout mes agents discrètement et que tu avertissent les autres, il s'est écoulé le temps nécessaire pour que Meric arrive.

Les véhicules de la CN venaient d'arriver dans le quartier du manoir d'Aslanov, trois camions de la BCNS et cinq voitures se garèrent tout autour du manoir. En compagnie de ses deux gardes du corps, le colonel Meric Keeler sortit de sa voiture et regarda ses hommes se mettre en position.
Dés que Meric avait reçut l'appel des agents sur le terrain, il avait prit directement les rennes de l'opération. Sur cette affaire il n'avait pas lésiné sur les moyen, trois camions de soldats de la BCNS, de 'arsenal en tout genre et cinq voitures d'agents de la CN, cette expérience 17 avait courut trop longtemps pour lui permettre de s'échapper de nouveau, sans compter le fait qu'elle s'acquoquinait surement avec des vampires.

- Mon colonel, il n'y a aucune trace de nos agents autour du manoir. L'informa un chef d'équipe d'agents.

Meric grommela, ces salaud ont surement du se rendre compte qu'ils étaient observé et suivis, et se sont débarrassé d'une demie douzaine d'agent se alerter les autre.

- Informez les hommes de charger leur armes avec les balles et cartouches en argent, il y a des vampires à l'interieur.

En tout, vingt agents s'occupaient d'encercler la maison armées de revolvers et de fusils, comparé à ceux qui filaient l'expérience 17, ceux là portaient bien le logo de la CN sur leur poitrine et sur leurs manteaux.
Les agents étaient soutenus, ou plutôt soutenaient, trente soldats de la BCNS, avec tout leur équipement lourd et masque à gaz. Meric avait prévu se genre d'intervention, ses hommes étaient équipés de fusils à pompe, matraques et bouclier anti-émeute.
un tireur délite était en position pendant que les soldats de la BCNS encerclaient la maison, ne sachant pas se qui se trouvait à l'interieur.

Le colonel Meric Keeler prit un porte voix et lança aux habitants de cet antique demeure:

- Ceci est une intervention des forces de sécurité de la CN, rendez-vous sans opposer de résistance.
Nous savons que la dénommé Elizabeth Kewell se trouve dans cette maison, si elle se livre sans condition nous partirons et vous laisserons tranquille !
Vous avez trente secondes pour vous rendre avant que j'ordonne l'assaut de la maison !

Le manoir était encerclé par les troupes de la BCNS et les agents de sécurité, il n'y avait pas de fuite possible pour les résidant.

Code:

 Approuvé par le MJ

Un sourire s'afficha sur le visage du savant.

- Ah! Nous avons enfin de la compagnie, je commençai presque à m'impatienter.

L'ennui, c'était qu'il était impossible de savoir s'il voyait ça comme un divertissement ou une menace. Or ici, c'était plutôt la première réponse qui semblait vraisemblable.

Asch quand à lui semblait perdre son calme habituel.

- C'est bien beau tout ça mais qu'est-ce qu'on fait? Sortir par la porte d'entrée me parait difficile maintenant.

- Justement, vous allez empruntez une autre sortie. Il est malheureusement impossible qu'ils ait encerclé tout le territoire du manoir et encore moins qu'il se doute que les champ derrière en font également parti... à l'arrière derrière le champ au bout de la cour se trouve un ruisseau, vous n'avez qu'à passer par là… Comme vous êtes tous des vampires, la discrétion ne posera aucun problème.

- Et vous? demanda Kallen froidement.

- Moi je m'en vais les accueillir avec tout le respect que je leur dois…

- Je vous revaudrai ça, vous êtes bien le digne descendant de Nedelko Aslanov, ajouta-t-elle alors avec un sourire nostalgique.

Les trois vampires prirent les armes de la voiture et se ruèrent vers le point d'eau à toute allure sans le moindre bruit, échappant ainsi à leurs assaillants.

Le quartier était une petite zone pavillonnaire situé quelque peu à l’extérieur de la capitale. Habituellement, les seuls bruits qui venaient troubler le sommeille des voisins, étaient la résultante des excès du vieux fou comme on l’appelait ici. Il fait dire qu’il faisait baisser de moitié la valeur foncière des environs avec tous les cris et les bruits provenant des expériences qu’il menait à longueur d’année.

Mais c’était ce qui faisant en grande partie le charme du lieu. Au fond, tout le monde savait que le vieux fou avait un bon fond, il était juste complètement dérangé. Le Jardin donnait aussi une certaine grâce au coin. Il était le rendez-vous des amants, mais aussi le terrain de jeu favori des gamins du quartier.

Aussi, lorsque toute l’armada de la CN débarqua en force dans le quartier, la plupart des habitants sortirent de chez eux, tout d’abord à cause de l’inconnu : ils voulaient savoir ce qui se passait juste à côté de chez eux, puis ensuite sous l’effet de la surprise, ils se rapprochèrent de la scène, c’était la première fois qu’ils voyaient la force armée de la CN agir de la sorte.

Dans le square aussi, tout le monde se rapprocha du bord de la route. Rapidement un attroupement se forma de tous les côtés autour du manoir. Les gens commençaient à se demander ce que cet homme qui ne sortait jamais de chez lui avait bien pu faire à la CN pour qu’ils interviennent de la sorte contre toutes les libertés établies.

- Qu’est-ce qu’ils font ?

- Je sais pas ! Mais lui qu’est-ce qu’il a fait ?

- Tu savais toi que la CN avait une armée ?

- Nan je savais pas

- Il faudrait peut-être prévenir la police ?

- Tu crois qu’ils vont faire quoi ?

- Je sais pas. Ils ont pas le droit de faire ça ? C’est une propriété privé ici,

- Ça voudrait dire que la CN pourrait rentrer chez nous n’importe quand et faire n’importe quoi ! Y compris nous tuer ?

Voilà un autre problème, les habitants du quartier commençait à sortir de chez eux pour voir ce qui ce passait. C'était d'autant plus rageant que des agents de sécurité avaient disparus .
Des hommes en uniformes d'agent de sécurité de la Corporation informaient les résident de la situation pour qu'ils ne s'inquiètent pas.

- Pas de panique, gardez votre calme. Ceci est une intervention de notre part, nous savons de source sur qu'il accueil des vampires chez lui, éloignez vous et laissez nous faire.

Meric voyait défilé les secondes, c'était bientôt la fin du temps imposé à Aslanov pour répondre.

Une fois tout le monde parti, Noramros se retrouvait seul avec « son gendre » comme il disait : Andreï. Ils étaient tous les deux verts de rage. Il faut dire que la situation était loin d’être à leur avantage. Cependant, l’assaut de la CN en lui-même n’était pas le centre de cet état. Il s’agissait plutôt des répercutions qu’il pourrait avoir qui eux, les dérangeaient fortement. Noramros, fidèle à sa réputation commença à grogner :

- Non mais qu’est-ce qu’ils foutent ces abrutits !! Ils ne savent pas lire ou quoi ?! Mais où va le monde aujourd’hui, c’est insensé, être dérangé en plein réunion de famille !! Ils vont m’entendre.

Andreï lui pensait à toute autre chose, comme souvent il avait peur, mais pas de la bonne chose, en l’occurrence, et comme souvent, il s’agissait de Kyra :

- Mais s’ils entrent, ils risquent de détruire le VanShip !! Je vais me faire tuer si je ressorts vivant de ce merdier alors que son bijoux est hors-service !!

Noramros prit les devant : il sortit un trousseau de clef qu’il donna à Andreï. La clef était étonnamment légère, d’un alliage de métal peu courant, il n’en avait jamais vu de tel. Sa forme aussi était très particulière. Le fiance de Kyra pensa alors immédiatement qu’il devait s’agir d’une autre invention du maître. Mais il n’eut pas le temps de réfléchir plus, que ce dernier était déjà en train de lui raconter sa vie :

- Tiens, prends ça, quand j’ai fait un stage chez les serruriers de la capitale, qui sont de sacré filous, ils m’ont mis au défi de fabriquer une serrure qu’ils ne pourraient jamais crocheter, et j’ai réussi ! Aujourd’hui encore un exemplaire est exposé dans la salle des curiosités de leur atelier et fréquemment on essaye de la forcer sans jamais y arriver !! Haha, je suis vraiment …

Andreï ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase, non seulement il n’en avait rien à faire, mais en plus, il connaissait déjà la fin. Et surtout, le temps passait et l’ultimatum allait toucher à sa fin. Il se contenta de lui demander sèchement :

- Je dois en faire quoi ?!

Noramros surprit de cette interruption, baissa les bras avant de répondre dépité :

- Vraiment les temps changent. Dans mon bureau, sous la table, il y a une serrure de ce type. Enfonce la clef dedans, et si jamais ça commence à tourner mal, abaisse chaque levier un par un, à une cadence régulière. Le dernier sera ta porte de sortie. Ne t’en fait pas pour moi.

A peine avait-il fini sa phrase qu’Andreï était déjà presque arrivé dans le bureau. Il n’avait pas tout compris mais faisait confiance au savant. Il renversa la table et y trouva en effet une sorte de serrure du même métal que la clef, il enclencha alors le mécanisme. Il put alors entendre le bruit typique des rouages qui crissent les uns sur les autres. Le tapis qui était juste devant le bureau du savant se retourna alors, laissant place à quelques leviers.

Pendant ce temps, Noramros continuait de grogner en se dirigeant vers la grille d’entrée du manoir qui appartenait à sa famille depuis qu’elle avait voulu se retirer de la vie publique, autant dire, depuis l’époque d’Heinrich. C’était tout ce qui lui restait de sa famille, décimée par les conflits successifs, c’était tout ce qui lui restait de son héros Nedelko, et il comptait bien le garder.

Une fois devant la grille, il regarda rapidement ce qui se passait là dehors. Tout le dispositif mis en place par la CN occupait la rue qui séparait le manoir du square. Habituellement cet espace était une grande place vide, c’était la première fois qu’il voyait autant d’attroupement. Il pesta dans sa barbe :

- Mais c’est quoi tout ce bordel.

Puis il leur répondit en criant, en contenant sa colère, comme s’il s’adressait à des démarcheurs ou à des illuminés qui viennent prêcher la bonne parole. Mais néanmoins, il n’était pas insultant dans sa manière de parler :

- Vous savez lire non ?! Alors qu’est-ce que vous faites là ! Allez-vous-en. Je ne veux pas de ce que vous proposez quoi que ce soit. J’ai déjà tout ce qu’il me faut et ma spiritualité va très bien comme ça, merci. Elle n’a pas besoin qu’on allège ma bourse pour se sentir en harmonie avec le monde.
Quand à votre Elizabeth Kellouelle ; connais pas. Vous devriez le savoir, je ne connais personne d’autre que ma famille. Ha et si, aussi ce… enfin le fiancer quoi.
Et puis … qui êtes-vous ? Pourquoi devrais-je vous laisser entrer ? Vous avez un sauf-conduit ?

J'ai nettoyer le post en son ensemble, plus de Exlude, plus de messages Hors-sujet,fini les arrangements avec les corps dans la rivières .

Rappel de la scène

-Arrivé des agents de la CN qui filait Elizabeth depuis l'hôtel => Attente des renforts
-Assassina des agents par Ombre préparation du groupe a recevoir la CN.
-Arrivée des renforts : 3 Camions de la BCNS (30 soldats + 1 tireur) 5 voitures d'agents de la CN (20 hommes + Meric) => Grille du manoir encerclé, Appels aux habitants du manoir de se rendre, compte a rebours avant intervention.
-Fuite du groupe Sef-Ash-Kal par les champs.
-Réveil du quartier.
-CN rassure les habitants.
-Pièges du manoir + "dialogue" de Noramros.

SUITE LOGIQUE DES ÉVÈNEMENTS
Pièges
Fin du compte a rebours + intervention de la CN
Arrivé de la guilde
Et plus ...

Merci de respecter cet ordre "simple" des actions, afin d'éviter de nouveaux problèmes .

Meric désespéra en écoutant Naromros, il cherchait à gagner du temps, ce que le colonel n'était pas près à lui offrir. Tout en ordonnant à ses hommes d'enfoncer le portail, Meric s'adressa au résident du manoir assez fort pour que les habitants du quartier qui étaient sortis l'entendent.

- Monsieur Naromros, vous accueillez des vampires chez vous et mettez en cause la sécurité même de l'état, de plus vous êtes personnellement responsable de la disparition de cinq de nos agents autours de votre domicile. Et pour finir vous êtes accusé de vol devant la Corporation. La police est prévenue et vous serez incarcéré.

De l'autre côté de la rue, une dizaine d'agent de la CN commandés par le sergent Fabras rassuraient les résidents réveillés par ce tapage, les incitant à rentrer chez eux.

- Nous sommes là pour votre sécurité messieurs dames, la Corporation Novronev veille à ce que rien ne vous arrive. Nous collaborons avec la police dans cette affaire. Monsieur Naromros s'est rendue coupable de terrorisme en accueillant des vampires chez lui, ennemis de la fédération, et en les aidant qui plus est. Nous lançons d'ailleurs un appel à témoin pour savoir si l'un d'entre vous n'aurait pas vue ce qui ait arrivé à nos agents postés en surveillance autour du manoir.
Demain vous vous réveillerez en sachant que tout danger est maintenant écarté.

Le colonel Meric ordonna a une vingtaine d'hommes de la Brigade de sécurité de la CN à se tenir prêt a intervenir.

Meric ne recula pas devant l'épaisse fumée jaune, les soldats de la BCNS n'était pas dérangés par ce genre de choses grâce à leur masque à gaz. Il ordonna donc de continuer à enfoncer la grille.
Il interpella le sergent Fabras et lui indiqua:

- Montrez aux résidents les faux papiers et faux mandats d'arrestation, ça marche à chaques fois, et de toute façon ils n'ont aucun moyen de vérifier. Evitons d'avoir recours à la violence ici. Mais que les hommes se tienne pret compris ?

Il se retourna vers Normaros et lança:

- Monsieur aslanov, n'agravez pas votre cas, rendez-vous sur le champ.

L'ordre lancé, les hommes de la CN faisait passer les faux papiers parmi les gens pour les calmer, cependant la réaction ne fut pas celle escomptée, les gens forçaient les boucliers pour bloquer la CN, certain avait réussis a jouer des coudes et immobilisait le bélier, d'autres ressortaient des maisons armés, prêt a en découdre avec la CN au moindre faux pas.

-Vous foutez pas de nos gueules, la CN a rien a foutre la, vous nous tromperez pas!
D'autres habitants criaient a présent pur que la CN quitte les lieux.

N'ayant pas a subir de réels violences les soldats de la CN n'utiliserent pas leurs armes mais essayèrent de stopper la population, il fallait éviter la violence ...

Noramros était vert de rage. Comment une entreprise telle que la CN pouvait se conduire de la sorte. Comment une entreprise chargée d’apporter la santé se permettait-elle de forcer la porte d’un particulier. Il lui fallait agir, et vite. Sinon il risquait de perdre la seule chose qui lui restait de ses ancêtre. Aussi profita-t-il de tout cela pour s’exprimer. Il hurlait de sa voix légendaire, portée par l’écho de la forêt derrière lui :

- Voyez comment la CN agit. Voyez comment une corporation médicale se permet d’entrer avec effraction chez les gens en portant de gravissimes accusation sans aucune preuve il parlait encore plus fort et plus lentement à la fin de cette phrase avant de marquer une pause et de reprendre ni autorisation ! Ne vous y trompez pas, il s’agit de faux ! Pour preuve, sont-ils scellés par la marque de Cassiel ? Non !

Il reprenait sa respiration en observant à travers le brouillard ce qui semblait être des civils puisqu’ils ne portaient pas d’uniforme. Il ne savait pas réellement ce qui se passait là-bas, mais il devait continuer :

- Regardez comment, en faite, elle essaye d’éliminer un inventeur gênant ! En effet, le seul domaine que la CN n’a pas encore développé est celui des membres mécaniques. Or qui a inventé un principe permettant de transcrire les flux nerveux en mouvements mécaniques rendant ainsi possible l’existence des automails ? MOI ! Et qui devrait, sur chaque automail, payer des droits sur la licence qui découle de mon invention à moins que je meure ? LA CN !

Le savant espérait que son gendre ne ferait pas de gaffe comme il en avait l’habitude. Mais de là-haut, il distinguait à peu près tout ce qui se passait dehors, et puis, il avait pour ainsi dire le mode d’emploi sous les yeux. Un plan du manoir était situé en dessous des leviers pour chacun desquels était attribué un numéro reporté sur le schéma. Certes il était nerveux, mais cet état le rendait plus réactif que jamais. Andreï espérait simplement que le vieux fou avait bel et bien prévu une porte de sortie pour lui…

- La CN entre chez moi, bafouant les valeurs promus par la révolution pendant laquelle tant et tant de vos ancêtre sont mort en braves, pour servir ses propres et bas intérêts. Allez-vous laisser ses morts devenir vaines ? Allez-vous permettre à un tel organisme de mettre à mal vous libertés individuels ? Aujourd’hui c’est chez moi qu’ils entrent parce que je leur coute de l’argent, si vous ne faites rien, demain ce sera chez vous parce que vous ne serez pas capable de rembourser vos soins !

Pendant que les soldats repoussaient tant bien que mal les résidants, le colonel Meric démentit les dires de Naromros qui se croyait sur une estrade révolutionnaire:

- Les seuls raison qui nous amènes chez vous Monsieur Aslanov, c'est votre collaboration avec les vampires en les aidants à former un réseau au coeur de la fédération.Vos actions mattesnt en danger la sécurité de notre république. Nous avons des témoins visuels vous ayant vu en compagnie de vampires, alors ne niez pas.
Et si vous êtes innocents, vous justifierez sans nulle doute la disparition de cinq de nos agents de sécurité qui se trouvaient autour de votre manoir il y a à peine vingt minutes. Vos dispositifs de défense prouvent que nous avons plus que raison.

Bien que Meric se demandait comment cette homme pouvait voir à travers l'épaisse fumée jaune qu'ils montraient les papiers aux résidents, il n'étaient pas inquiet. ils avaient été fait soigneusement et à l'avance, seul un officier de police ou un moine pourrait faire la différence.

- Et pour votre gouverne, la CN possède déjà des droits d'implantation d'automail, et de grande qualité, cela fait partie de notre label. Votre disparition ne changerait rien à ça. N'essayez pas de vous innocenter en nous accusant à tors, cela ce retournera contre vous.

Il dit se dirigea ensuite vers le camion de la BCNS qui contenait la radio.

- Demande du renfort, je veux une vingtaine d'hommes supplémentaire déguisés en miliciens et agents de police, qu'ils soient là le plus vite possible.

Il prit ensuite le porte voix et s'adressa aux habitants du quartier:

- Gardez votre calme ou nous serons obligé de répliquer nous aussi par la force. J'aimerais éviter d'en arriver à cette extrémité. Vous mettre en travers d'une oppération comme celle-ci vous inculpera de collaboration avec l'ennemis, et je souhaite que cela ne vous arrive jamais sachant ce qui arrive à e genre d'individus. Alors s'il vous plait pour la dérnière fois, rentrz chez vous !

Code:

La guerre contre le Volkona n'est pas encore déclarée puisqu'elle n'a pas encore commencé au moment de l'action. (problème signalé à l'admin)

Pendant ce temps, Emma n'était pas restée les bras croisés. Après le départ de tous les vampires, Noramros avait envoyé Andreï activer un système de défense qui avait fait craquer le manoir à un tel point qu'Emma s'était demandée comment la vieille bâtisse ne s'était pas écroulée. Noramros était furieux, prêt à se jeter dans le tas s'il le fallait, il ne laisserait pas tomber son manoir ancestrale si facilement, et tant mieux.

Emma était partie chercher quelques affaires dont sa dague et ses outils dans la chambre où elle les avait entreposés. Elle fourra quelques affaires dans un petit sac et laissa le reste, non-essentiel, dans la pièce. Elle ramassa au vol son fusil, sa création, qui était posé sur la table du salon. Il ne fallait pas qu'une arme de cette sorte ne tombe aux mains de leurs ennemis.

Elle parcourut ensuite la distance qui séparait le manoir de l'atelier afin de récupérer les plans de l'arme qu'elle avait conçu. Elle brûla le reste dans la forge de l'atelier en s'assurant que chaque plans ou documents se consumaient entièrement.

Au loin, elle entendait les injonctions des agents de la CN, la répartie de Noramros et le mécontentement des citoyens. Quand elle sortit de l'atelier vers le hangar, elle vit l'écran de fumé devant l'entrée du manoir. Elle traversa l'allée et se nicha dans le VanShip et commença instinctivement à le mettre en route pour un départ en catastrophe, sans oublier de prendre Noramros au passage. Andreï pourrait s'enfuir sans son aide.

Les grilles du portails allait céder d'un moment a l'autre, les grilles vacillait a chaque coups donnés par le bélier, le nuage opaque ne semblait plus gêner les soldats qui dressait leurs boucliers pour protéger le bélier.

La radio cracha tant bien que mal un message de confirmation d'envois d'unité déguisées pour Meric, elles arriveraient d'ici quinze a vingt minutes.

Sur le coté, la CN subissait toujours les brimades de la population, qui continuait le message passé par Noramros.
-La CN, voleurs !; Y sont venus piquer les inventions du vieux fou;
Les armes n'était pas encore braquer, mais les habitants était prêt a tirer.

Code:

Arriver de la guilde avant les renforts de la CN

Les gens ne prirent pas la peine de comprendre pourquoi cette étrange demoiselle ce promenait aussi tard dans la nuit, ils ne retenir qu'une chose: quelqu'un avait tiré sur le peuple, tandis que dans les rangs de la CN personne n'était touché.
La réaction qui s'en suivie fut rapide et d'une violence hors-norme, la population armée tira sans ménagement vers les soldats tandis que d'autre jetaient des caillasse par dessus la murailles de bouclier.
La réaction de la CN ne se fit pas attendre, les balles bloquées par les boucliers, ils jetèrent leurs grenades lacrymogène pour stopper la population.

De l'autre coté la grille avais enfin céder aux nombreux coup du bélier, et la CN pouvait a présent se diriger vers le manoir.

Le tireur poster sur le toit avais suivi la scène avec le bon angle de vue et cherchait a présent a savoir d'où était partit le coup.

Code:

Aslanov peut parler avant la chute de la grille.

Code:

Lancer de dé, tireur d'élite
- 1/2: Groupe de la guilde trouvé
- 3/4: Tir venait d'autre part, groupe non trouvé mais les soldats savent qu'ils ne sont pas seuls face a la population.
- 5/6: Tir venait de la CN. 

Le membre 'Admin' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'1D6 - 1 dé à 6 faces' : 3

Un coup de feu était parti, et ça ne venait pas de ses hommes. Cela lui fut confirmé par le tireur, ils n'étaient pas les seul ormis la population, le vieux savant avait sans doute appelé du renfort du côté de ses amis voleurs. Peut-êtes était-ce l'expérience 17 qui revenait, si c'était le cas cela lui renderais la tâche plus facile.

Les habitants avaient tout de suite réagient au coup de feu et avaient attaqués la ligne de bouclier de la CN. Ceux-ci avaient immédiatement réagit par légitime défense en envoyant les grenades lacrimogènes vers la foule d'habitants, et le manoir, ceux-ci ne tarderait pas à se disperser, ne pouvant rester dans ce nuage de fumée toxique qui se répendait mainteant dans toute la rue et les environs. Les agents de sécurité de la CN avaient enfilé des masques avant que la situation dégénèrent en prévision d'un éventuel laché de gaz. La totalité des forces de la Corporation était donc protégé contre le gaz lacrimogènes qui envahissait littéralement les environs.

Les soldats avaient maintenue le mur de bouclier mais n'avaient toujours pas reçu l'ordre de tirer. De l'autre côté, devant la grille maintenant détruite et aussi envahit par les gaz lacrimogènes, le colonel Meric Keeler, munit de son propre masque, avait ordonné à un groupe de dix soldats d'investire le manoir pendant que des agents avaient reçu ordre de sésir Naromros et de le piquer et de l'enfermer dans un camion.

Meric regarda sa montre à gousset, les renforts de devraient plus tarder maintenant. Il ordonna au tireur de l'informer de tout mouvement suspects dans les environs, et d'abattre toute personne non civil armée. Le groupe de secour d'Aslanov trainait dans le coin, il fallait s'en occuper, bien que les lacrimogènes protégeaient encore plus les hommes de la CN contre ces nouveaux arrivants.

Code:

Ajout Admin, Noramros peut fuir AVANT que les grilles tombent
Aslanov, prochain a réagir, pour éviter que les évènements ne se succèdent pas trop rapidement

Noramos ne voyait que très peu ce qui se passait de l’autre côté de ses grilles à cause de la fumée âcre mélange des panaches de défenses qui avaient protégé le manoir. Même s’il ne s’agissait que de vapeur d’eau passant dans des tuyaux soufrés, l’effet de surprise et le recul des intéressés étaient garanties. Et des gaz de combat que venait de lancer la CN. Mais il se doutait malgré tout de ce qui devait se passer là-bas.

Comme tout le monde, il avait entendu qu’un coup de feu avait été tiré, suivi d’un moment de flottement. C’était le signe qu’un civil était touché. Et logiquement, un massacre allait bientôt suivre. Noramros avait jusque-là toujours été un idéaliste pacifique, mais les événements récents risquaient de faire changer les choses. Il avait pensé d’en un murmure imperceptiblement désespéré :

- Non, non je vous en supplie ne faites pas ça, je n’ai jamais voulu ça.

Mais il savait bien qu’il était déjà trop tard. Pour l’heure, il lui fallait agir vite. Le bélier avait déjà frappé le portail à deux reprises, il allait bientôt céder. Il n’y avait plus qu’à espérer qu’Andreï fasse son boulot correctement, sinon le timing allait être tendu. Aussi, le savant commença à reculer assez rapidement. Pendant ce temps, Andreï était confronté à plusieurs dilemmes, dus à l’imprécision du schéma. Il grognait tous seul dans le bureau, sous le coup de la pression il s’activait inutilement dans la pièce, tournant en rond en s’arrachant les cheveux:

- Mais c’est quoi ce foutu schéma !! Et il est où le vieux là-dessus !! Que peut bien être quoi ce foutu piège !! Si je le déclenche maintenant ça sera efficace ou pas ?!! Ca peut le tuer ? Pourquoi il a pas fait un plan plus précis, il savait que quelqu’un d’autre pouvait être amené à utiliser ce, ce , ce truc ! D’après le bruit, nous en sommes au troisième coup de bélier, ça devrait plus tenir longtemps normalement.

Il souffla un grand coup avant de penser « reprend ton calme, la peur n’évite pas le danger ». En jettent un furtif regard par les fenêtres, il s’aperçut que Noramros avait maintenant parcouru la moitié du terrain séparant les grilles d’entrées de la bâtisse. Il dut se résoudre alors d’actionner les deux prochains pièges. Mais il appréhendait tellement qu’il fermait les yeux en abaissant les leviers.

Il enclencha les deux pièges simultanément, et gardait les yeux fermé en attendant la fin des craquements mécaniques. Il espérait entendre le bruit provoqué par les inventions du vieux fou qu’il avait déclenché, comme pour le premier, ou bien un bruit de réaction des soldats ou des habitants qui assistaient à la scène. Mais rien, il dut alors se résoudre à ouvrir les yeux, et à sa grande surprise, rien. Absolument rien, le vieux était toujours vivant et le quatrième coup de bélier allait tomber. Andreï s’écria alors :

- Mais ça marche pas !