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Veronet subissait depuis trop longtemps le joug de Schultz et de son pantin Novronev; la ville s'était déjà révoltée mais réprimée par des cette corporation opportuniste. Il était temps que la Moldénie rejoigne l 'empire

Le même discours fût diffusé dans toutes la régions, la ville devait se révoltait rien que pour sauver le peu d'honneur qu'il restait après le désastre
militaro-politique de l'administration Schultz.

Joueur Messages : 338 Date d'inscription : 05/10/2010

Veronet, la deuxième ville où la CN était la plus présente après Kapen-Lagen. Son hôpitalétait le deuxième plus grand du pays et ces cliniques, centre de soin, pharmacies et boutiques y étaient très nombreuses.
Etant le noeud ferroviaire de la région, ces produits et ces céréales, produits en Helzonie, ce vendaient à grande échelle.
Cette ville était l'un des pôles majeur du commerce de la CN et sa présence influençait la population. Les soins de qualité hautement supérieur qu'elle offrait étant leader et ayant le monompole dans tout le pays, gratuit pour les plus démunis, et le contact avec du personnel médicale et médecins généralistes avait son côté rassurant.

De ce fait, la Corporation Novronev était très proche de la population, ajouté au fait que les ouvriers avait dorénavent une semaine de congé payé et que bientôt serait organisé les Etats généraux du travail.

Admin Messages : 174 Date d'inscription : 23/07/2010

Code:: Bon ben idem, c'est au MJ de décider si oui ou non la population est heureuse et ensuite avec un lancer de dès si elle rejoint les impérialistes ou non.

Maître du Jeu Messages : 68 Date d'inscription : 14/08/2010

Veronet, ville tampon entre Delovno, Byrraze et Caboyor, était maintenant sous le joug de l'armée stationnée ici en cas d'attaque des Toldènes.

La population était rancunière du couvre feu et de la loi martiale qui avait été instaurée. Ils avaient rejoint une fois les impérialistes et avaient été matés rapidement suite à la débâcle de leur "libérateur", ils ne faisaient confiance à personne mais plus que tout il voulait un gouvernement qui les reconnaisse.

C'est ainsi qu'un petit groupe entra par effraction un soir de nuit noire dans la gare. Ils étaient munis d'explosif. De quoi faire exploser plusieurs fois la gare. Ils posèrent la dynamite sur les structures de la gare mais aussi sur les rails sur plus de cinq cent mètres.

Au petit matin, la gare n'était plus qu'un champ de ruine, les rails avaient volé sur presque une centaine de mètres et toutes les locomotives et les wagons avaient été détruis par le feu ou par les déflagration des explosions. Le train de la CN se trouvait là aussi cette nuit là et il n'échappa pas non plus à la destruction totale du complexe ferroviaire.

Plus aucun trains ne pouvaient venir jusqu'à Veronet qui était maintenant isolé du pays.

Le lendemain, le légat pro-révolution pris le contrôle de la ville conjointement avec un élu du peuple.

Maître du Jeu Messages : 302 Date d'inscription : 07/08/2010

Les dernières mesures de Schultz ainsi que les événements qui s’en suivirent ne provoquèrent pas réellement d’émoi à Véronet. Au contraire même, comment tous ses gens pouvaient-ils encore faire confiance à cet homme qui reniait maintenant les bourgeois qu’il avait lui-même placé aux postes à importance. Ce retournement de veste attisant encore un peu plus le dégout que la population ressentait vis-à-vis de son gouvernant. Puisque leur représentation était grimée, autant se gouverner par eux-mêmes. D’ailleurs ils n’enverraient même pas de représentant à la réunion organisée par leur ex chef d’état.

La ville qui n'envoyait même pas de représentant méritait une intention toute particulière. L'empereur envoya par son délégué locale les bases du second empire au conseil municipal, ce délégué était une femme de quarante ans environ, Mlle Leora Varota ( une native de la région ).

Le légat impérial avait pour mission simple de recueillir dans un premier temps un acte de reconnaissance, dans lequel la ville certifiait accepter l'empereur comme chef de l'état dans le cadre de l'empire unifié du Siegburg-Helzonie. A cela s'ajoutait une charte que laquelle la signature impériale était apposée de la main du monarque, celle-ci garantissait les droits fondamentaux de chaque citoyen et de chaque Nation composant l'empire.
Les bases de la monarchie fédérale étaient jetées ainsi.

Si le conseil de la ville l'acceptait, les souhaits de l'administration centrale était les suivants :
-Mise en relation de toutes les villes impériales
-Armement d'une milice impérialiste près à défendre le peuple et l'empire
-Relier la Toldanie et les alliés de l'empereur pour tout besoins
-Fermer les routes aux républicains et émissaires militaires.

L'empereur et sa femme étaient arrivée dans la nuit à Byrazze, pour rallier le nord au plus vite.

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