Fidèle à sa réputation et dans l'optique d'interdire toute récidive sur l'attentat qu'il y a eu lieux quelques jours plus tôt devant le siège sociale de la CN, Garviel renforça abondamment la présence des agents de sécurité de la Corporaation à l'intérieur du grand édifice mais surtout à l'extérieur. des barrages de sécurité avaient été installés à l'entré de chaque rue du quartier menant au siège sociale de la CN avec des postes barrière qui interdisaient le passage aux véhicules non autorisés. Cette sécurité fut d'autant plus renforcer par un déploiement de forces de la milice et d'agents de polices qui patrouillaient en permanence dans les quartiers environnent et les secteurs proches, part imposition du premier secrétaire du partie républicain et par justification du dernier attentat.
Des hommes supplémentaires de la BCNS avaient été envoyé et des véhicules rapides se tenaient prêt à intervenir.
Chaque coup dur avait son avantages, après cela, le bâtiment de la CN était maintenant invulnérable à tout autre attaque de ce genre et toute intrusion non désirées.