Dans les coulisses de la CN

Le cortège du colonel Meric Keeler s'arrêta devant l'hôpital de Veronet. Les trois voitures noirs se garèrent à côté de l'entrée principale, quatre hommes en blouse blanches sortirent de la voiture principales, escortés par cinq hommes et Meric en uniforme sombres des gardes de la CN, armée de leur pistolets derniers crie.
On ne pouvait pas louper la gigantesque bâtisse qu'était l'hôpital de la Corporation. Un bâtiment en pierres blanche et d'une propreté impécable. La grande porte d'entrée était situé en haut de dix marches en marbre en haut de laquelle siégeait une grande étoile blanche et bleu.
Les dix hommes entrèrent à l'interieur, un interieur plus que propre et un sol sur lequel se reflétait les gens, et ils passèrent le poste de sécurité sans être interpellé. Cinq personnes étaient regroupée derrière le centre d'acceuille et s'occupaient de diriger les patients vers les salles d'attentes ou les centres de premiers soin pour les plus urgents.
Ils se dirigèrent vers l'incenseur principale et attendirent.

L'hôpital comprenait Six étages, au rés de chaussé se trouvait les centre de premiers soin, les centres chirurgicaux étaient situé au premier, ensuite plus on montait, plus les soins étaient luxueux suivant la personne qui la demandait. Le service se devait d'être le plus impeccable possible, l'une des choses qui lui valait sa place de leader.

La porte de l'ascenseur s'ouvrit, les dix hommes y entrèrent et Meric appuya sur le bouton du sous sol. Le mécanisme d'engrenage et de poulies se mis en marche et ammena le groupe un étage plus bas.
C'est à cet étage que ce trouvait les réserves de médicaments et de materiels, ainsi que les salles des gardes.
Ils prirent le couloir principale et au bout de 3 minutes arrivèrent devant une grande porte, à côté de laquelle se trouvait deux postes de gardes. Cette fois-ci les six hommes les arrêtèrent, leur arme de calibre moyen à la main.
Tous montrèrent leur laissé passé de la CN signé par Fabius ou Garviel Novronev. Une fois les papers vérifiés, l'un des gardes prit le téléphone et prevint de l'arriver du groupe de chercheur. Une mnute plus tard, le lourd mécanisme de la grosse porte se mit en branle. En face d'euc se trouva un autre ascenseur, plus grand et plus large, dans lequel les attendaient deux hommes armés avec des masques à oxygène et des tenues en cuir imperméables, aucune partie du corps n'était visible.
Meric et les quatre chercheurs entrèrent dans l'ascenceur, les autres gardes n'étaient pas autorisé à entrer.
Les lourdes portes se refermèrent et l'ascenceur déscendit.

- Prochain arrêt , l'anti-chambre de l'enfer. Dit Meric pour détendre l'atmoshère

L'ascenseur s’arrêta au bout de quelque minutes d'une lente et longue descente. Les mécanique se stoppèrent et le groupe se retrouva devant une nouvelle porte, avec l'étoile bleu et blanche, qui s'ouvrait peiniblement.
Meric gardait le reflexe qu'il avait acquis à chaque fois qu'il venait au centre Silène, il regarda en l'air pour essayer de distinguer la profondeur à laquelle il se trouvait, mais comme à chaque fois, il ne vie que l'obscurité.
Une fois la porte ouverte, le groupe avança au milieux de ce qui semblait être un hangar, à droite était rangé une ligne de véhicules léger et de montes charges mécaniques, à gauche était rangé toute sorte caisses et de bidons. En face d'eux au bout du hangar se trouvait une autre poste de sécurité.

Les quatre gardes devant la porte portaient la même tenue que ceux dans l'ascenceur, en voyant Meric ils le saluèrent et vérifièrent une nouvelle fois leur papiers. Meric regarda les meurtrières de tirs et la porte situé sur la gauche avec le symbole de deux épées entrecroisées devant l'étoile de la CN. En tant que chef de la sécurité de la Corporation, il avait trouvé judicieux de placer la salle des gardes principale du centre de recherche à l'exterieur de celui-ci, de toute façon qu'il entre ou qu'il sorte, une personne devait obligatoirement passé par là.
Le garde raccrocha le téléphone et la lourde porte s'ouvrit en deux comme la bouche du diable de laquelle une lumière plus importante en émanait, au bout se trouvait une nouvelle porte identique, à l'interieur se trouvait deux rangés de casiers. Une fois à l'interieur la porte se referma.

- Ouvrez le casier avec le numéro que l'on vous a donné et mettez la tenue qui vous est présenté. Indiqua Meric tout en ouvrant le sien.

Les quatres chercheurs enfilèrent une nouvelle blouse blanche, des gants, des bottes et un masque à oxygène. Une fois tout le monde équipé, Meric parla aux scientifiques d'une fois mécanique à cause de son masque:

- Une fois à l'interieur, vous me suivez, je vais vous conduire à votre nouvelle équipe de recherche. Vous aurez immancablement des question sur ce que vous verez, mais gardez-les pour les cadres de recherches, moi je ne fait que me charger de votre sécurité, et aussi du fait que vous ne sortiez pas d'ici. Dans cette fois déformé on pouvait y retrouver une trace d'ironie.

Une alarme retentie et la second porte coulissa lentement.

- Bienvenue au musée des horreurs.

Le premier niveau du complexe était maintenue à une certaine pression pour premettre une meilleur ventilation de l'ensemble du complexe de recheche. D'enorme macine méncaniques pompaient continuellement. L'air y était plus lourd et donc difficilement respirable, donc par précotion, tousn le personnel traversant cette zone devait porter un masque. On y trouvait donc pratiquement que des entrepôts d'armes, de cargaison d'outil, de materiaux et de matière première mais aussi des salles d'entrainement pour les gardes.
Meric emmena le groupe au second niveau de sous-sol où ils passèrent un nouveau sas et purent enfin enlever leur masque à oxygène. Sur deux niveau s'étendait les bureaux administratifs, de là ils prirent l'un des nombreux ascenseurs qui desservaient dans tout le complexe.
Ils arrivèrent au douzième sous-sol, le centre de recherche sur maladie mortels et les traitement. C'est là que les chercheurs furent le plus attentif.

- Ceci sera votre secteur de recherche, indique Meric, pour accéder aux autres secteur il vous faudra une autorisation spéciale.

Ils traversèrent un long couloir dans lequelle des chercheurs observaient en prenant des notes de grand cylindres de verres remplit d'un certain liquide. Dans ces cylindres, ils découvrirent des hommes endormie, qui flottaient dans un encombrement de perfusion, intraveineuses et tubes de respiration. Différents liquides leurs étaient injestés, provenent de différent réservoir à côté du système de pompage d'air qui leur permettaient de respirer. Le tout dans un bruit de fond de cliqueties méaniques.

- Votre Labos se trouve au fond du couloir, vous serez affecté au groupe de recherche du docteur Oliton.

Après avoir présenté les locos aux nouveaux employés, Meric entreprit d'aller endre visite au secteur de recherche en armement dans les niveaux inférieurs. Apparament les ingénieurs mécaniciens et artificiers avaient conçus de nouveaux jouets interessants. Et puis, il préferais cette section du centre Silène, là où on développait de nouvelles armes, automails spéciaux, et autres bizarreté mécanique. Le secteur de recherche Biologique lui foutait la chair de poule, il n'était jamais enthousiasme d'aller faire un rapport dans ces endroits lugubres où dans chaque pièce il y à des lits sur lesquelle ce trouvaient un homme à moitié disséqués, les médecins avaient un humour et un regard tellement troublant qu'il se demandait si ils ne le voyait pas déjà sur leur table de dissection. Il y avait aussi des couveuses mécaniques dans lequelles ils expérimentaient de nouveaux produit pour créer des "super-soldats". Mais le pires était le centre de recherche des maladies mortels, des milliers de cages avec des animaux, pour la plupart défomés ou à moitié pourris par la maladie qu'on leur avait injectés. Et après il y avait les cages de verres où cette fois ils expérimentaient ça sur des humains, mais y avait-il ncore une part d'humanité dans ces corps qui ressemblaient autrefois à des hommes, c'était plus un défiler de l'horreur pour la science.

Arrivé au 22eme sous-sol, il fut à peine sortie que deux agents de la sécurité, en tenue standard de garde du complexe, l'avertient qu'il était demandé de toute urgence à l'étage du service d'enquête.

- C'est si urgent que ça soldats ? demanda Meric d'une voix calme.

- Colonel, ils ont dit qu'ils avaient fait une découverte dans un dossiers en particulier. Je dois vous escorter là bas de toute urgence.

Meric fit seulement un pas en arrière pour retourner dans la cage d'ascenceur, les eux agents se mirent à côté de lui et acctionnairent la commande du 3eme sous-sol.
Il furent avertient e leur arrivé par le son d'une petite cloche. Les rouages des mécaniques ouvrirent la porte et les deux agents de sécurité amenèrent Méric jusqu'au secteur d'enquête d'où provenais l'appel. L'étage entier était voué à l'analyse de tout les rapports scientifiques et d'enquêter sur leur valabilité. Mais ils étaient aussi charger de trouver les taupes ou les manques et oublies dans le centre de recherche.

Le groupe d'homme traversa le corridor de couloirs qu'était le service de contre-espionnage de la CN. Meric fut salué par au moins dix agents de sécurité avant d'entrer dans le bureau numéro 64, cet étage devait être le plus sécurisé du secteur administratif.
Quand il entra, tous sans exception se levèrent et saluèrent le chef de la sécurité.

- Repos messieurs ! Qui a t-il de si urgent pour que vous réussissiez à me faire convoquer ? demanda Meric avec une voix grave.

- Monsieur, cela fait plusieurs années que nous nous interressons à ce que c'est produit chez le couple de chercheurs que nous financions, Alberich et Annabeth Peppers.

- Ha oui, tragique accident. Meric se souvenait de cette affaire, les Pepper essayait de recréer un une personne aux caractéristiques extraordinaire, mais qui hélas avait échoué. Tant d'argent gaspillé.

- En effet, tout avait brûlé, leur laboratoire entièrement détruit et leur travail réduit à néant. Enfin c'est ce que nous croyons jusqu'à aujourd'hui.

- Qu'est-ce que vous voulez dire par là ?

l'officiers du service de contre espionnage montra le rapport au colonel Meric.

- Regardez, il a toujours été indiqué que le couple n'avait jamais réussi à réaliser efficacement leur expérience, leur rapport indique toujours que le sujet est décédé. Hors l'incendie à eu lieu après l'expérience numéro 16, celle-ci ayant aussi décédé suite à un nouvel échec, c'est ce qui est écrit dans leur rapport.

- Hé bien, ils n'ont pas réussi et leur expérience de clonage a été un échec.

- Seulement voilà, nous avons regardé dans les affaire que nous avions sauvées des décombres, feuille brûlées et morceaux de verres pour le majorité. Il y avait des restes de feuilles sans importance, nous les avions analysé mais il n'y avait aucune information utile. Sauf que, denièrement, j'ai ré-analysé le contenue des affaires trouvé. Et en regardant plus précisément la date d'une page de journal des expériences tenues j'ai trouvé quelque chose.

- Et vous y avez trouvé une lampe magique ?

- Mieux encore, regardé.

Il montra à Meric une feuille à moitié brûlé dont seulement quelques thermes restaient lisibles, il mit sont doit sur un caractère.

- Là ! Vous voyez ?

Meric écarquilla les yeux à la vu du morceau de phrase "...ience n°17, le ..."

- Non de dieu ! Cela veut dire que ... ?

- C'est revérifié, ils n'ont jamais fait de rapport sur l'aboutissement d'une 17eme expérience avant l'incendie. Et nous n'avons trouvé aucun traces d'expérience en cours ou de résidu humain brûlé dans la maison. Il nous on caché quelque chose.

Meric prit son visage autoritaire d'officier et s'adressa à un agent de sécurité:

- Il me faut un appel sur ligne sécurisé avec le manoir Novronev, je doit parler à Fabius sur le champ ! Exécution !