Visite improvisée

Ca y est, au bout de quatre coups de bélier, la grille de la propriété des Aslanov venait de céder dans un fracas assourdissant. Il fallait maintenant faire vite pour Noramros, qui se doutait bien que ceux qui étaient dehors, qui que ce soit, ne le laisseraient pas partir en vacances après avoir mené une telle opération. Le savant courait aussi vite qu’il pouvait vers le hangar dans lequel l’attendait Emma.

Pendant ce temps, dans le bureau, Andreï était plus réactif qu’il ne l’avait jamais été. Lorsque la grille se mit à céder, il abaissa les deux prochains leviers. Des bruits de roulis et des craquements mécaniques se firent entendre dans le bâtiment. Mais de dehors aussi le boucan produit par les engrenages et les diverses pièces qui constituaient le système de défense faisait son effet. Le jardin résonnait comme une montagne, les craquements et les roulements à bille produisaient un vacarme que même ceux qui n’étaient pas encore entrés dans la propriété devaient entendre.

Noramros et Emma profitaient de tout ce raffut pour mettre les gaz et s’envoler par-delà le ruisseau, en direction de la sortie de la ville. Ils allaient sortir par l’arrière du hangar plutôt que de perdre du temps à monter le plateau sur lequel était posé le VanShip sur le toit du bâtiment, puis ils profiteraient de toute la fumée produite par les différents gaz de combat plus ou moins artisanaux pour cacher leur fuite des soldats.

Plus les soldats avançaient et plus Andreï activait les pièges contiguës aux zones qu’ils s’apprêtaient à visiter. Il espérait surtout que Noramros ne lui avait pas menti et qu’il réussirait à s’en sortir avant que les soldats de la CN n’arrivent à la porte du bureau.

Les deux apprentis pilotes devaient maintenant s’enfuir au plus vite. Noramros vérifia rapidement les instruments autour de lui avant de dire à Emma qui était dans son dos :

- Tu sais – il hésita entre conduire et piloter – faire voler ce truc-là toi ?

- Parce que vous ne savez pas !! S’affolait Emma.

- Et bien à vrai dire, j’espérais que tu le saches parce que moi, j’ai déjà dû piloter cet oiseau de malheur mais … il me rend malade pour tout dire.

- C’est pas vrai. On est foutus. Désespérait la pauvre jeune fille.

- Bon, je décolle et on improvisera après.

Sans même attendre la réponse ou bien même la réaction d’Emma, il empoigna les commandes et décolla en sortant par l’arrière du hangar. Puis une fois qu’ils furent loin dans les aires :

- J’me sens pas bien. Emma. Prend le relais !

Le colonel Meric avaient ordonné à 10 soldats de la BCNS d'aller soutenir le mur de bouclier qui avait du mal à retenir les habitants.
Les sous-officiers de la BCNS organisèrent donc un périmètre de défense de 20 soldats avec boucliers devant les véhicules de la CN, dérière lesquelles s'étaient placés les agents armés de fusils, tenant en joug les résidents furieux. Le sergent Logan hurlait dans son porte voix:

- Vous avez ouvert le feu sur des agents en pleine oppération ! Ceci est notre dernier avertissement ! Reculez et rentrez chez vous ou nous ouvrons le feu !

Meric grommela en regardant sa montre à gousset, les renfort devraient déjà être là. Ha, les aléas de la circulation, c'était fortement désagréagle surtout en ce moment. Si les résidents ne reculaient pas dans les cinq prochaines secondes, les soldats et les agents ouvriraient le feu sur la foule.

Quelques secondes à peines que les soldats de la CN étaient rentrés dans le manoir qu'un Vanship décolla à travers la fumée qui émanait de tout autour du manoir. Meric ordonna au tireur d'élite:

- Déscend le !

Le tireur visa le Vanship et le plaça dans sa lunette, il savait qu'un tir bien placé pouvait faire la différence.

Code:

Demande de jets de dés pour tireur et résidents

Un air de danger entourait le manoir, le dol semblait vivant et par saccade annonçait aux soldats qu'il n'était pas le bienvenue par de fort grondement et grincement qui activait les pièges du jardin.
Déjà quelques hommes s'effondraient au sol les pieds transpercer par de long clous dissimulé dans les herbes, tandis que dans des cris de stupeurs d'autres hommes essayaient tant bien que mal de sortir des entrailles de la terre dans lesquels ils avaient disparus en quelques secondes, en quelques minutes l'ensemble du groupement envoyé vers le manoir avait été arrêté.

De l'autre coté les villageois n'ayant pas subis les désagrément des gaz se regroupèrent pour faire face aux murs de bouclier de la BCNS, dans un cris de ralliement il lancèrent leurs grenades artisanal par dessus la levée de boucliers et tirérent vers les soldats .
- POUR LA LIBERTÉ !
L'échange était violent, tandis que la CN était supérieur du point de vue technologique et stratégique alors que les citoyens plus nombreux mettaient corps et âmes pour se défendre dans ce qui leur semblait juste et bénéficiait de l'appuie non négligeable du groupe de la guilde dirigé par Lineweaver.

Le tireur essaya tant bien que mal de se concentrer sur le véhicule volant, le Vanship semblait avoir été mis au point pour n'ouvrir aucune ouverture et permettre aux pilotes de ne pas subir de dégât, cependant après concentration et réflexion le long fusil fut armé puis dirigé vers le véhicule.

A proximité des camions le groupe de Malininski se déplaça sans mal vers les camions et commença sans difficulté a réduire les effectifs déjà fortement entamés de la CN.

Code:

Dé 4 faces du tireur de la CN:
1: tir a coté du Vanship
2/3: tir sur le Vanship mais aucun résultat
4: touche le Vanship et oblige Noramros a le stabiliser

Véhicule de Kyra créer pour résister aux "coups de forces" du réseaux ...
aucune chance que le sniper arrive réellement a quelque chose

Le membre 'Admin' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'D4' : 3

Les soldats de la BCNS résistaient tant bien que mal contre les résidents
Meric écairquilla les yeux et resta bouche bée en voyant ce qui se passait autour du manoir, ses hommes se faisaient empaler et dévorés par les entrailles de la terre. Cinq soldats de la BCNS et quelques agents se retrouvaient confrontés à des sbires de la guilde des voleurs, bien que ceux-ci soit spécialisé dans le vols et l'assassina, ils avaient par contre plus de mal face à des soldats entraîné et lourdement armées et protégé.

Mais Meric fut soulagé en voyant enfin débarquer ses hommes déguisés en miliciens. Ils étaient arrivé par l'avenue, dérière la foule en colère. (d'après le plan, la CN occupe la place) Ceux-ci hurlèrent à tout le monde de baisser les armes.

Meric ordonna à ses hommes d'arrêter de tirer et de reformer la ligne de bouclier.

Les soldats arrêtèrent de tirer, voyant les miliciens débarquer les membres de la guildes doués en dissimulation réussi a sortir sans encombre de la zone de lutte, les tireurs stoppèrent aussi de tirer, tandis que la population elle aussi surprise de cette étrange arrivée arrêta toute lutte.
le tableau n'était pas joyeux, des nombreux habitants beaucoup s'entassait au sols dangereusement blessés et mourant, d'autre avait déjà perdu la vie, ceux qui restait était aussi fortement blessé et quelque uns voyant la pression se relâcher s'écroulèrent au sol.
Du coté de la CN le compte était aussi catastrophique des soldats de la CN la plupart était au sol grièvement blessés par les tirs des citoyens ou entassé inertes a l'arrières des camions suites aux aptitudes spectaculaire des vampires, le tireur quand a lui était inerte une balle ajustement envoyé entre les deux yeux, les soldats de la BCNS était les moins touché, leurs capacités a résisté a de nombreux dégâts les ayant fortement épargnés cependant la moitié de l'effectif n'était plus en état de lutté.

Code:

Petit résumé "barbant" de la situation, retour au RP a proprement parlé

les miliciens avait devant les yeux un véritable carnage, étrangement ils avait obéit sans poser de question, la situation s'était calmé.
-Ok, maintenant vous mettez vos mains bien en évidence et sans gestes brusques vous vous déplacez un a uns par ici ...

le premier milicien s'approcha de son collègue et lui glissa
-On aura pas assez de menottes pour tout le monde, faut qu'y se grouilles les renforts.
-Berff, tu sais comment y sont ...

A peine la phrase terminée un fourgons de la milice ainsi que deux véhicules banalisés arrivèrent
en sortit des miliciens et agents de polices armes au poing prêt a tirer sur d'éventuelles gêneurs

les premiers miliciens s'approchèrent rapidement vers les nouveaux venus
-Bon vous me les embarquez tous, y a eu un carnage pas possible ...

Laissant stupéfait les renforts camouflés de la CN ...

Saul Voyen, déguisé en officier de police, regarda la scène sans trop comprendre au début. Il y avait un nombre impressionnant de bléssés et de morts dans la rue et sur la place et des vrais miliciens leur demandaient de les embarquer. Il reconnut de loin le colonel Meric Keeler qui s'appréciait apparement pas la situation. Mais il compris vite et fit ce qu'il faisait tout les jours avec une adresse qui lui a value ce poste, mentir avec perfection.
Saul s'approcha du petit groupe de miiliciens et du sous officier de la milice en lui montrant sa plaque d'une immitation parfaite, pour toute ce qui était infiltration, Saul était un faussaire en maître:

- Capitaine Farnel, le bureau gouvernementale à directement fait appel à moi dés votre appel pour cet situation spéciale, nous prenons le contrôle de la situation. Vous et vos hommes allé vous diriger vers la 16 avenue, un centre de la milice ce fait attaquer à Kapen par une foule mené par la pègre et ils sont débordés et ont besoin de renfort de toute urgence. Nous allons nous occuper de ces individus et de cette hécatombe.


Saul déploya ses hommes pour former un pérrimètre de sécurité, il se dirigea ensuite vers Meric avec un légé sourir sur le visage. Bien qu'il est camouflé les traits de son visage, Meric reconnu sans peine Saul, la "ressource". Il n'aimait pas vraiment cet homme car il échappait à son contrôle. C'était un des éléctrons libres de la sécurité car ils ne dépendaient que du président Garviel, et Meric haïssait ce concepte. Il toisena Saul Voyen des yeux et grommela:

- Qu'est-ce que vous foutez là ? C'est pas à vous à qui je pensais quand j'ai demandé du renfort.

- Agréable, franchement. Je viens vous tirer d'affaire et c'est à peine si vous me déscendez comme ces pauvres types.

Il regarda autour de lui le petit massacre puis reprit:

- Le président Garviel m'a chargé de prendre le contrôle de vos renfort, intrigué par le fait que vous en ayez besoin, alors que vous aviez assez d'hommes pour coincer une gamine.

- Il y a eu des complications. Ces abrutis ce sont mis à nous attaquer, et je peux vous assurer que c'était de la légitime défense, alors faite attention à ce que vous allez raconter lors de votre rapport. Et tu en profitera pour chercher cinq de nos agents disparus.

- C'est-ce que je vois, des complications ... Enfin bref, il est temps pour vous de plier bagage. Rembalez tout votre matériel et fichez le camp d'ici le plus vite possible. Vous risqueriez de faire d'autres conneries. Je me charge du reste.

Il s'adressa ensuite aux habitants encore debout pendant que les soldats et agent de sécurité de la CN remontaient dans les camions et voitures, aidant les bléssés et les plaçant dans les camions. L'hôpitale de la CN allait être leur prochaine destination:

- Vous êtes tous accusé d'entrave à une oppération de première importance pour la sécurité national. Bordel, vous ne savez pas lire et écouter ?!

Les miliciens se regardèrent rapidement, une attaque a Kapen, le Capitaine avait de toute évidence usé de substances interdites ...

-Monsieur, sauf votre respect la ville de Kapen subit depuis plusieurs mois l'attaques de nombreux bandits depuis le bombardement de la Toldanie et les entré de la ville sont bloqués ...

Saul regarda, la mine dépité, les miliciens. Ceux avaient suremment été recruté à tour de bras comme tout les autres:

- Je parle du commissariat de bordure de Kapen sombre crétin ! Un barrage de l'armée à été forcé ! Grouillez-vous ! Moi je dois m'occuper de cette affaire qui relève de la sureté national. Je vous siterais néanmoins en exemple pour votre intervention rapide et éfficace à votre supérieur. Il y aura surement une médaille à la cléf.
Mais avant ça, allez prétez main forte à nos hommes sur la 16eme avenue, c'est le 32eme barrage qui mène à Kapen. Grouillez-vous !

Il ordonna ensuite à quatre agent déguisé en officiers de police d'aller fouiller le manoir Aslanov avec Meric, et de faire attention au jardin. Les camions et voitures de la CN commençaient à partir, laissant sur place les résidents et les vrais-faux miliciens, qui étaient occupés à mennoter les survivant et aider les bléssers en attendant les ambulances de l'hôpital de la CN.

De toute évidence il y avait un problème, et pas celui qu'on voulaient leur faire croire, déjà une grande partit des suspect repartait tranquillement alors même que le reste se faisait menotter sans ménagement, et pour finir le groupe de soutien leurs demandaient de soutenir une attaque de commissariat.
Ils commencèrent néanmoins a se déplacer vers le dit commissariat.

-Séreux je la sens mal cette histoire.
-Laisse tomber, ta vu son grade, y a du louche la dessous et j'ai pas envi de m'en mêler ...
-Eh, vos gueule y peuvent encore nous entendre.

Pendant ce temps la, les quatre agents se dirigèrent lentement vers le manoirs, ils évitèrent avec difficulté les rangés de pics cachés dans les herbes, les trous en goulots ainsi que des explosions soulevant de grosses meutes de terres

Malgré l’accumulation des contretemps, Andreï lui était resté fidèle au poste. Toujours dans le bureau du vieux savant, les yeux rivés sur les fenêtres et sur les déplacements des personnes qui tentaient de s’introduire dans la propriété. Lorsque les inconnus qui envahissaient le manoir eurent parcourent la moitié du terrain, il abaissa de nouveau ses fameux leviers. Il enclencha tous ceux qui se trouvaient directement devant le groupe, jusqu’aux bâtiments. On entrait maintenant dans la phase critique de cette sombre histoire.

Il fallait absolument que ses pièges retiennent ces semblants de soldats. En aucun cas ils ne devaient entrer dans la maison. Andreï espérait que la réputation du vieux fou n’était pas surestimée. Et surtout, surtout ! Qu’il réussirait à trouver et comprendre le système qui lui permettrait d’avoir la vie sauve. Si il existait vraiment, le vieux fou était capable de l’avoir laissé ici sans porte de sortie.

Noramros et Emma avaient réussis à s’enfuir, mais des hommes avaient réussi à s’introduire dans le jardin. Et maintenant un second groupe rentrait. Andreï avait maintenant du pain sur la planche, la situation semblait désespérée.

Mais au moment où il s’y attendait le moins, une aide miraculeuse fit son apparition. Adoster quoi avait fini d’organiser la prochaine action de sa cellule était ensuite rentré au manoir par les souterrains. Machinalement il monta dans le bureau afin d’annoncer son retour au patriarche du manoir. Mais à la place il y trouva Andreï auquel il jeta un très sec :

- Mais qu’est-ce que tu fais là ?!

- Attention abrutit ! Le manoir a été encerclé par des hommes en armes et maintenant ils avancent vers le bâtiment !

- Mais c’est quoi ce délire ?!

- Si tu me crois pas regarde toi-même par la fenêtre !!

Adoster se pencha alors discrètement par la fenêtre, juste ce qu’il fallait pour apercevoir les agents qui avaient traversé environ la moitié du jardin.

- Merde, merde ! Mais c’est quoi cette merde !!

- Tait-toi et fait plutôt quelque chose d’utile ! Va chercher ton fusil et place toi !!

Aussitôt Adoster descendit dans sa chambre prendre son fusil et son masque. Il était pétrifié, ses dents claquaient et il suait comme un marathonien à la fin de son épreuve. Le sniper prit aussi une boite et une ceinture de cartouche, un sac rempli de matériel. Puis il se dirigea dans la pièce qui était de l’autre côté du couloir, en face du bureau de Noramros. Il savait que dans cette pièce, un carreau de la fenêtre s’enlevait tout seul.

Le tireur prépara alors son fusil, mit son masque et ses gants avant de retirer le carreau. Il entendait Andreï qui lui parlait depuis le bureau.

- Attends avant de tirer. Les pièges de Noramros marchent plutôt bien.

Sans dire un mot Adoster posa alors le fusil sur ses genoux. Il était en position, prêt à faire mouche en quelques secondes.

Les habitants déjà fortement fatigué et fortement remontés contrela CN avait accepter de cesser la lutte a l'arrivée des forces de l'ordre, tout comme la CN ils avait déposer leurs armes au sol et avait vu l'étendu ds dégâts, pourtant, ce qu'il voyait devant leur yeux les stupéfiait, les soldats fautifs du carnage remontait tranquillement dans leurs véhicules et la milice tapait la causette avec ce qui semblait leur commandant .

Déjà quelques hommes avait étés menottés, s'étant laisser faire pour montrer leur bonne fois face aux garants de la justices, mais a présent quelques chose clochait, déjà les plus en retrait avait repris les armes et commençaient a pointer vers la CN.

-Oh ! qu'est ce que vous foutez !
-On se laisse arrêter, pourquoi vous les arrêtez pas eux !

Des proches était tomber et déjà les paroles était plus rudes et les gestes violent.

De leur coté, les hommes envoyé pour fouiller le manoir avançait tant bien que mal, plus ils s'approchaient plus ils avait de risques.
Les leviers tirer le sol se remit a gronder sous leurs pieds, des tintements de chaines et des glougloutement, les mécanismes des rouages faisant leurs œuvres, déployant les nouveaux secrets prévus par Noramros, de toute évidence ils n'étaient pas arrivés, la premiere moitié du chemin était la plus rapide ...

Saul se dirigea alors vers les quelques résidents encore entiers qui n'étaient pas encore mennottés et qui contestaient. Il se présenta à eux, leur montra sa plaque et un papier qui leur colla devant la face:

- Eux peuvent partir parceque eux sont dans la légalité. Vous êtes une belle bande de branquignole. Mais qu'est-ce que vous aveiez dans le crâne ? Vous venez d'attaquer mis en périle une oppéation de grande importance entre la CN et le gouvernement sur une affaire de terrorisme d'état et d'infiltration des vampires sur notre sol. Vous avez été prévenue, mais vous avez décider de déclancher un bain de sang. Vous savez comment on appel ça ? Homicides volontaires et mise en périle de la sécurité national. En temps de guerre j'aurais le droit de vous faire exécuter sur place mais la lois m'oblige à vous conduire au poste et vous enfermer le temps d'un procé.

Il désigna les tas de morts et les bléssés:

- Vous êtes les seuls responsables de ce désastre, et je crois d'ailleur que je vais vérifier chaque domicile pour port d'armes illégale et fabrication d'explosifs. Je vais essayer de vous éviter de trop lourdes peines mais vu ce que vous avez fait et avec quoi vous l'avez fait, seul les juges seront responsables de votre sort.

Il désigna ensuite le manoir Aslanov:

- Si nous avons tors, ce cher Monsieur Alanov n'aurais rien à ce reprocher et n'aurait pas tuer et bleser, avec ces pièges totalement illégaux et dangereux pour la population, il se saurais rendue et aurait prouvé son innocence devant le juge. Hors ce n'est pas le cas.
Maintenant déposez vos armes ou je vous inculpe en plus pour outrage à agent.
J'ai pas que ça à faire de ma journée, à cause de vous je vais passer au moin deux jours à tapper mon rapport.

Meric avait ordonner à ses hommes de continuer à avancer vers le manoir avec les vrais faux miliciens qui lançaient auc résident du manoir de se rendre sur le champ. Ils avançaient de façon éparpillées en surveillant chaques recoins de la maison.

Une opération de sécurité national entre la CN et le gouvernement, être dans la légalité, autant de mensonges en quelque secondes, un homme s'approcha rapidement vers Saul, il n'avait pas l'air menaçant et ne semblait pas armé.

-Vous faites partit de la CN ? ils vous ont filer des pot de vins, ou alors vous êtes juste cons.
Même si ils n'étaient pas en fautes vous vous devez de les amener au poste,
vous parler d'une opération avec la CN et le gouvernement sur du terrorisme, or, arrivant la CN n'a jamais parler de cela et a toujours chercher a arrêter une dénommé Elizabeth l'intervention a été massif et la moins discrète au possible, ce qui entre nous ai totalement suicidaire si l'ennemi était réellement une terroriste vampire ...
Vous parler d'armes illégales ? qui aujourd'hui n'a pas d'arme chez lui, voir même en permanence sur lui ?
Et pour finir nous allons parler de ce vieux fous de Noramros dont même le facteur ce méfie avec ces expériences, les miliciens qui font leurs tours de garde ne s'approchent pas du manoir.
Nous ne bougerons pas d'ici si vous ous entetez réelement a vouloir privilégier la firme national alliée du gouvernement.

Déjà quelques blessés léger commençaient a être ramenés dans les habitations pour bénéficiez de soins certain proches tenait encore les corps inertes de leurs amis qui avaient lutté ensemble.

Dans le jardin le groupe semblait dépasser par les pilonnes de feu qui venait de s'élever, des bruits d'explosions s'enchainat devant eux leurs intimant de faire demi-tours, leur ordre était d'avancer il l'exécutait donc ...

Code:

Les pièges sont "long" agir mais au prochain post les premiers hommes "tombent" .

Saul était désepséré devant tant d'incompréhension:

- Vous venez de répondre vous même à vos questions. A votre avis, pourquoi ce cher Aslanov fait en sorte que la milice évite de venir patrouiller, pourquoi nous recherchons des terroristes dont le nom est Elizabeth ? Ce n'est pas une excellente couverture pour cacher des activités illégalles et avec des personnes illégalles ? Franchement ?

Il s'approcha et parla à voix plus basse, intimant à son interlocuteur.

- Normalement, je n'ai pas le droit de vous en parler, mais ces terroristes ce sont emparé de matériels médicale de la CN qu'ils pourraient bien transformer en arme si ils les combinnent avec des produits toxiques, des bombes en quelques sorte. C'est ce qui explique la présence de la CN, mais elle veux éviter ce genre de détail, vous comprenez, ce faire voler, ça fait très mauvaise publicité. Et avec nos services, nous avons retrouvé la piste du voleur, mais nous ne voulions pas mettre cette collaboration au grand jour mais vous ne nous avez pas laissé le choix, enfin apparement pour ce qui est des terroriste maintenant, ils nous ont déjà échappé.
Je ne dirais rien sur vos armes, j'ai autre chose à faire, mais vous venez de foutre une énorme merde, vous comprenez maintenant ?

Il se recula, et lui lança comme pour finir sa phrase:

- Par contre, je tolérerais moins la prochaine fois qu'on m'accuse de corrompue, le code civil est mon livre de chevet alors faites attention à vos paroles sinon je vous réserve une cellule spéciale. il y a eu bavure de leur côté mais ça, je ne peut rien faire personnellement contre eux, c'est le directeur de la sécurité de la CN qui devra etre convoqué comme responsable. Et encore, ils ont agit en légitime défense.
Maintenant, laissez nous faire notre travaille.

De son côté, Meric avait déployé ses hommes tout autour du manoir et leur avaient ordonné d'avancer en recérant le cercle, dés que les fenêtre seraient à portée, ils devaient lancer des grenades au gaz moutarde.

-Légitime défense, ils sont les premier à avoir tiré ...

Il s'arrêta alors de parler, incitât les gens a rentrer chez eux et à préparer les corps, cependant il fallait éviter qu'un nouveau probleme arrive.

Dans le jardin les groupes envoyés par Saul se disloquait, beaucoup avaient jetés à terre amures et équipements qui avait prit feu au contact de mixtures inflammables, quelques uns étaient grièvement brulés et commençait à faire demi-tour.
Par la fenêtre Adoster regardait l'étrange spectacle prêt a tirer si les hommes réussissaient à s'approcher trop.

Dans une rue adjacente un défilé de camions, voitures et ambulances se dirigeait vers le manoir, on pouvait en entendre les sirènes

Saul les arrêta et fit mennotter les dernier habitants, avant d'entendre les sirènes. Ils reconnaissait fort bien le son des sirènes des ambulances de la CN. Mais il y avait d'autres véhicules avec elles.

- Ceci n'emêche que vous allez tous venir au poste. Vous voyez, c'est la société sur laquelle vous venez de vous en prendre qui viens vous sauver. Sympas de leur pars je trouve.

Il ordonna à un autre groupe de cinq hommes déguisés de se tenir pret à intervenir et d'attendre son feu vert pour agir, en attendant il devaient surveiller les fenêtres du manoir de leur fusils et le prévenir d'eventuels tireurs. Lui se demandait ce qu'il allait bien pouvoir dire au Président de la Corporation avec tout le bordel qu'avait provoqué Meric.

Meric, en voyant les étranges pièges qui se déclanchaient, ordonna:

- Allez, courrez le plus vite possible vers cette foutue baraque et slalomez pour éviter ces pièges.

lui avait fait le tour et courrait pour atteindre la porte de la cours arrière en compagnie de deux hommes, armées de fusils à pompes, de fusils et un soldat d'un bouclier. Il éspéraiet que les dérniers mètre qui le séparait de l'entré se passeraient sans embuches. Il ne devait pas se loupper sur ce coup là, sa carrière en dépendait peut-être.

Les habitants reculait tout en évitant les menottes, certain avait commencer a se barricader chez eux, l'homme qui avait parler n'avait pas bouger, ses bras avait été immobiliser et le métal qui entourait ces poignets lui empêchait de mettre des droites aux hommes qui essayait de le faire bouger.

-Nous ne bougerons pas tant que nos mort n'aurons pas eu la fin qu'ils méritent ...

Sur l'ordre ils avaient débutés un sprint avant de sentir sous leur pied une substance huileuse, s'en suivi une chute spectaculaire, de toute évidence
courir n'était pas la meilleur tactique, les deux hommes au sol pouvait
le confirmer.
L'arrivée de Saul et ces hommes fut quand a elle accueilli par une formidable suite de détonations, personne n'était a terre mais la prudence prévalait.

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'1D10 - dé à 10 faces' : 5, 9