Le président était la et n'en croyait pas ces oreilles, d'une part le palais était encerclé par le commandeur sa propre armée, d'autre part le Lithurge de Cassiel venait d'annoncer sa disparition ...
Il prit la radio et utilisa le système d'urgence, toutes les fréquences l'entendait a présent, les haut parleurs de la villes s'allumèrent aussi et demanda au chef de la garde de regarder les issus et de revenir ainsi que de lui donner le révolver poser près de son lit.
-Mes amis aujourd'hui est un jour grave, ceux en qui j'avais confiance m'ont duper, je parle de Karl Hans-Rafael Schultz le Commandeur de mon armée, j'avais confiance en lui, je parle aussi de Jacob Zeram, le prétendu porteur de justice, Lithurge de Cassiel qui n'hésite pas a masquer ces vrais idéaux face a ma personne lorsque je l'ai nommé ministre .....
Aujourd'hui ceux en qui j'avais confiance m'ont abandonner, il ne me reste plus rien, s'en ai fini de moi.
Alors même que la peste impérialiste s'amplifiait les alliés de la république se retourne.
Je ne peut plus lutter, je ne peut fuir.
Je m'en vais donc demander la voie aux dieux, que ceux qui comprennent me suivent ...
"BANG"
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Les fréquences n'émettait plus rien et les hauts parleur de la villes était de nouveau muets
Un corps sans vie était la, sur le lit, un revolver a la main, une balle dans la tête et un mur éclaboussé de sang ....